Loi du χ²

7444) -0,1021*** (0,0365) 109 0,0056 (0,0261) 0,1197 (0,1474) 0,4013 (0,4085) 0,7002 (0,7070) -0,0918*** (0,0355) 110 118 (β j = ω p = 0, ∀j , p ) 2 χ 2 (k ) 12,65** 0,23 32,89*** 0,35 10,35** 28,12*** 0,32 8,21* 28,71*** 0,31 14,43*** 32,89*** 0,27 12,14** Pseudo R2 Test de ratio de vraisemblance χ (ω p = 0, ∀p ) (l ) Note : CPIB : le taux de croissance du PIB ; TECH : les termes de l’échange; INFL : l’inflation; FKPB : les flux de capitaux privés

P003-008R-9782100549412.fm Page VI Jeudi, 18. novembre 2010 11:59 11 II. III. Variables aléatoires à une dimension A. Définitions 142 B. Loi de probabilité d’une variable aléatoire C. Loi d’une fonction de variable aléatoire 142 Couple de variables aléatoires A. Fonction de répartition d’un couple aléatoire B. Loi d’un couple aléatoire discret C. Loi d’un couple de variables aléatoires continues 151 151 151 154 IV. Indicateurs des variables aléatoires A. Mode 156 B. Espérance mathématique

que si l’on réalise un tableau croisé et un test Chi-Carré17 entre les professions et les réactions face à la première affirmation, les chômeurs (25% tout à fait d’accord) et les ouvriers (50% tout à fait d’accord) confirment notre hypothèse. Le test χ² renvoie quant à lui une p-valeur de 0,015 qui ne nous permet donc pas de garder H0. On peut donc dire qu’il existe une dépendance entre la profession et le sentiment de voir le jeu comme un divertissement. Notre hypothèse est dans ce cas confirmée.

elle, n’est possible que si la productivité des facteurs est croissante, ce qui implique des rendements crois- sants. Cependant, on a pu montrer que l’équilibre macroéconomique nécessite une fonction de production à rendements constants : c’est la "loi de l’épuisement du produit" : les revenus sont égaux à la production (c’est-à-dire qu’il peuvent l’acheter, mais ne pourraient pas acheter plus) s’il y a des rendements constants. Il apparaît donc nécessaire d’introduire un facteur particulier pour

marchandise que pour les services non marchands. Pour la première, la validation procurée par la réalisation de la valeur (théorisée par Marx) est une conséquence attendue mais hypothétique de l’anticipation (théorisée par Keynes) ; elle n’obéit qu’à la loi du marché. Parce qu’elle trouve acquéreur pour sa valeur d’usage, la marchandise est validée en tant que valeur. Marx disait que la valeur d’usage était une « porte-valeur ». Pour les services non marchands, l’adéquation entre l’anticipation et la

L'organisation du système bancaire avec la première loi bancaire (1967) et l'introduction de groupes marocains dans le capital des banques existantes grâce au Dahir de marocanisation. • De 1986 à nos jours : le lancement des grandes réformes bancaires et financières qui vont aboutir en 1991 à la levée de l'encadrement du crédit, la libéralisation des taux d'intérêt, le décloisonnement des structures et la promulgation de la nouvelle loi bancaire en juillet 1993. Dans ces dernières

A ∩ B ) = p ( A) × p ( B ) On définit une variable aléatoire X sur Ω lorsqu’on associe un nombre réel à certains événements de Ω La loi de probabilité de la variable aléatoire X est la fonction k ֏ p ( X = k ) , souvent présentée dans un tableau : 3-2) Variable aléatoire valeurs possibles probabilité x1 p1 x2 p2 … … xn pn L’espérance de cette loi est le nombre noté E(X) à égal à : E ( X ) = p1 x1 + p2 x2 + .... pn xn = ∑ pi xi i =1 n Répétition d’épreuve : Lorsque l’on

variables Tableau descriptif Inférence • Moyenne, mode, médiane • Variance, écart-type • Test t et IC sur la moyenne • Test c² et IC sur la variance • Test de Normalité • Médiane, mode • Table de fréquences • Test de proportions • Test d’ajustement χ² Formation SMCS : Pratique de la statistique avec SPSS 34 Grilles d’aide à l’analyse Une variable d’intérêt en fonction d’une variable quantitative d’ inté d’ Grilles d’aide à l’analyse Une variable d’intérêt en fonction d’une variable

L'organisation du système bancaire avec la première loi bancaire (1967) et l'introduction de groupes marocains dans le capital des banques existantes grâce au Dahir de marocanisation. • De 1986 à nos jours : le lancement des grandes réformes bancaires et financières qui vont aboutir en 1991 à la levée de l'encadrement du crédit, la libéralisation des taux d'intérêt, le décloisonnement des structures et la promulgation de la nouvelle loi bancaire en juillet 1993. Dans ces dernières années

à elle, n’est possible que si la productivité des facteurs est croissante, ce qui implique des rendements croissants. Cependant, on a pu montrer que l’équilibre macroéconomique nécessite une fonction de production à rendements constants : c’est la "loi de l’épuisement du produit" : les revenus sont égaux à la production (c’est-à-dire qu’il peuvent l’acheter, mais ne pourraient pas acheter plus) s’il y a des rendements constants. Il apparaît donc nécessaire d’introduire un facteur particulier pour