Loi de finances en France

Sircom - 2012 Rédaction : Cellule communication de la direction du Budget Guide pratique de la LOLF Préface Julien Dubertret, DR directeur du Budget À l’été 2001, le parlement engageait, avec l’adoption de la loi organique relative aux lois de finances, une dynamique de modernisation sans précédent de la gestion publique, en mettant la performance au cœur de l’action de l’État et en confiant aux Parlementaires un rôle renforcé dans le contrôle du budget de l’État, désormais

N° 220 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2004-2005 Annexe au procès-verbal de la séance du 2 mars 2005 RAPPORT D’INFORMATION FAIT au nom de la commission des Finances, du contrôle budgétaire et des comptes économiques de la Nation (1) sur les objectifs et les indicateurs de performance de la LOLF, Par M. Jean ARTHUIS, Sénateur. (1 ) Cette commission est composée de : M. Jean Arthuis, président ; MM. Claude Belot, Marc Massion, Denis Badré, Thierry Foucaud, Aymeri de Montesquiou, Yann Gaillard

Finance publique Chapitre I : la loi de finance 1. le cadre juridique budgétaire 1.1. les principes PLF : projet de loi de finance « Budget » vient de l’anglais et veut dire « sac de trésorier ». C’est le compte des recettes et des dépenses. C’est un compte discuté, autorisé chaque année par une loi : la loi de finance. Il y a des principes budgétaires. Ils sont apparus en même temps que la démocratie parlementaire (début 19è). Il y a une finalité centrale : assurer le contrôle des finances

La Lolf ou loi organique relative aux lois des finances, votée en 2001 et entrée en application en 2006 et une réforme majeure du système de finances Français. Cette loi tentaculaire, qui remplit le role d’une véritable constitution financière, a des effets dans tous les secteurs publiques, mais constitue-t-elle un obstacle ou un atout d’un point de vue stratégique ? I A) La Lolf a pour ancêtre l’ordonnance n°59-2 du 2 janvier 1959, celle-ci fut votée peu après instauration de la V° république

I La volonté d’empêcher la loi de passer A) Sentiment de trahison· Le peuple contre cette loi ressent comme un sentiment de trahison de l’Etat et lui reproche d’avoir violé son serment : « c’est un parjure national » (l.10) · Nous apprenons que le Concordat de 1802 a reconnu financer les cultes. C’est pour cela également que le peuple se sent trahi car il n’aura plus les mêmes moyens pour financer les cultes religieux et les hommes d’Eglise : « le gouvernement révolutionnaire

FINANCES PUBLIQUES Les Finances publiques concernent des flux financiers, ce qui entre et ce qui sort des caisses des comptables publics. S’ajoutent à cela des phénomènes plus complexes : l’avance de trésorerie, l’emprunt… pour aller à l’étude de toutes les ressources et charges des personnes publiques. Les finances publiques concernent aussi des sommes finissant par abreuver des personnes privées (traitement des fonctionnaires, subventions aux associations). Les finances publiques sont

Les nouvelles règles de divorce en France La loi du 26 mai 2004 modernise les règles de divorce en France, en les simplifiant et en insufflant un esprit d'apaisement entre les personnes. L'application de la loi : une question de date Ce sont les procédures de divorce engagées à partir du 1er janvier 2005 qui sont concernées par les nouvelles dispositions. Toutefois, les procédures en cours au 1er janvier ont pu bénéficier de la loi à certaines conditions. Les principes : simplicité, apaisement

société. Les finances publiques, c’est de l’argent public régularisé dont l’emploi est régulé par des règles de droit. Nous y sommes parvenus qu’au prix d’un éternel processus, c’est de ce processus dont il s’agit ici. 1. Petite galerie de portait de financiers publiques. Cette initiation nous permet de voyager dans les origines françaises du droit des finances publiques. La poule au pot, ou Sully (1560-1641). Ce qu’il faut retenir de lui, c’est que Sully arrive au contrôle des finances en 1598

compétence qui est à la base de ce concept. Pour Bodin la souveraineté étatique présente 3 caractéristique : la maitrise du droit positif : c'est le pouvoir de donner et de casser la loi. Le prince c'est le souverain législateur. C'est au nom de la souveraineté que le prince peut abroger et changer la loi. Il peut intervenir dans des domaines où le pouvoir monarchique n'était jamais intervenu, exemple des coutumes. Thomas HOBBES, Le léviatan : le souverain d'une république n'est pas assujetti

D. Le droit de douanes …………………………………………………...……13 V)-Comparaison entre le droit fiscal marocain et français A. Avantages du droit marocain B. Sanctions au Maroc et en France Conclusion Sources : Site officiel du ministère des finances : www.finances.gov.ma Site de l’ambassade de France au Maroc : http://www.grenoble-ecobiz.biz/ccig/grexbcdoc.nsf/TBVSchDoc/8d42adcd7a43ecb6c12573790030a16a/$file/Fiscalit%C3%A9_Maroc.pdf Code général des impôts http://www.jobintree.com/dictionnaire/definition-impot-1113