Lysias

souvenirs du narrateur, qui va nous les livrer de façons assez décousu, tantôt dans le passé, tantôt dans le présent. Mais on a une fin chronologique puis qu'elle se termine par les dernières minutes de vie du narrateur. Il y a tout d'abord celle de Lysia Verhareine qui est une jeune institutrice qui va venir s'installer à V. Elle va habiter dans une petite maison qui se trouve dans la cours du château du Procureur. Ce dernier va s'éprendre de la jeune femme, cependant celle-ci qui paraît si parfaite

contexte historique y est rapporté. Le fait d'approuver un mariage où les deux êtres ne sont pas de la même religion paraît un grand méfait. Ici, Lysia, une des proches d'Annette, ne pouvait imaginer la suite d'une telle union : « Se rendaient-ils compte des difficultés que cette union allait causer et que leur situation était sans issue ?» (p.115). Lysia manifeste sa conception, sa façon de voir à ce moment ; cette expression est précisément au discours indirect libre. Cette dernière cherche à la

métèques tout autrement qu’ils ne comprenaient, eux, leurs devoirs de citoyens ». D’après LYSIAS, Plaidoyer contre Eratosthène, env. 403 av. J.-C., 17-20 Limites de la citoyenneté Limites de la citoyenneté Les métèques p.19 dossier Questions : • Qu’est-ce qu’un métèque à cette époque (texte 2.16)? • Qu’apportent les métèques à la cité d’après Lysias ? • Que reproche l’auteur aux citoyens athéniens ? Source : LYSIAS : (458 ou 440 – 380 avant Jésus-Christ) Orateur attique, auteur de discours à l’occasion

conséquences de la guerre sont désastreuse pour Monsieur Linh. En effet il perd son enfant et sa belle fille « Ils sont morts dans la guerre qui fait rage »p13 mais aussi tout son village « lorsqu’il parle en lui-même du village c’est au passé »p23. Lysia, elle, dans les âmes grises perd l’amour de sa vie « le caporal Bastien Francoeur a été touché à la tête par une rafale de mitrailleuse »p263, elle est complètement détruite « mort le soldat, l’amoureux, celui pour qui elle avait tout quitté »p265

récit qui en situe le contexte, une longue discussion qu'il a eue la veille au Pirée (le port d'Athènes) dans la maison de Céphale (personnage historique, marchand d'armes d'origine Syracusaine et ami de Périclès, père de Polémarque et de l'orateur Lysias) avec Adimante et Glaucon, les deux frères de Platon, après un échange plus bref avec, tour à tour, Céphale, son fils Polémarque et Thrasymaque de Chalcédoine, en Thrace. Il évoque la cité idéale avant de présenter, dans le livre VII avec Glaucon

métèques). Droit : accès aux tribunaux, représenté par un prostatès, droit à la défense, ils pouvaient participer à un certain nombre de banquets. Interdiction : pas de terre, pas de sacerdoces. Environ 25000 hommes en 431. Des métèques célèbres : Lysias, Anaxagore, Hérodote, Aristote. Mais essentiellement des commerçants, des intellectuels, artisans, peintres, sculpteurs, dans les métiers d'argent avec les banques (de dépôt et de crédit, cas du plus gros banquier d'Athènes Pasion) ... Politique de

l’immortalité de l’âme, l’amour, le langage, la vérité … Les thèmes principaux néanmoins sont la beauté dans un premier temps puis le langage, plus précisément son opposition avec l’écriture. Phèdre est un jeune apprenti sophiste, il suit les cours de Lysias dont la renommée en tant que rhéteur est reconnue. Ce qui va occuper Socrate et Phèdre dans ce passage, c’est de savoir qu’est-ce qui fait qu’un discours est bon ou mauvais. On peut facilement préfigurer une attaque envers les sophistes, les sages

maraudeur de passage ? Le petit soldat breton déserteur ? La solidarité de classe n'aurait-elle pas épargné le coupable en la personne du procureur Destinat, personnage impitoyable et glacé ? Et comment expliquer le suicide de la jeune institutrice, Lysia, si pleine de vie ? A partir d'une énigme à la Simenon, Philippe Claudel a construit un roman puissant, à la progression dramatique impressionnante, tableau saisissant d'une France provinciale plongée dans le cauchemar de la guerre. Il a aussi analysé

pour triompher dans l'arène politique » explique Henri-Irénée Marrou [8]. Les sophistes sont en effet des enseignants réputés qui ont été les premiers à répandre l'art rhétorique. Les sophistes les plus célèbres sont Protagoras, Gorgias de Leontium, Lysias, Isocrate, Démosthène. Protagoras est l'initiateur du mouvement sophistique ; il inaugure les leçons publiques payées, et souhaite par son enseignement former les futurs citoyens d'Athènes. Il est également considéré comme le fondateur de l'éristique

métèques peuvent être amenés à prendre les armes aux côtés des Athéniens si la cité est en danger. 2. Le rôle économique des métèques est visible dans tous les domaines. Certains sont de riches banquiers ou propriétaires d’ateliers comme le père de Lysias, d’autres simples artisans. On trouve aussi des ouvriers (sur les grands chantiers de l’acropole par exemple) et des agriculteurs car les métèques peuvent louer une terre à un citoyen et la travailler. En d’autres termes, les métèques et les citoyens