Machiavélisme

2ndaire ↓ - exploitera les autres mais se contrôlera bien pour éviter de se faire prendre – b) primaire ↓ et 2ndaire ↑ - pas blesser délibérément quand poursuite de son impulsivité; risque grand d'être pris Et le Big Five o « Dark Triad » : – Machiavélisme – Narcissisme – Psychopathologie primaire – Corrélés avec A- (_.40) et peu avec l’honnêteté-humilité (-.60) o Toujours par rapport au Big Five, Psychopathologie secondaire : – C-, N+ (.50) – A- (moins) Les attitudes politiques o Attitudes sociales

poignarde de désespoir. Commentaire Au couple central de l’œuvre, Othello et Desdémone, succède peu à peu un autre duo : Othello et Iago, liés par la jalousie. Le second est la part sombre du premier, le comploteur, le meneur de jeu pétri de machiavélisme, celui qui insinue le doute jusqu’à l’insupportable, qui met son intelligence complexe, perverse, au service d’une envie vénéneuse. Il est le véritable héros de cette tragédie. Drame nocturne, drame bourgeois et orientaliste, cette tragédie la

réussir en Libye. Les conséquences en seraient alors catastrophiques pour le monde occidental. Il apparaît donc que les puissances occidentales ont fait preuve d’un aventurisme coupable en s’engageant dans cette crise, { moins qu’il ne s’agisse d’un machiavélisme parfaitement cynique. Ce qui devait être une victoire facile est devenu un semi-échec que seuls les médias dissimulent, en raison de l’inconsistance des forces rebelles. L’enlisement des opérations des insurgés ne laisse aux nations occidentales

que la vanité fait partir de la valeur absolue de l‟homme, ce dernier n‟aura besoin que d‟une chose : Ecrire l‟histoire. En effet, le cuisinier se vantera de la bonne saveur de ses diners, le richissime fera écho de son argent, le prince du machiavélisme immortalisera sa puissance, le scientifique inventera la machine à remonter le temps et son incapacité à créer l‟homme ▬pas dans le sens de la procréation ▬le poussera à créer le clone de celui-ci afin d‟assoupir ses désirs de création. Revenant

traditionnelle, il conçoit la société chrétienne comme un corps, dans lequel chaque état a une fonction spécifique et a le devoir d'intervenir pour préserver l'intérêt commun. L'opposition de Luther aux insurgés de 1525 ne résulte donc pas d'un machiavélisme conjoncturel mais d'une théologie politique qui condamne la résistance active. Dans ses premiers écrits, Luther ne bâtit pas un projet social, mais seulement spirituel. Les amalgames Il condamne ainsi le bellicisme et le spiritualisme de

sauver la Tchécoslovaquie, si bien que Munich va convaincre définitivement Staline que la France est en réalité la complice d’Hitler. Il se persuade que les occidentaux laissent faire le dictateur nazi avant de se lancer à l’assaut de l’URSS. Par machiavélisme, Staline va retourner la situation, et va prendre les devants en passant avec Hitler le pacte germano-soviétique, signé le 23 août 1939. Ensuite sur le plan national, les Français sont divisés sur les accords de Munich : on trouve d’un côté des

détermine un idéal de cette politique, il dépeint celle-ci, telle qu'elle devrait être, si quelque chose pouvait être parfait sur cette terre. Or, nul philosophe n'hésitera à désigner le type de la perfection en politique: c'est le machiavélisme. Mais le machiavélisme pur, sans mélange, cru, vert, dans toute son âpreté est surhumain, divin, transcendant; jamais les hommes ne l'atteignent, à peine l'effleurent-ils. Dans cette espèce de politique plus étroite, dans la politique de la vertu, l'idéal

morale hindoue de faire de l'art royal de la politique -âne activité parfaitement conséquente, soumise à ses seules lois, toujours plus consciente d'elle-même. La littérature hindoue nous offre même un exposé classique du « machiavélisme » radical, au sens populaire du machiavélisme; il suffit de lire l'Arthaçâstra de Kautilya qui fut écrit bien avant l'ère chrétienne, probablement sous Chandragupta. Comparé à ce document le Prince de Machiavel est un livre inoffensif. On sait que dans l'éthique catholique

général. Cette attitude diffère profondément de la pensée médiévale contemporaine à Machiavel. 168 La science politique Les lectures de Machiavel : Le machiavélisme est souvent présenté comme moralement condamnable. Edward Meyer a recensé 395 références à Machiavel dans la littérature élisabéthaine et pour tous ces auteurs le machiavélisme est l’incarnation du mal. Pour Spinoza « il est certain que cet homme si sagace aimait la liberté et qu’il a formulé de très bons conseils pour la sauvegarder

l’intègre et les gouvernants sont soit des lions qui agissent par la force ou des renards qui agissent par la ruse. Quant aux gouvernés, ce sont des êtres méprisables, lâches et faibles. Sur cette base sombre et pessimiste va se développer le machiavélisme et l’idée de départ est que la politique relève du principe de l’équilibre des intérêts. Il faut assurer une limitation réciproque des intérêts pour obtenir un équilibre précaire des intérêts pour éviter le chaos. Le pouvoir politique doit donc