Marché du travail

sur le marché du travail « qualifié » marocain. Cette première évaluation du programme « Action-Emploi » montre d’une part, que la logique fondatrice de ce dispositif d’aide à l’insertion est réductrice de la réalité du chômage des diplômés ; et d’autre part, que l’activité de l’intervenant public n’est pas neutre. La politique d’ajustement structurel, mise en place au Maroc au début des années 1980, a précipité la rupture de l’équilibre fragile qui prévalait sur le marché du travail

2.1 Les indices libéraux et keynésiens 2.1.1 Les analyses libérales en termes de marché Dans le courant libéral, il ya deux tendances : -le courant classique (premier libéraux) -le courant néoclassique (année 50, plus contemporain) Le travail fait l’objet d’une offre et d’une demande, l’offre de travail vient des ménages et la demande de travail vient des entreprises. Sur le marché du travail, le chômage ne devrait être que provisoire et également dans certains cas volontaire.

‐ Evolution de la pensée économique relative au marché du travail (avec mise en avant des stratégies individuelles et collectives d’action dans/sur ce marché) Axes II ‐ Qualification, compétences et évolution des emplois Axes III ‐ Emplois, marché du travail et économie portuaire Pédagogie : Master Logistique Portuaire et Maritime Axes I : Préparation sur support de cours et commentaires/ discussion durant le cours. ECONOMIE DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI Pr. Omar Belkheiri Axes II :

faut que la concurrence joue sur ces marchés. Aucun intervenant ne doit pouvoir imposer ces prix : concurrence pure et parfaite, il faut que l'offre et la demande soient élastique : forte croissance de la demande et diminution quand les prix baisses. C'est le principe établi de l'offre et de la demande. 2‐Macro‐économie Ce que conteste Keynes et les Keynisiens c'est l'idée néoclassique selon laquelle l'équilibre se réalise automatiquement sur tous les marchés, par un mécanisme que vous venez

Q1 Salaire et prélèvements (cotisations sociales patronales et salariales) sont les constituants du coûts du travail. Dans une optique libérale, le coût du travail doit être en rapport avec la productivité du dernier travailleur embauché (productivité marginale). De sorte que si ce coût est supérieur à cette productivité l'employeur n'a aucune raison d'embaucher. En freinant sa progression les pouvoirs publics cherchent ainsi à favoriser l'emploi des moins qualifiés. De manière générale, on a constaté

vu depuis octobre 1992. Et même si les syndicalistes et le gouvernement s’opposent sur les causes de cette évolution, cette nouvelle a le mérite de remettre au coeur des débats les différentes politiques de l’emploi. En effet, la flexibilité du travail, en hausse depuis les années 80, semble s’être imposée comme le moyen le plus efficace pour lutter contre le chômage. Est-ce véridique? Cette politique libérale est-elle une réelle solution sur le court et le long terme? C’est à ces questions que

théorie classique : Section 2 : L'équilibre sur le marché du travail : a. L'offre de travail : b. La demande de travail : c. L'équilibre sur le marché du travail : Section 3 : L'équilibre sur le marché des biens et services : L'offre globale de biens et services : L'égalité entre l'épargne et l'investissement : Section 4 : L'équilibre sur le marché de la monnaie : 1. L'offre de monnaie : 2. La demande de monnaie : 3. L'équilibre sur le marché de la monnaie : Section 5 : La logique du modèle

thème 2 « Travail, emploi, chômage », chapitre 2 « Quelles politiques pour l’emploi ? ». Dans une séance précédente, nous aurons pris le soin de définir c’est que c’est le taux de salaire, le salaire réel, le salaire nominal, les charges sociales, salaires d’efficience et rappeler les notions d’offre et d’emploi, de productivité et de rationnement. Objectifs : Savoirs : - quelles sont les rigidités liées au marché du travail (activités 1) - L’influence de l’Etat dans le marché du travail ( « politiques

Le niveau d’emploi se détermine sur le marché du travail. Cette approche correspond à l’approche néo-classique (pour les keynésiens il n’y a pas de marché du travail) qui se situe dans le courant libéral de l’économie. Dans cette approche, le travail est une marchandise comme les autres qui s’échange sur un marché. Dans l’optique néo-classique c’est la flexibilité du salaire qui permet l’ajustement sur le marché du travail, toute personne qui veut travailler au salaire d’équilibre le peut (aussi bas

par le marché Séquence 5-SE11 99 © Cned – Académie en ligne Introduction ......................................................................................................................................................................... 103 Chapitre 1 > Le marché A B C D ............................................................................................................................... 104 La notion de marché La fonction régulatrice du marché La main