Lucidité Et Absurdité

de singularisation se dilue dans le pluriel dès le vers 27 gue renforce l'accumulation des négations au vers 29 « rien, jamais, ne.plus) et la fourmi a quand même disparu à la fin du poème : « Qu'en as-tu fait ? », « elle était », « elle avait ». Absurdité de la condition humaine. L'homme comme la fourmi s'inscrit dans le cycle naturel « ll va pleuvoir...Cela fera /Du bien aux champs »), il est balayé comme elle par l'écoulement du temps (vers 25 à 30). L insignifiance de la fourmi comme de Ihomme

le monde. Ou bien, la vérité est absolue. Dans ce cas, pour toute chose, il existe une réalité qui reste immuable et universelle. Ce qui peut différer, ce ne sont que les perceptions de cette vérité et qui faussent donc celle-ci par un manque de lucidité. Présenter les auteurs : Protagoras : né à Abdère -490 -480. Le plus célèbre sophiste. Le premier à avoir vendu ses services contre une rémunération. Enseigner aux gens l’art oratoire pour bien s’exprimer en public. Ce qui était indispensable

elle vient donner tort au moi, elle l’accuse d’avoir mal fait et cette souffrance est une torture que l’on ne peut que s’infliger en retour de la faute commise en connaissance de cause.     Il est impossible de se dérober indéfiniment devant la lucidité, car elle est toujours présente quelque part en nous. L’homme ne peut jamais être totalement inconscient, ce ne serait pas être homme. Cela se produit certes dans la folie, mais même dans la folie, justement, la souffrance vient dans les déchirements

Si l’illusion est considérée comme devant être dépassée malgré la difficulté que cela représente, quel en est l’intérêt, le gain que l’on peut en retirer ? La perte de nos représentations illusoires est-elle alors la condition de la vérité, de la lucidité, du bonheur, de la liberté ? Cependant si dans l’illusion, nous sommes victimes, c’est bien souvent d’un piège que nous avons bâti nous mêmes. Pour Descartes, ’’nous conspirons avec nos illusions agréables pour en être plus longtemps abusés.’’.

siècle, consiste à prendre conscience que la vie est absurde car elle n'a pas d'autre raison d'être que celle qu'on lui donne en voulant vivre. L'Antigone d'Anouilh a conscience de cette absurdité, ce qui la conduit à l'action et à la révolte, sans illusion mais sans renoncement. Elle accepte son destin en toute lucidité mais si elle reconnaît tragiquement qu'elle ne « sait plus pourquoi elle meurt » (p. 116), elle demande au garde de rayer ce passage pour que « jamais personne ne sache ». L'absurde

pas. .Enfant (faible, seul)-Grande armée (forts, nombreux)  monde à l’envers  le faible commande le fort  pouvoir donner à une personne incapable d’assumer  roi par le biais de la monarchie = Total déséquilibre !  Montaigne appuie sur cette absurdité. .Antithèse : l.10 « Enfant »  aucun groupe nominal / « 2 grands (…) Roi »  groupe nominal extrêmement long. .Montaigne conteste la monarchie héréditaire : -Dangereuse, peut être renversée à tout moment.

tard) Le registre est tragique. Elle le désavoue complètement, lui fait ses adieux. Oreste une fois seul, suite à la véhémence de celle qu’il aime, se remet en question, à du mal à croire ce qu’il vient d’entendre. Il tente de retrouver une certaine lucidité. Mais il est effondré psychologiquement : il réalise qu’ Hermione ne l’aimera jamais après son revirement. Il sombre lentement dans la folie. On assiste à un registre plus pathétique. Nous verrons dans un premier temps la symbolique de la chute du

heures de son exécution. Il prend ainsi conscience de sa vie par sa mort. Cette absurdité est démontrée par l'absence d'échelle des valeurs. Il attache une importance particulière à la disparition du chien de Salamano. En effet, l'homme absurde se sent complètement libre, puisqu'il ne peut suivre les règles d'un monde qui n'a pas de sens. L'homme ne sais plus pourquoi il est sur cette terre. On retrouve cette absurdité dans le mythe de Sisyphe. En effet, il est le symbole de l'homme dans sa lutte

par son absence, son incapacité à participer à la conversation (« Anne n’a pas entendu », « essaye de remonter le cours de la conversation, n’y arrive pas »), ainsi que par son état d’ébriété (« dans ses yeux élargis, immodérés », « des lueurs de lucidité passent encore », « un sourire fixe rend son visage acceptable ») Anne franchit les bornes (« on ose enfin le dire », « elle exagère »).         Mais ce ne sont pas seulement les usages mondains qui sont transgressés par Anne, ce sont toutes les

souffrances sans nuire à la vie du patient existent, et ils existent depuis longtemps. Ils ne cessent de se perfectionner, préservant de mieux en mieux la conscience du malade. Par conséquent, exécuter quelqu’un pour lui éviter des souffrances est une absurdité, puisqu’on peut lui éviter des souffrances sans avoir à mettre fin à sa vie. Mais lorsque quelqu’un souffre vraiment de manière insupportable, lui administrer comme on le doit un calmant puissant, ou même l’anesthésier, présente quand même,