Marshall Sahlins

Goulder : Becker, H. (956, p. ) ; Hobhouse, L.T. (906, p. 2) ; Thurnwald, R. (932, p. 06) ; Simmel, G. (950) ; Malinowski, B. (932) ; Merton, R.K. (957). http://fribok.blogspot.com/ Finalement, le tableau 4. fait état des réflexions de Marshall D. Sahlins49, qui met en évidence trois formes de réciprocité50 : ) la réciprocité généralisée, qui fait référence à l’immédiateté des retours, ou encore au cadre temporel dans lequel le bénéficiaire doit rendre la réciproque pour se défaire de

Hobhouse, L.T. (1906, p. 12) ; Thurnwald, R. (1932, p. 106) ; Simmel, G. (1950) ; Malinowski, B. (1932) ; Merton, R.K. (1957). 90 L’approche systémique de la gestion des ressources humaines Finalement, le tableau 4.1 fait état des réflexions de Marshall D. Sahlins49, qui met en évidence trois formes de réciprocité50 : 1) la réciprocité généralisée, qui fait référence à l’immédiateté des retours, ou encore au cadre temporel dans lequel le bénéficiaire doit rendre la réciproque pour se défaire de

bel et bien étrangers à ceux que nous tentons de décrire. Les sociétés paysannes sont à l’exact opposé de notre mode de vivre ensemble et si on les présente comme des sociétés de misère, alors nous sommes des sociétés d’abondance. Si, comme Marshal-Sahlins, nous les appréhendons comme des sociétés où, au contraire, la limitation des besoins et leur totale satisfaction fait d’elles des sociétés d’abondance, alors notre monde moderne et progressiste n’est qu’un monde du désir inassouvi et constamment

(mode de production capitaliste, rapports marchands, discours mettant en avant la notion de progrès et de modernité sans les définir, etc.). Cette conception critique du développement s’appuie sur les travaux d’anthropologues comme l’Américain Marshall Sahlins, qui défend dans son ouvrage Âge de pierre, âge d’abondance. Économie des sociétés primitives (1970) la thèse que les sociétés primitives, sous-développées au sens occidental, ne connaissent pas la pénurie mais l’abondance du fait du peu de

Irving Janis a analysé plusieurs échecs américains majeurs, tels que l’échec de l’invasion de la Baie des Cochons en 1961 (opération destinée à renverser le régime cubain) ou encore l’escalade de la guerre du Vietnam, et deux réussites : le plan Marshall et la résolution de la crise des missiles de Cuba. Janis constate que les différents groupes de décideurs ayant échoué présentent des caractéristiques communes de fonctionnement, en particulier une intense loyauté envers leur groupe ainsi que des

Irving Janis a analysé plusieurs échecs américains majeurs, tels que l’échec de l’invasion de la Baie des Cochons en 1961 (opération destinée à renverser le régime cubain) ou encore l’escalade de la guerre du Vietnam, et deux réussites : le plan Marshall et la résolution de la crise des missiles de Cuba. Janis constate que les différents groupes de décideurs ayant échoué présentent des caractéristiques communes de fonctionnement, en particulier une intense loyauté envers leur groupe ainsi que des

de production capitaliste, rapports marchands, discours mettant en avant la notion de progrès et de modernité sans les définir, etc.). Cette conception critique du développement s’appuie sur les travaux d’anthropologues comme l’Américain Marshall Sahlins, qui défend dans son ouvrage Âge de pierre, âge d’abondance. Économie des sociétés primitives (1970) la thèse que les sociétés primitives, sous-développées au sens occidental, ne connaissent pas la pénurie mais l’abondance du fait du peu de

Martin BIYOGO Grégoire EBOUSSI BOULAGA F. ELUNGU P.E.A. HOSTIE Raymond HOUNTONDJI Paulin KAGAME Alexis LALEYE Issiaka Prosper Collectif MAURIER Henri NDAW Alassane NGOMA-BINDA P. NKOMBE OLEKO NOTHOMB D. PATHE F. DIAGNE RUCH E.A. ; ANYANWU K.C. SAHLINS Marshall SMET Alfons Josef STAMM Anne TOWA Marcien TOWA Marcien Philosophie et libération Aspects de l'âme malgache Philosophie de l'art et pragmatique Philosophie, culture et devenir social en Afrique Noire Mélanges de philosophie africaine Les philosophes

s'éloigne des liens primaires, plus on s'éloigne aussi du don unilatéral pour se rapprocher d'une réciprocité de plus en plus stricte et finir par basculer dans le marché. C'est la thèse bien connue de la réciprocité généralisée de l'anthropologue Marshall Sahlins [1976] : plus le lien est intime et proche entre donateur et donataire, plus la réciprocité s'étend sur des cycles longs, dont la limite est le don unilatéral. Or le don aux étrangers est unilatéral, tout en se situant pourtant à l'extrême opposé

2004. Pierre Lévèque, Introduction aux premières religions, Le livre de poche, 1997. Danièle Hervieu Léger, Le pèlerin et le converti, Champs, Flammarion, 2001. Jean Piaget, La construction du réel chez l'enfant. Delachaux éd., Paris, 1963. Marshall Sahlins, Âge de pierre, âge d’abondance, Gallimard, 1976. Jean Bottéro, Ba bylone et la Bible, Hachette, 1994. Jean Bottéro, Mésopotamie, l'écriture, la raison et les dieux, Gallimard, 1987. Jean Bottéro, L'Epopée de Gilgamesh Gallimard, 1992. Jean