Marquise De Cibo

développent les intrigues. Elles sont au nombre de cinq : Lorenzaccio (intrigue 1), les républicains, qui se divisent par la suite en deux camps, celui de Philippe Strozzi (2) et celui de son fils Pierre (3), puis on l'intrigue qui concerne la marquise Cibo (4) et celle qui concerne le peuple de Florence, finalement tous essaient d'affronter le tyran Alexandre de Médicis. Il semble donc qu'il n'y est pas de réelle unité d'action même si toutes ces intrigues finissent par être reliées. Puis, il est

en pleine débauche. Enfin, ressemblance plus subtile mais non négligeable : Alfred de Musset a eu une histoire d'amour avec Georges Sand mais celle-ci l'a trompé à maintes reprises, or, dans la pièce, une femme aussi trompe son mari, c'est la marquise Cibo. Sachant que l'histoire de Lorenzaccio a été donné à l'auteur par Georges Sand et que celle-ci lirait donc sûrement l’œuvre finie , peut-être est-ce un message qu'il souhaitait lui faire passer... La pièce de théâtre Lorenzaccio a donc un côté

zacciLittérature Lorenzaccio 1) L’action se passe à Florence en 1537. Les humanistes place leur espoir en l’Homme au contraire Musset donne une vision pessimiste de l’Homme par exemple le Duc, Le Cardinal Cibo. Personnages très sombres tous tournés vers leurs intérêts très loin de la vision de l’Homme de Montaigne. Musset très pessimiste dans sa vision de la Renaissance. On ne parle pas d’Italie car elle est divisée en différentes républiques, couverte par l’empereur Charles V et le pape. Donc le

machiavélique. Utiliser les autres comme un moyen de satisfaire ses ambitions personnelles est le principe qui conduit l'action du cardinal Cibo. Homme d'église, il n'hésite à pas tirer profit de sa situation familiale (il est le beau-frère de la marquise) pour s'introduire au premier plan des affaires politiques. Il ne craint pas même de recourir au chantage, en menaçant la marquise de révéler sa relation adultérine si elle ne met pas à exécution les plans qu'il a élaborés (ce qu'elle fera d'elle-même par un

pièce permettent au personnage de Lorenzaccio de se dévoiler plus que les autres. Même lorsqu'il n'est pas directement présent, il apparaît dans les conversations des autres personnages. Au début de la scène 4 de l'acte I, sire Maurice et le cardinal Cibo rapportent les paroles du pape qui condamnent Lorenzo et mettent en garde le duc contre ce dernier, cependant Alexandre prend la défense de son cousin. Lorenzo est surtout le principal sujet de conversation de Marie Soderini, sa mère, et de Catherine

transmettre une morale politique par l’utilisation d’un registre didactique. Le ton de la pièce se trouve souvent sentencieux, l’auteur utilise beaucoup de métaphore faisant office de morale au présent de vérité général, tel que les dires de la Marquise de Cibo envers Alexandre : « Ceux qui mettent les mots sur leur enclume, et qui les tordent avec un marteau et une lime, ne réfléchissent pas toujours que ces mots représentent des pensées, et ces pensées des actions » (I, 3). On voit aussi ce registre

qu'à venger son honneur qui a été salie par Julien Salviati lorsqu'il a injurié Louise Strozzi. Enfin la troisième et peut-être celle qui joue un moindre rôle dans la pièce est l'intrigue Cibo. La marquise ayant trompé son mari avec le duc Alexandre et étant menacée par le frère diabolique du marquis, le cardinal Cibo. Venant s'ajouter à la règle des trois unités, la règle de bienséance est une règle stricte qui avait pour but de ne pas choque le public par des scènes ni trop sanglantes,

Maurice et le cardinal Cibo rapportent les paroles du pape qui condamnent Lorenzo et mettent en garde le duc contre ce dernier. Lorenzo = sujet de conver-sation de Marie et Catherine. Les multiples surnoms qui lui sont attribués au cours de la pièce. Au début de la pièce : un masque indique au spectateur que Lorenzo est à la fenêtre déguisé en nonne. 1.3. Seul personnage à agir Philippe se contente de mots et renonce à toute action après la mort de Louise. La marquise pense que son discours

entre les Strozzi et les Médicis-Salviati, le drame se nourrit d'une opposition entre deux familles : Tamora et ses trois fils, ainsi que Titus Andronicus, ses quatre fils et sa fille. La reine Tamora apparaît comme une version accomplie de la Marquise Cibo puisqu'elle parvient à mener comme elle le souhaite l'empereur Saturninus. Titus ressemble à Lorenzo par ses longues tirades : « je confie aux pierres mes chagrins impuissants » (acte III scène 1). Lucius, banni de Rome pour avoir réclamé Justice

maîtresse » en l’encontre de celles qu’il croise. En effet, lors de la première scène de la pièce, moment clé de la débauche florentine, Gabrielle est la victime de notre courtisan, puis ce dernier va très vite dévoiler un certain intérêt pour la Marquise Cibo ainsi que pour Catherine la tante de Lorenzo par la suite. Mais par ce comportement, Alexandre influence sa cour qui s’empresse de vouloir l’égaler. Effectivement, toujours lors de la première scène, Lorenzo émet une véritable « recette » de la