Lois Jules Ferry

de tendance plus libérale). En outre, la crainte d’une remontée bonapartiste (au profit du fils de Napoléon III, Eugène Louis Napoléon) contribue à rapprocher orléanistes et républicains, une « conjonction des centres » qui permet le vote des « lois constitutionnelles » de février et juillet 1875. Celles-ci accordent un large pouvoir au président de la République -élu pour 7 ans par l’Assemblée Nationale (composée alors des deux chambres, des députés et du Sénat), et jettent les fondations d’un

républicains ont pris le dessus. La constitution de grevy : La 3ème république nait à la suite de la défaite de napoléon 3 a sedan en 1803 au 2nd empire et la république est déclaré à l’hôtel de ville de paris mais c’est une déclaration sans officiel. Jules ferry et Léon phare vont déclarer la république. la Prusse refuse de déclarer la paix avec un gouvernement non législative donc des élection législatives vont être organisé et c’est les monarchiste qui remporte. On nomme pierre Adolphe qui est un monarchiste

de la République (4 sept. 1870) et formation d’un « Gouvernement (provisoire) de défense nationale » sous la présidence du Général Trochu (avec Léon Gambetta, Jules Ferry, Jules Simon et Jules Favre). Les armées prussiennes se rapprochent rapidement de Paris qu’elles encerclent, obligeant le nouvel homme fort du Gouvernement provisoire, Jules Favre, Trochu ayant été démis de ses fonctions quelques jours auparavant, àaccepter la reddition du Paris et une convention d’armistice humiliante pour la France

DEVOIR HISTOIRE Les lois laïques de Jules Ferry Introduction : La laïcité designe le principe de la séparartion dans l état de la société civile et de la société religieuse, Elle désigne également le caractère des institutions, publiques ou privée, qui, selon ce principesont indépendantes du clergéet des églises ; l' impartialité ou la neutralité de l état a l égard des églises et de toute confession religieuse. Ce principe a été énoncé essentiellement en deux temps : d’une

division qui existe toujours aujourd'hui. Plus tard, Napoléon a donné le monopole du système éducatif à l’Etat, et c’est de son règne que datent certaines des grandes écoles structurées selon le code militaire, telles que Polytechnique. Avec Jules Ferry (1881-1882), sous la IIIe république, l’école a été rendue obligatoire et gratuite, ainsi que laïque, ce qui signifie que son enseignement et son environnement n’admettent pas la manifestation de dogmes religieux. 1959 : Jean Berthoin redessine

Opportunistes : leur programme politique est d’attendre le moment opportun pour résoudre les problèmes de la 3ème République. Ne forment pas un groupe uni : sont divisés en plusieurs mouvements : centre gauche (modérés) ; gauche républicaine (menée par Jules Grévy, veulent la conciliation) ; l’union Républicaine (menée par Gambetta, plus combattifs). Diversité politique parmi ces opportunistes. Programme de conciliation (relativement légé pour satisfaire toutes les divisions pour former une union politique)

de Jules Grévy, Jules Favre, Jules Simon, Jules Ferry et Léon Gambetta . A.Tiers signera la pais avec l'Allemagne en 1871 qui s'est unifié et il écrase le mouvement révolutionnaire à Paris de la commune en mars/mai. 1873: A.Tiers renversé par la majorité royaliste parce qu'elle s'est sentie trahie. 1876: Les républicains obtiennent la majorité à la chambre. Mac-Mahon: Nouveau président royaliste qui dissout l'Assemblée en 1877. Jules Grévy, Jules Favre, Jules Simon, Jules Ferry et

Elections du 26 mars· Opposition entre le « Comité des vingt arrondissements » radical (moins de la moitié) et le reste plus modéré · Proclamation officielle de la Commune le 29 mars dans Le cri du Peuple par Jules Vallès · Mise en place de neuf commissions analogues à des ministères le 29 mars coordonnées par une commission exécutive· Idéal libertaire, social et démocratique· Cependant = fortes dissensions internes, faible participation aux élections

(1870 – 1905) Il y a des points communs entre la 5ème et la 3ème République comme la référence aux valeurs démocratiques modernes. Dans les sociétés antiques on se réfère à la vertu. Le principe fondamental des démocraties modernes est le respect des lois. Cette valeur nous, vient du siècle des lumières, malgré des difficultés à s’imposer après la Révolution. De plus il y avait la tentation d’un régime totalitaire. Finalement la 3ème République va s’imposer comme règle de jeu politique. Au début de

l’étude des langues régionales à condition qu’il soit facultatif. II. L’unité territoriale : Principe constitutionnel qui remonte à la Révolution. L’Assemblée s’attache à re-diviser le royaume ce qui donne les communes et les départements. Les lois du 22 décembre 1789 et du 8 janvier 1790 qui rejette le fédéralisme et va conduire à un Etat centralisé. Avec l’élection de Mitterrand l’organisation décentralisée a commencé en France. Le système décentralisé n’est pas du fédéralisme les collectivités