Marquise De Cibo

Médicis. * Un personnage lâche mais peut-être qu’un masque. Dans l’acte I, scène 4, Lorenzo s’évanoui à la vue d’une épée, démontrant une grande lâcheté que le Duc de Médicis semble connaître et croire réel. Cependant d’autre, telle que le marquis de Cibo soulève le doute de la réalité des émotions de Lorenzo. Il informe même le Duc de c’est doute : «Vous croyez à cela, Altesse ? [...] Cela est bien fort » cependant il ne le croit point cependant le doute est ainsi soulevé sur le personnage de Lorenzo

toutes un rôle important dans le déroulement de l’histoire. Marie Soderini, la mère de Lorenzo et celle qui ne reconnaît pas Lorenzaccio ; Catherine Ginori, sa tante, qui permet à Lorenzo de constater l’étendue de la corruption de son double ; La Marquise de Cibo, double féminin de Lorenzo ; et Louise Strozzi, la sœur bafouée puis empoisonnée.Ces quatre personnages ont pour caractéristique commune de nous offrir une vision large des différents maux qui accablent Florence et ces citoyens : la débauche

parlant cette scène vient aussi rappeler au lecteur/spectateur que toutes les tentatives de renverser la tyrannie ont été vaine, non seulement celle de Lorenzo mais aussi celle de Philippe, de ses fils (intrigue Strozzi) et celle de la Marquise Cibo (intrigue Cibo). Cette scène vient donc clore nettement ces trois échecs cuisants. Se remémorer Cette scène est donc importante et la supprimer appauvrit en effet le sens l’acte V car elle rappelle en quelques phrases tout le contenu qui

l’écrivain Alfred de Musset, étant lui même un romantique ravageur de son temps. La place de la femme est une notion qui causera débat dans son entourage, et semble jouer un role intéressant dans la pièce. Elles se réduisent au nombre simple de 5: La marquise de Cibo, Louise strozzi, Marie, Cathrine, et Gabrielle étant les principales protagonistes. Elles semblent occuper une place restrainte, en arrièrre plan par rapport aux hommes de la pièce. Même dans la liste des personnages elles se situent à la fin

rapport contrasté des personnages a la ville de Florence. Ce procédé nous indique l’importance dramatique essentiel de la ville, elle en vient a jouer un rôle ds l’intrigue. C’est elle qui a pervertie Lorenzo, c’est elle qui amène l’adultère de la Marquise. Trois systèmes antithétiques a) La mère nourricière et la marâtre. Acte II,2 : Tebaldeo et Lorenzo .Pour T. Florence est une mère. Idéal artistique d’intégrité et de vertu. Image similaire qui se dvt dans le monologue de Phillipe : personnification

Personnages nobles -> Médicis, Strozzi -> Duc Persos déchirés par leurs engagements -> Lorenzo doit tuer le Duc même s'il sait que sa ne servira à rien + cause sa perte mais à fait promesse à lui mm longtemps auparavant Déchirés par passion -> Marquise Cibo amante du Duc -> mariée mais aime Alexandre -> quand est découverte par Cardinal qui lui dit de profiter de sa position, se dénonce à son mari plutôt que de lui obéir B] Refus des règles classiques irrespect règle des 3 unités : Unité de lieu

logique et ont pour point commun un certain nombre de personnes voulant renverser le duc, Alexandre de Médicis, pour retrouver la Florence qu’ils aimaient. Ainsi, Lorenzaccio et les Strozzi veulent tuer le duc pour arriver à leur fin tandis que la marquise de Cibo veut, de manière plus pacifique, le charmer pour pouvoir le manipuler aisément. En second lieu, Musset étonne en n’écrivant pas en vers et en alexandrins mais en prose, ce qui le détache une fois de plus du théâtre classique. Enfin, la bienséance

l’entrelacement de trois intrigues différentes : des intrigues l’intrigue Cibo, l’intrigue Strozzi, et l’intrigue principale autour de secondaires. Lorenzo, appelé péjorativement « Lorenzaccio ». A l’acte I, deux incidents (sc.2 et sc.3) lancent les deux actions secondaires de la pièce : un ami du duc, Julien Salviati, interpelle grossièrement la vertueuse Louise Strozzi, fille du chef du camp républicain ; la vertueuse marquise Cibo, courtisée par le duc, songe à se laisser approcher dans l’espoir que

supprimé des versions contemporaines de mise en scène, et atrophié voire dénaturé dans certaines rééditions modernes. Mais si Alexandre de Médicis est tué à la fin de l’acte IV, Lorenzo, lui, meurt mis en pièces par le peuple durant cet acte. Le couple Cibo se reforme pour faire bonne figure, le cardinal tire, dans l’ombre, les ficelles secrètes qui lui permettront de s’assurer un contrôle du pouvoir, et la vague républicaine qui aurait dû naître dans le sillage de l’épée de Lorenzo reste très timide

chose que ce qu'il est et pouvoir agir autrement qu'il n'agit. Pourtant, la chance d'un rachat lui est offerte par la marquise (III, 6). Celle-ci, croyant avoir encore quelque ascendant sur le prince, s'efforce de le faire accéder à une conscience politique et le pousse à transformer la situation historique. Or, de cette conscience, Alexandre n'a que faire, lui qui préfère la marquise quand elle ne parle pas, surtout de politique. Alexandre est un personnage qui ne compromet jamais son homogénéité.