Logogramme

Mésopotamie, il y a 6000 ans. Les premières formes d’écritures ont servi à faire du commerce. Le système s’élabore progressivement sur base de : * pictogrammes (signes-images) (écriture sous forme d’images.) * idéogrammes (signes-idées) * logogrammes (signes-mots) * phonogrammes (signes->sons) On aboutit à un système complexe qui va ensuite faire place dans certaines sociétés à un autre système : l’alphabet, créé voici 3000 ans, sur les pourtours de la Méditerranée. Le plus ancien

Calligrammes de Guillaume Apollinaire, Poésie/Gallimard). Par ailleurs, les calligrammes figuratifs obligent à une saisie simultanée du poème qui sera couplé à une lecture parfois tâtonnante dans le détail. Dans cette voie, Christian Dotremont, avec ses logogrammes, ira encore plus loin : l’écriture se fait dessin, véritable image d’abord, dont les lettres ne peuvent se reconnaître que progressivement et souvent grâce à la présence du texte en clair qui fonctionne comme « traduction », car ici l’artiste cherche

dessins complexes ou une série de dessins fixant un contenu sans se référer à sa forme linguistique (chez les Indiens d’Amériques, les Esquimaux…). Il n'y a pas de rapport entre le langage oral et le langage écrit. 2° Les idéogrammes (parfois appelés logogrammes) sont des marques des différents mots : contrairement au précédent, ce type d’écriture est déjà ordonné (exemple : les Chinois). 3° Les phonogrammes sont des marques des éléments minimaux de la langue parlée : les phonèmes. Les signes écrits, les

d'un individu ou d'un groupe. Idéogramme : Symbole graphique représentant un mot ou une idée utilisé dans certaines langues vivantes comme le chinois et le japonais ou anciennes comme les hiéroglyphes de l'Égypte antique. Parfois remplacé par logogramme. Illusionnisme : Ce dit à propos d’une image qui cherche à donner l’illusion de la réalité. Illustratif : Qui traduit en images, qui propose un équivalent visuel. Image : L'image est une représentation de quelque chose ou de quelqu'un

logos alphanumériques (logotypes) sont exclusivement composés de lettres et/ou de chiffres, pouvant être inclus dans un symbole visuel simple. * Les logos mixtes associent eux, un logo alphanumérique et un symbole. * Les logos iconiques (logogrammes) présentent uniquement des images. Par exemple, le coquillage de Shell, mais encore la pomme d’Apple, ou la virgule de Nike. 2.2) Les symboles visuels Ceux les plus utilisés pour accompagner la marque et son logotype sont : * Les animaux

2600 ACN, l’orientation des signes subit une rotation de 90° : désormais, elle ne se lit plus case par case mais ligne par ligne, de gauche à droite. 6. Composantes et fonctionnement L’écriture cunéiforme est une écriture mixte combinant : Des logogrammes : des signes écrivant un mot ; Des phonogrammes : des signes notant des syllabes Un même signe peut servir à noter plusieurs mots différents ou plusieurs syllabes différentes. EX. le même signe transcrit les mots bouche/parole/dents/manger Comment

retenir à des formes primitives, des figures primitives.   Christian Dotremont et Asger Jorn, Je lève, tu lèves, nous rêvons= pas de différence entre l’écriture et la peinture. Christian Dotremont, O Préhistoire bonjour…, 1978. Utilisation de logogramme = une poésie visuelle = fusion entre image et écriture. 4.2 L’école de New York 4.2.1 Action painting (cf. abstraction lyrique) après 1945 Jackson Pollack n’est pas le seul. Durant la 2em guerre mondiale ils vont s’exiler à New-York ce qui a

retenir à des formes primitives, des figures primitives.   Christian Dotremont et Asger Jorn, Je lève, tu lèves, nous rêvons= pas de différence entre l’écriture et la peinture. Christian Dotremont, O Préhistoire bonjour…, 1978. Utilisation de logogramme = une poésie visuelle = fusion entre image et écriture. 4.2 L’école de New York 4.2.1 Action painting (cf. abstraction lyrique) après 1945 Jackson Pollack n’est pas le seul. Durant la 2em guerre mondiale ils vont s’exiler à New-York ce qui a permit

c’est-à-dire les marques morphologiques de la dérivation (les morphogrammes lexicaux ou les affixes : préfixes, infixes, suffixes) et les marques morphosyntaxiques de la conjugaison (les morphogrammes grammaticaux ou les désinences) ; 3°) les logogrammes, qui sont des figures de mots et qui permettent ou de distinguer lexicaux : les homophones ‘se’/’ce’, grammaticaux ‘ses’/’c’est’, ‘lait’/’les’, ‘a’/’à’ ; 4°) les lettres étymologiques et historiques qui proviennent d’autres langues ou de l’histoire

grammaticaux et lexicaux (notation du genre, du pluriel, du mode verbal, de désinences verbales de temps, de personne, des marques finales dérivatives). D’autres signes, enfin, permettent la distinction de sens d’homonymes, sorte de « signes-mots »ou logogrammes.(comme sceau, seau et sot). François de Closets considère qu’au point de vue de sa fonction grammaticale, l’orthographe et sa toute règle forment la Constitution de la langue française, ce qui est essentiel pour maîtriser cette langue.Bien que le