Lymphocyte T cytotoxique

immunitaire impliquées dans la réponse adapté contre un pathogène et décrire leurs rôles : Les polynucléaires macrophages stimulent les lymphocytes T. Les lymphocytes T stimulent les lymphocytes B. Les lymphocytes B créent les plasmocytes. Les lymphocytes B et T ont une mémoire leur permettant de combattre plus rapidement les pathogènes déjà combattu. Les lymphocytes T créent les cytotoxines. Décrire les 2 types de réaction du système immunitaire : 1) Réaction inflammatoire : En cas d'infection

secondaires : les amygdales, les végétations, les ganglions lymphatiques, et les plaques de Peyer (au niveau de l’intestin) * dans les circulations lymphatique et sanguine. - Les cellules immunitaires sont de différents types : lymphocytes T, B, macrophages (dont polynucléaires). - Le système immunitaire possède une « mémoire » : lorsqu’il rencontre un élément étranger (qui fait intrusion dans l’organisme), il est capable d’apprendre à le reconnaître, de garder cette capacité de

souche génétiquement différente, cinq jours après la transplantation D'après Immunologie de Roitt, Brostoff et Male, De Boeck, 2001 Document 3 : Deux électronographies montrant en culture in vitro deux cellules de souris; un lymphocyte T cytotoxique (à gauche) et une cellule cible (à droite) à deux moments différents. Le phénomène observé se manifeste lors d'un rejet de greffe. D'après D Zagury, Documents d'immunologie, apbg, Institut Pasteur, 1988 Partie

capacité de se souvenir de l’antigène pour pouvoir l’éliminer plus rapidement la fois d’après. * La défense cellulaire : composée de nombreuses cellules de défense qui participent directement à l’élimination des germes (macrophages, granulocytes, lymphocytes) * La défense humorale : constituée de facteurs protéiques, d’enzymes et d’anticorps. Elle comprend notamment les cytokines dont les plus connues sont : les interleukines, les interférons, et le TNF(= Tumor necrosis factor) 3/ Quelles sont

transfert adoptif) de lymphocytes T spécifiques d’antigènes de tumeurs pouvait induire une immunité passive, capable d’empêcher le développement de cellules cancéreuses greffées ou même d’éradiquer des métastases établies de ces cancers. Avant même l’identification d’antigènes de tumeurs humaines, le groupe de Steven Rosenberg aux États-Unis avait testé cette approche chez l’homme. Pour cela, il avait induit la prolifération des TIL (tumor infiltrating lymphocytes, lymphocytes T qui infiltrent

les lymphocytes : les cellules B sont CD19+ et CD3- ; les cellules T sont CD3+ et CD19- ; les cellules NK sont CD19- et CD3-. Applications en immunologie La quantification des sous-populations lymphocytaires sanguines permet d’explorer l’immunité cellulaire, avec un décompte des cellules B (CD19+), T (CD3+), et NK (CD16+ et/ou CD56+). Au sein des cellules T, peuvent être distingués les T helpers CD4+ (en particulier dans le suivi des patients séropositifs pour le VIH) et les T cytotoxiques CD8+

chimiotactisme Partie 2 Les défenses spécifiques Elle s acquièrent au contact de l antigène. Elle est spécifique 1/ Les cellules immunitaires concernées Il s agit des lymphocytes B qui ont pour rôle de synthétiser les anticorps lorsqu'il se différencient en plasmocytes Les LT Lymophocytes T8 ou cytotoxique Lymophocytes T4 ou helper 2/ Les antigènes 2/1 définitions Antigène : molécule qui introduite dans l organisme est capable d induire une réponse immunitaire spécifique

sanguins ne sont pas clairement identifié et impliqué dans les phénomènes d’allergie. Lymphoïde  LB et LT LB après activation différenciation en PLASMOCYTES (pdt° d’Ac) LT  divisé en 2 types LT4 ou lymphocytes auxiliaire activation de différentes cellules LT8 ou lymphocytes cytotoxique  destruction de cellules infectées Tous ces leucocytes pour pouvoir être fonctionnels portent à leur surface des récepteurs qui vont permettre de reconnaitre l’antigène (Ag), ces récepteurs ont une structure

leucémie lymphoïde chronique en association avec la chimiothérapie. La leucémie lymphoïde chronique (LLC) est une forme de cancer du sang. Ce type de maladie est liée à la multiplication incontrôlée d’une cellule sanguine, d’un globule blanc appelé le lymphocyte B dans la moelle osseuse et dans le sang, et parfois dans les ganglions, la rate ou le foie. On compte plus de 3300 nouveaux cas de LLC par an en France ; elle représente 1% de l’ensemble des cancers. C’est la plus fréquente des leucémies. Elle

de phase asymptomatique. Cette étape du développement du virus dans l’organisme, varie en fonction des individus (de plusieurs semaines à plusieurs années). Pendant cette période, le VIH, se « ballade » de cellules en cellules et détruit les lymphocytes T4. Lors de cette phase, l’individu ne ressent aucun symptômes, toutefois, parfois sur certain individu, on peut trouve un gonflement des ganglions lymphatiques. En revanche, lors d’une prise de sang, on décèle la présence d’anticorps « anti-VIH »