Marquise De Cibo

vu par le lecteur comme étant le héros de la pièce car il sait mener à bien l'action qu'il veut entreprendre, qui est de tuer le Duc Alexandre de Médicis pour libérer Florence, contrairement à certains personnages comme Philippe Strozzi ou la Marquise de Cibo qui diffèrent leurs actions en raison d'un obstacle constitués par d'autres personnages comme Louise Strozzi et le cardinal alors que Lorenzaccio n'agit que pour lui même et par lui-même. Donc nous pouvons dire que Lorenaccio est le personnage

lu te non plus pour être représenté. Par le trop grand nombre de personnes dans les scènes, la complexité des décors, le trop grand nombre de lieux différents mais également les événement difficile à mettre en scène comme la liaison de la marquise de Cibo avec le duc.  Plusieurs enjeux sont placés dans l’œuvre, tout d’abord la désillusion de Musset devant la révolte de juillet mais aussi une représentation du pouvoir qui empêche au population de se révolter. Musset nous fait comprendre qu’une

que les Pazzi font quelque chose ; je crois qu'ils font des armes dans leur antichambre, en buvant du vin du Midi de temps à autre, quans ils ont le gosier sec» (V, 2). La scène V, 3 montre que les époux Cibo se sont réconciliés, et efface alors tout souvenir des manoeuvres politiques de la marquise : «PREMIER GENTILHOMME - Je ne te conseillerais pas d'aller lui en parler à lui-même.» ... dans lequel le peuple n'agit pas plus que les nobles ou les bourgeois Exemple de l'orfèvre et du marchand

exactement de quel type de masque il s’agit. Il nous est cependant loisible d’imaginer que le souci de choquer a conduit le duc et ses affidés à parfaire leur désir de transgression en portant un masque en accord avec leur habit sacrilège. La marquise Cibo, dans la scène 3, a d’ailleurs bien perçu la volonté provocatrice du déguisement pri Il l’avait en effet. Ah ! Malaspina3, nous sommes dans un triste temps pour toutes les choses saintes !

ateliers sont vides. La prsence dun mari tromp par sa femme avec un amant est un des points communs avec Lorenzaccio. Dans cette pice cest le couple Lucrce-Cordiani, et dans Lorenzaccio il y a par exemple le couple Alexandre de Mdicis et la Marquise Cibo. Le personnage dAndr del Sarto a un point commun avec Lorenzo, qui veut tuer le duc Alexandre de Mdicis, car cest un personnage dsespr par son temps et qui donne un sens sa vie en faisant le bonheur de sa femme bien aime et en essayant de russir

masque en accord avec leur habit sacrilège. La marquise Cibo, dans la scène 3, a d'ailleurs bien perçu la volonté provocatrice du déguisement princier. LA MARQUISE Il l'avait en effet. Ah ! Malaspina3, nous sommes dans un triste temps pour toutes les choses saintes ! LE CARDINAL On peut respecter les choses saintes, et, dans un jour de folie, prendre le costume de certains couvents, sans aucune intention hostile à la sainte Église catholique. LA MARQUISE L'exemple est à craindre, et non l'intention

nous constatons que dans Hamlet, les lieux évoqués sont régulièrement des salles ou des chambres du château, alors que dans Lorenzaccio, il y a une plus grande variété de lieux (« dans une rue », « dans la cour », « chez les Strozzi », « chez la marquise », « devant le palais », « le portail d’une église », « une jardin », etc.). b) Plusieurs intrigues La dramaturgie comporte de multiples intrigues et des rebondissements. Le 1er acte met en place l’intrigue principale, une intrigue politique :

(cf avec la marquise Cibo (III, 6) quand elle tente de le ramener à ses devoirs ? « Assez, ma chère, assez » + « Tu as une jolie jambe », lui répond-il. - Intérêt pour l'argent que lui procure son statut: « Je me soucie de l'impôt ; pourvu qu'on le paie, que m'importe ?» B. Une nature cruelle - Il s'arroge le droit de vie et de mort sur ses sujets : - bannit ses opposants qui sont obligés de se réfugier à Pise, Rome ou Venise, et de lui laisser tous leurs biens (I, 6). - Selon la marquise, il a « tué

bras et les jambes, que, comme le serpent, les morceaux mutilés de Philippe se rejoindraient encore et se lèveraient par la vengeance », Acte III, scène 3. La Marquise de Cibo : Objet : céder aux avances du Duc (maîtresse d'Alexandre) Opposants : le Duc / le Marquis Destinataire : Républicains / elle Adjuvants : le Cardinal Cibo. « Si mes yeux ne me trompent pas, c'est donc cette maison qu'est le marteau dont je me servirai. », Acte II, scène III. « Qui est-ce donc que j'aime ? Est-ce

sexuelle de Lorenzo. Ambiguïté des autres personnages : - Le duc : libertin, tyran, mais n'abusant pas de son pouvoir, sachant maintenir le calme sans excès de force. - La marquise de Cibo : épouse fidèle, naïve, généreuse, qui veux convertir le duc avec de l'amour, mais finalement pas insensible au charme du duc ! La marquise fini convertie. Elle est ambiguë. - Philippe : Le vrai personnage positif, sage, mais qui connaît trop le monde pour pouvoir vraiment agir : thème de l'action et de la réflexion