Locke Le Langage

l'espace européen à la fin du XX-ème siècle et comment s'inscrivent-ils dans l'héritage de l'Etat moderne naissant. La recherche se conclut par une comparaison de la conception légitimatoire jusnaturaliste (H. Grotius, T. Hobbes, S.v. Pufendorf, J. Locke) avec les développements actuels (représentés par le procès Barbie à Lyon en 1987 et le procès Honecker à Berlin en 1992-1993) de la conception légitimatoire véhiculée par la jurisprudence de Nuremberg. La conception légitimatoire jus-naturaliste 1

lecteur le moyen de se représenter la scène. Le récit de Des Grieux porte les marques du discours classique (registre tragique ; hyperboles qui soulignent l'acuité de la douleur ; modalités exclamatives et interrogative). En dépit de ces éclats, le langage reste malgré d'une sobriété toute classique (litote ; euphémisme...). Le récit s'effectuant avec le recul, le narrateur atténue, estompe les contours trop marqués de certains comportements, sans pour autant être en mesure de maîtriser toutes les émotions

6 commence par ces lignes : « je suppose les hommes parvenus à ce point… ». Suit la description d’un état de nature devenu invivable où « le genre humain périrait s’il ne changeait sa manière d’être ». On retrouve ainsi l’idée chère à Hobbes (ou à Locke) que la vie ajuridique et apolitique de l’état de nature est mortellement dangereuse. Rousseau décrivait pourtant l’homme à l’état de nature comme étant naturellement bon (s’opposant ainsi à Hobbes qui le décrivait comme un loup pour l’homme). En fait

introduisent toute une épistémologie reprise par les économistes du XIXème siècle. Ces économistes empruntent leur grammaire, leur modèle à celui de la physique. Les néo-classiques vont faire de même (ex : Walras). Chez Galilée, le mot est écrit en langage mathématique, (rejette Aristote et est pour Platon). L’épistémologie de Walras est une épistémologie Platonicienne. Naturalisme appliqué à la philosophie, mais aussi à la psychologie et autres sciences humaines. Etre naturaliste, c’est faire preuve

royauté, parlementaires greffe un nouveau système politique sur le principe traditionnel. Resultat = tout au long du siècle parlements minent autorité monarchique Beaucoup de ministres s usent vite au pouvoir comme Silhouette ( nom passe dans le langage commun pour désigner une ombre qui passe ) Silhouette = 1759 = tente de mettre en place un impôt sur toutes les terres aussi bien celles des nobles ( fiefs ) que roturières cependant il a démissionné devant assemblée parlementaire Principal

morale 18 1. La « voix de la conscience » 18 2. Conscience et conscience morale 18 3. La conscience comme indépendance à l’égard de nos instincts 18 B. Qu’est-ce qu’une personne ? 19 1. Conscience, identité et personne morale (Locke) 19 2. Une personne, c’est une conscience de soi (Chauvier) 20 3. La capacité de dire « Je » 20 Conclusion 21 Annexe 21 Quelques idées supplémentaires 21 La mauvaise foi (Sartre) 21 L’intentionnalité 21 Toute conscience

donner une définition de l’homme pour le différencier de l’animal. Ce faisant, il était à la recherche de ce qui appartenait à l’homme en propre, sans appartenir aucunement aux animaux. Pour lui, c’est dans le logos, c’est-à-dire la raison, ou le langage en tant qu’il est ordonné, qu’on pouvait situer l’essence de l’homme. Depuis, les grandes religions monothéistes ont interprété ce concept de logos comme étant l’âme, dont l’homme serait doté, à la différence des animaux. Aujourd’hui, c’est spontanément

de penser est moins présent en France qu’ailleurs car à la même époque en France la monarchie de droit divin triomphe. - la conception individualiste : elle émerge au 17e s, celui qui pose les bases de ce concept est Locke (1623-1704) « du gouvernement civil, 1690 ». Locke fait partir son raisonnement de l’état de nature, il dit qu’à l’état de nature l’homme est un être libre et chaque individu doit être l’égal de l’autre. Même à l’état de nature il devrait exister une loi naturelle qui s’impose

est-elle telle que nous la percevons ?  L’expérience de la contradiction  L’expérience du conflit des pensées : existe-t-il des vérité »s universelles ou alors faut-il penser à chacun sa vérité ? Distinction vérité et actualité Dans le langage courant on confond réalité et vérité .On parle de réalité vrai, ce qui peut-être vrai ou faux, c’est seulement le jugement d’une réalité, ce que je pense la vérité est un problème de relation entre la pensée et le réel .un monde sans pensée n’est

l’élève de certaines connaissances et de certaines habiletés intellectuelles, non seulement sur le plan philosophique, mais également sur un plan plus personnel  l’esprit de synthèse, la capacité d’analyse, le jugement critique et l’utilisation du langage comme outil de réflexion, ne sont pas exclusifs à la seule philosophie, et sont le filigrane des trois cours obligatoires de philosophie. Les trois ensembles en philosophie sont conçus en une séquence d'apprentissage sur le plan des contenus thématiques