Légèreté Et Le Rire

veulent pas tomber. Que faire? A quoi bon demander à l'infortuné quelle curiosité, quelle merveille il avait à montrer dans ces ténèbres puantes, derrière son rideau déchiqueté? En vérité, je n'osais; et, dût la raison de ma timidité vous faire rire, j'avouerai que je craignais de l'humilier. Enfin, je venais de me résoudre à déposer en passant quelque argent sur une de ses planches, espérant qu'il devinerait mon intention, quand un grand reflux de peuple, causé par je ne sais quel trouble

l'amour semble sans conséquences et prête même à sourire. En effet la scène est qualifiée d'agréable et de ridicule car elle suscite le rire. En effet, dans le texte on entend le rire de Manon avec l'expression hyperbolique mise en fin de phrases « ses éclats de rire » et on entend aussi le rire du dupé qui trouve la scène « fort risible ». Le lecteur a envie de rire car le personnage du vieillard n'inspire pas la compassion. On souligne sa vieillesse « vieillard » « vieux libertin ». Et sa vieillesse

à son sommet. Il a été foudroyé en plein vol. Au propre comme au figuré. Dés lors, l’existence d’Edith a basculé. J’ai connu deux Edith. Avant et après Marcel. (…) A la disparition de Marcel, je n’ai plus entendu le même rire, je n’ai plus vu la même insouciance, la même légèreté. » (p 88 de piaf mon amie) Edith est une femme passionnée et Marcel Cerdan est l’amour de sa vie. A travers cette scène tragique et romantique, Dahan souhaite nous montrer une jeune femme amoureuse. Et elle le fut toute

| |2. Genre dramatique[vi] |Représentation d’une action où |Terreur et pitié (la tragédie) ou |Le drame (tragique mêlé de comique) et le mélodrame | | |s’affrontent des caractères |rire (la comédie) |(tragique démonstratif et moral) ; la farce (comédie| | |opposés | |d’intrigue à l’enchaînement sommaire) et le | |

communs au registre élevé de la mythologie, La Fontaine pratique ce que l'on pourrait nommer une esthétique de la gaieté. Nulle gravité dans l'évocation du combat fratricide des deux Coqs ou dans l'intervention fatidique du Vautour (v. 23), mais une légèreté, une espièglerie, un goût certain de l'incongruité et de la moquerie joyeuse. Ce sont elles qui expliquent la vivacité avec laquelle l'histoire des deux Coqs est narrée ou le jeu de mots qui accompagne, au vers 26, l'évocation du second triomphateur

comme un sujet. La reconnaissance d’autrui peut aller jusqu’à l’amour, dans ce cas l’amour qu’autrui porte sur nous même nous rend heureux, car en réalité nous désirons que l’autre nous désire. Lorsque ce désir est comblé l’Homme a une sensation de légèreté, de joie, qu’il appelle le bonheur. La reconnaissance d’autrui de soi comme un sujet contribue donc au bonheur de l’Homme. Le regard d’autrui est nécessaire à la connaissance de soi, on ne peut exister sans autrui, ni se connaître sans l’autre

la seconde guerre ondiale ( 1939) et don’t le pere fut deporté pendant celle ci. Grumberg se met a l’ecriture assez tard dans les années 60. L’horreur de le guerre et de la shoah plane sur ces textes. L’ecriture est pour lui une therapie, par le rire la derision et la distance il entreprend «  de remonter la pente ». Dans ces pieces il campe des personnages confronté a des situations douloureuse qui tente d’echaper au desespoir par l’humour. Si son oeuvre est varié Grumberg ecrit essentiellement

parodie d’un conte - accumulation des superlatifs et des épithètes mélioratives : présence excessive qui les rend suspects ; les hyperboles sont en fait ironiques l. 51 « le plus grand philosophe de la province, et par conséquent de toute la Terre » = rire, distance par rapport au conte ; - un monde en réalité médiocre : la Westphalie = la plus pauvre province d’Allemagne ; le château = « une porte et des fenêtres », le rôle du roi = un petit seigneur ; le rôle de la princesse = une jeune fille « grasse »

évoquée dans certains vers comme le (V.15) « On se sent aux lèvres un baiser » et aussi le poète devient fou lorsqu'il croise cette demoiselle (V.17) « Le cœur fou Robinsonne ». Le poète montre que pendant l'adolescence l'amour se caractérise par la légèreté et l'absence de sérieux. Déjà dès le premier vers l'insouciance de l'adolescence est évoqué « On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans » et ce vers se répète une autre fois a la fin du poème. Le fait qu'il le répète à la fin du poème montre

: La Surprise de l'amour en 1722, La Double inconstance en 1723 et Les Fausses confidences en sont quelques exemples. Il y est le plus souvent question d'amours légères, ce que l'on appellera plus tard le "marivaudage". Cependant, à cette apparente légèreté s'ajoute dans ses pièces une subtile critique des inégalités sociales. Parallèlement à sa carrière de dramaturge, Marivaux travaille dans la banque puis comme journaliste au Spectateur français, journal qu'il fonde en 1721. Les Personnages : - Iphicrate