Marguerite Duras Stylistique

avec Marc Marie). Elle écrit sur la langue du monde ouvrier et paysan normand qui a été le sien jusqu’à ses dix-huit ans. En 2008, son roman Les Années, vaste fresque à l'intersection de l'intime et du collectif, est récompensé par le Prix Marguerite Duras, le Prix François Mauriac et le Prix des lecteurs du Télégramme[2]. L'Autre fille, publié en 2011, est une lettre adressée à la sœur de l'auteur, décédée avant sa naissance. En outre, un prix littéraire dont elle est la « marraine » porte

avec Marc Marie). Elle écrit sur la langue du monde ouvrier et paysan normand qui a été le sien jusqu’à ses dix-huit ans. En 2008, son roman Les Années, vaste fresque à l'intersection de l'intime et du collectif, est récompensé par le Prix Marguerite Duras et le Prix François Mauriac. Le parcours littéraire d'Annie Ernaux est très fortement marqué par la sociologie - une démarche sociologisante qui permet d'ouvrir les perspectives d'exploitation du « je » autobiographique : « Le "Je" que j'utilise

écrit sont premier roman en 1974 avec Les Armoires vides, un roman autobiographique. En 1984, elle obtient le prix Renaudot pour un de ses ouvrages à caractère autobiographique, La Place. Les Années, publiée en 2008, est récompensée par le prix Marguerite Duras 2008, le prix François Mauriac 2008, le prix de la langue française et le prix des lecteurs du Télégramme . En 2011, Annie Ernaux publie L'Autre fille, une lettre adressée à sa sœur, décédée avant sa naissance , ainsi que L'Atelier noir, qui

en linguistique, en pragmatique, en analyse du discours ou dans tout autre domaine.   La motivation des styles chez Marguerite Duras : cris et silence dans Moderato cantabile et La douleur Pascal Michelucci ------------------------------------------------- Résumé Les termes « cri » et « silence » apparaissent de façon frappante à la fois dans les romans de Marguerite Duras et dans ses essais sur l’écriture. À la lumière d’autres approches du silence dans les oeuvres littéraires, cet article

expériences réalisées dans ce cours. En plus des extraits proposés en classe, l’étudiant aura lu une œuvre théâtrale complète, Huis clos de Jean-Paul Sartre, ainsi qu’un dernier roman, L’Amant de Marguerite Duras sur lequel portera la troisième dissertation (évaluation terminale du cours). Stratégies pédagogiques Différentes stratégies seront adoptées tout au long du semestre : cours magistral, atelier individuel ou en équipe, discussion, recherche

Le désir mélancolique, maintenir l'objet vivant comme objet perdu, récit est tombeau d'une histoire qui devait passer par l'oubli pour être écrite. Forme Marguerite Borgomano, Duras: une lecture des fantasmes, Cistre, Essais, 1985, France, 238p. Martha Farnsworth Riche, Formes et signification dans les romans de Marguerite Duras, 1977, France, 272 p. L'analyse porte sur une des oeuvres littéraires obligatoires.L'étudiant(e) choisit sa problématique: il est recommandé mais pas imposé de

- - - 【L'écriture féminine】 (1) Les contraintes sociales → pseudonyme masculin (Charles, Bronte) → Anonymat (sans signature) ★ les femmes qui écrivent, considéré conne un vol, culpabilité (réservé aux hommes et enfants) ■ sociale très élevé : Marguerite de Navarre ■ marginalisé = célibataire : Emily Brontë ■ homosexuelle : Sappho (poète lesbienne) ■ religieuses = grande sainte → ce sont des femmes à part. Virginia Woolf « Une chambre à soi » absence de lieu d'écriture pour femme. ★ la position

relire toutes les œuvres des auteurs concernés de près ou de loin à cette mouvance. D’ailleurs l’acte de naissance de l’école : 1957-1958 ne correspond pas à l’acte de naissance littéraire de la plupart des futurs nouveaux romanciers. Par exemple Duras a deux périodes, la 1ère est plus proche de la tradition, la 2e cherche à renouveler la forme romanesque, quoique pas à 100% du NR. Cette 2e période commencerait avecLes petits chevaux de Tarquinia (1953) d’après les critiques. Beckett publie ses œuvres

qui s'étaient engagés dans cette mouvance s'en s'ont libérés pour suivre des chemins plus personnels où l'on retrouve quelques dominantes, ensemble ou séparément : humour, parodie, recherche formelle et stylistique sur les possibilités du langage et de la création. Citons pêle-mêle : Marguerite Duras, Michel Butor, Claude Simon, Raymond Queneau, Georges Pérec. j) Et puis ? Et puis ? Depuis les années 1970 et surtout 1980, on observe un retour à l'expérience vécue chez des auteurs comme J.M.G. Le

l’écriture, l’œuvre - et même l’auteur. Expliquer une œuvre, est-ce critiquer (au sens étymologique de " juger ") le style de l’auteur qui l’a créée ? Il semblerait que non. L’œuvre est un concept très large qui dépasse largement les considérations stylistiques. Une critique uniquement fondée sur les règles du " bon goût ", la critique d’un Laharpe ou d’un Vaugelas, par exemple, paraît ne considérer que la " façade extérieure " de l’écrit - celle du style entendu en tant qu’algèbre. La critique du dix-neuvième