Lysias

contribuer elles-mêmes aux recettes du ménage, la mère d'Euripide par exemple vendait des légumes sur l'agora. Elles peuvent se recevoir entre elles mais les seules occasions de paraître en public sont certaines fêtes religieuses ou cérémonies familiales. (Lysias, Sur le meurtre d'Eratosthène) Par rapport à l'"oikos" - terme qui signifie à la fois la cellule familiale et le patrimoine - leur fonction est double. Elles doivent d'abord assurer la continuation de la famille en donnant à l'époux une descendance

est propre à persuader. On peut dire que Cicéron est l’un des plus grands orateurs de l’Antiquité. Il prononçait ses discours sur la place publique et l’un des plus célèbres est celui prononcé lors du procès de Catalina. Enfin, l’orateur grec Lysias utilisait également la rhétorique dans des discours judiciaires. On peut prendre pour exemple le plaidoyer Sur le meurtre d’Eratosthène où Euphilète se défend sur le meurtre d’Eratosthène. 2) La rhétorique pour régler des conflits.

Barbara, la chef de service. Après quelques minutes de silence, les trois professionnels paraissent indignés, désapprouvent et expriment leur mécontentement à l’encontre de Barbara. Laura intervient alors en demandant si Lyam sait ce qu’il risque. Lysia acquiesce en regardant la chef de service. Barbara ne sait plus quoi dire, ne sachant pas réellement quelle position elle doit prendre…se ranger du côté de son équipe qui trouve que cette plainte hypothétique est scandaleuse et puérile ou de se positionner

utiliser pour des fins personnels par d’habiles personnes, ce qui en fait, en plus d’être mensongère une parole dangereuse. En effet, Platon dénonce le règne hégémonique d’une rhétorique manipulatrice dans la Grèce antique. Le premier discours de Lysias est vide de sens, mais par des procédés rhétoriques et des figures de styles, ce dernier parvient quand même à persuader Phèdre qu’il faut accorder ses faveurs à un hommes non amoureux, il le détourne du chemin de la vérité, de la Vraie parole.

dessus. Le narrateur évoque donc deux villes différentes, deux mondes différents dans un même village. La guerre crée aussi des tensions entre civils, comme il en existe une entre Lisia Verhareine et certains villageois, notamment le narrateur. Lysia étant amoureuse d'un soldat parti au front elle ne peut s'empêcher, comme les soldats, de voir les hommes du village comme des lâches, ils vivent tranquillement leur vie alors que son fiancé, lui, se bat sur le front et risque la mort à tout moment

fonction publique, il fallut un autre biais pour l’atteindre. Le jour du procès, Xénophon nous rapporte que Socrate n’avait pas préparé sa défense, préférant faire confiance à la sagesse du peuple athénien. Il aurait même refusé l’aide du logographe Lysias, l’un des plus en vue de son temps. Après que Mélitos ait développé les principaux chefs d’accusation, Socrate prit la parole. Il ne chercha pas à apitoyer les juges ou à se justifier.  Néanmoins, la réfutation qu’il fit des arguments de Mélitos était

L'amour est l'amour de la Beauté Mais Socrate ne perd pas de vue ce qui fait l'objet de son discours : montrer, contre Lysias, que l'amour peut conduire au meilleur. Le long détour qui porte sur l'âme et son rapport au monde intelligible n'est pas une digression. C'est lui qui va permettre de montrer que l'amour, au même titre que l'art divinatoire, l'art de la purification et l'art poétique, est une forme de folie, la folie qui s'empare de l'âme quand elle est possédée par les dieux. Socrate

philosophe), il estime qu’elle est au mieux inutile (le vrai et le juste s’imposent d’eux-mêmes), au pire nuisible (on peut apprendre par elle à défendre le faux et l’injuste). Il met ainsi en scène Socrate face à Gorgias et ses disciples et à l’orateur Lysias, qui servent de repoussoirs. Pour Aristote, en revanche, il est idéaliste de condamner la rhétorique et de tenter de l’interdire, puisqu’elle existe par elle-même. Il convient donc d’en tenir compte, de trouver le moyen de parer ses méfaits et

impersonnelle. On dit alors « il est juste de », « il est pertinent de », « il est selon la justice de… ». On évoquait des valeurs qui étaient celles de la cité, existentielles et qui concernaient la victime autant que le coupable. Dans un discours de Lysias, il a dit à propos d’un jugement « si vous ne châtiez pas, vous aurez commis un grand tort à la victime car vous avez négligé la punition adéquate ». Le but de l’orateur était de démontrer qu’il y avait un ordre objectif de valeurs qui a été déstabilisé

inhérent au discours philosophique. Le risque est de dissoudre les propos, de ne plus connaître la question du début ( ce qui se passe dans le Phèdre: Phèdre est suivi par Socrate puis lui lit le parchemin qu'il avait sous le bras, une éloge de l'amour à Lysias, ce que reproche alors Socrate au discours, c'est que 'est un discours bavard), celui qui écoute trop de bavardage risque d'avoir l'esprit troublé. Le bavard c'est celui qui ne sait pas se servir de sa langue, il n'arrête pas de parler. C'est Platon