Manioc

superficie cultivée et assure plus de 90% de la production nationale. Les cultures vivrières (en premier lieu manioc, puis igname, maïs, arachide, paddy, etc.) occupent 75% des superficies cultivées, le reste étant consacré aux cultures de rente telles que la canne à sucre, l’huile de palme, le cacao et le café (ces deux dernières cultures sont toutefois en fort déclin). A l’exception du manioc dont la production a connu une sensible augmentation ces dernières années, pour l’ensemble des cultures vivrières

à ce jour et ce nombre ne cesse de s’accroître du faite de l’ouverture d’une entreprise de banane plantain b) Economie La culture du cacao est la principale culture industrielle. A cela s’ajoute les cultures vivrières telles que le manioc, la banane plantain, le riz, l’igname etc. Ils pratiquent également la pêche traditionnelle à cause du fleuve BANDAMA. Notons que l’implantation de l’entreprise d’exploitation de la banane plantain à AHONDO, à créer de l’emploi

sous un soleil de plomb » p.109 Prise d’otage : parce que les indigènes avaient refusé de travailler « …d’une troupe de prisonniers emmenés par le capita d’un village voisin. Ils étaient onze, la corde au cou… chacun d’eux portait une charge de manioc sur la tête, lourde assurément » p.203 ils sont tellement avilis et terrorisés par l’homme blanc qu’ils n’en attendent plus rien. « ils n’osent pas prendre la cigarette que je leur tends qu’après un quart d’heure d’approche et de lent approvisionnement

5 2. La place de l’agriculture dans la vie sociale et économique du Burundi L’agriculture au Burundi occupe une place plus que prépondérante, et ce tant dans la vie sociale qu’économique du pays. Outre les cultures vivrières traditionnelles (manioc, patate douce, pommes de terre, bananes, haricots, légumes divers, céréales) retrouvées sur les parcelles exploitées selon les régions, on y retrouve également quelques cultures d’exportation, comme le café, le thé, le palmier à huile et le coton

un rôle important, sinon central. Les Garifunas du nord-est hondurien : une économie du don ? Retour à la table des matières À l'arrivée des Européens aux Petites Antilles, ils trouvèrent un peuple dont la subsistance reposait sur la culture du manioc et la pêche (Rochefort 1665 : 492 sq.), et il semble que toute leur organisation sociale était liée à la guerre contre leurs ennemis, les Arawaks (Dreyfus 1982). Fortement ritualisée, cette activité ne visait pas l'obtention de terres ni de richesses :

ensuite sécher à l’air libre au soleil. Renouvelez de temps à autre l’opération du sucrage. Conservez-les dans une boîte à température ambiante ou au frais.   Féroce d’avocat Ingrédients : 3 avocats bien mûrs, 250 g de morue, 100 g de farine de manioc, 3 branches de cives, 1 oignon, 3 gousses d’ail, 1 piment végétarien, 2 citrons verts, 10cl d’huile, sel fin, poivre Préparation Faire griller les morceaux de morue. Ensuite, les mettre dans un bol d’eau froide. Enlever les écailles et les os

été totalement ou partiellement abandonnée. Le système de production est dominé dans les terroirs de Notto : - par l’agriculture pluviale traditionnelle sur les sols dior avec comme cultures l’arachide, le mil, le niébé, le maïs, le haricot, le manioc, le bissap, la courge et la pastèque. Les superficies qui sont dévolues à cette culture varient entre 6 et 9 ha. - et par l’agriculture maraîchère pratiquée en système intensif toute l’année (et plus particulièrement entre janvier et mais) dans les

Note de la recette : Difficulté : Facile Coût : Raisonnable Sauvegarder Imprimer E-mail Commenter Liste des Ingrédients ________________________________________ - 400 g d`attiéké Produit associé : Couscous de manioc (attiéké) - Produit associé : Attiéké d`Or - 1 cube de bouillon - 2 gros poulets - 1 cuillère à soupe de gingembre frais râpé - Du piment Produit associé : Pâte de piment rouge Bon`épices Produit associé : Pâte de piment vert Royal Bourbon

La nuit, il mange discrètement le limbe des feuilles de bananier quand il est adulte. Sa voracité entraîne des dégâts visibles ; un sursis lui est accordé car les traces qu’il laisse peuvent laisser à croire qu’il s’agit de coupures de fourmis maniocs. Aussi les scientifiques de l'I.N.R.A. de Petit-Bourg ont cherché à connaître son cycle de vie et à savoir comment il occupe le milieu sur une année. I.N.R.A. = Institut National Le hanneton antillais

feu du soir.Là,il vit des quartiers de viandes sur leur étal.Il s’arma d’un couteau …L’époouse du grand-oncle était passé reine dans la préparation du manioc ! Elles le cuisinaient comme les femmes Kanigui. Dans une tranquillité de propriétaire,il se restaura pour une semaine.Quand il se sentit plein,il laissait là os et feuilles de maniocs,reprit le chemin par lequel il était tenté.Il fut heureux de voir que personne ne rôdait dans le coin.Il n’était encore que 9heures environ.Siana s’accroupît