Logogramme

fabriqué des boissons sacrées(ex : au moment du mariage)=les graines séchées se conservent et servent de valeur d'échange, société ou le métal apparaît très tard(VIIIe IX e s ap JC)=troc ou monnaie cacao ; existence d'une écriture glyphique=mayas (logogramme=image et autour petits motifs qui sont des sons ; écriture logo-syllabique), corpus de textes assez important pour les mayas et dc approche historique ; pour les autres civilisations l'écriture n'est pas vraiment développée dans des textes axés

l’identité d’une marque et de rationaliser la production industrielle. En effet, Peter Behrens est le partisan d’une « vision unifiée et fonctionnaliste, et veut tout soumettre à un même principe d’unité, depuis la construction des ateliers jusqu’au logogramme et aux publicités de la marque ». Il veut ramener les objets produits et leurs images à un certain nombre de formes « typiques », en les dépouillant de toute « joliesse déco-rative ». Jacques Rancière précise ainsi que « le culte de la ligne pure

Emma HDA Photo LA PHOTOGRAPHIE De l’invention de la photographie à la photographie moderne Archéologie de la photographie - Chronique d’une invention: de la caméra obscure à la post- photographie (on va le voir plus tard) I) Approche de la photo au XIXes: entre sciences, « magie » et oeuvre d’art - Un outil pour les sciences: « la rétine du savant » - La  « magie » photo - Une ouvre d’art ? II) Du pictoralisme à la photo moderne - Du pictural dans la production - - I) 1) Un outil

fondant la marque ou de la collectivité qui l’utilise. Le logo type c’est d’abor un nom accompagné d’une mise en forme graphique spécifique, il doit pouvoir être perçu dans la globalité d’un discours graphique. Le logo type est également appelé logogramme il désigne donc l’ensemble du discours graphique. Il doit répondre à 3 fonctions essentielles : * Fonction représentative ou encore fonction expressive : ici le logo doit permettre d’identifier l’organisme qu’il représente par l’usage d’un

(environs) | |  |Morphogrammes lexicaux |anviron* (environs) | |Erreurs à dominante logogrammique |Logogrammes grammaticaux |sa fait* (ça) sa fait* (ça) | |  | |a faire* (à) | | 

Mon statut Nom et logogramme: Lucille Monclus Adresse : 14 rue des tournelles, 75004 Paris (Métro Bastille) Statut juridique: Mon statut juridique est graphiste indépendante en freelance. Ce statut me permet de bénéficier des avantages fiscaux et du droit d’exercer un travail de graphiste. Je suis affiliée à la maison des artistes. Mes avantages: Je paye pas de taxe professionnelle, je suis affilié a la sécurité sociale et je valide des trimestre de retraites. Le statut de freelance me permet

dérivation : main - manuel. Les erreurs à dominante morphogrammique sont donc tantôt lexicales, tantôt grammaticales (dans ce cas, elles portent sur les accords et ne relèvent pas d'une logique immuable). Les erreurs concernant les homophones (ou encore logogrammes) Ceux-ci peuvent être lexicaux (chant / champ) ou grammaticaux (c'est /s'est). Ils peuvent aussi relever du discours. Les erreurs concernant les idéogrammes Est considéré comme idéogramme, tout signe qui ne relève pas uniquement de l'alphabet

style ou de forme. Les égyptiens pensaient également que cette méthode de réflexion était la « plus pure forme d’intelligence », tout comme les listes qui étaient adulées. L’origine des hiéroglyphes serait un système d’écriture primitif composé de logogrammes (caractères) et de phonogrammes (qui transcrit subjectivement un son). Le principe de rébus, où les caractères étaient utilisés pour des mots ayant des sons similaires, aurait été la base de ce système d’écriture. Il se serait développé en ajoutant

objet la langue envisagée en elle-même et pour elle-même» (Saussure) Locuteur : Personne qui emploie effectivement le langage, qui parle. Locuteur natif, qui parle sa langue maternelle et peut juger de la correction grammaticale des phrases. Logogramme : Dessin correspondant à une notion ou à une suite de sons, dans les écritures dites à idéogrammes (hiéroglyphes, caractères chinois). Toutes les définitions ont été relevées dans Le petit Robert, sauf: * Collectif (dir. de G. Mounin)

temps : les graphèmes "ai" dans "chantait" et "er" dans "chanterons" etc. . C Les logogrammes Ils correspondent à la notion de lexèmes ou "figures de mots" dans lesquelles, à la limite, la graphie ne fait qu'un avec le mot, dont on ne peut pas la dissocier. Exemples : "sept" en opposition avec "cet", "Sète"; "lys" en opposition avec "lisse", "lice" ; "thym" en opposition avec "teint", "tain"... Le logogramme a avant tout une fonction distinctive. 39 D Les lettres historiques ou étymologiques