Marsile de Padoue

supérieur au pouvoir temporel car le pouvoir spirituel a les clés du paradis. Période médiévale 2 auteurs à connaître: Dante (?) a écrit un traité sur la monarchie, condamne le Sacerdotalisme et prône le retour à une monarchie universelle. Et Marsile de Padoue, archevêque très politique et premier ministre de l'empereur. Ses doubles fonctions le déchire, et pour lui le pouvoir esr fondamentalement né du peuple. Il est l'un des 1ers philosophe moderne. PARTIE 2: LE PASSAGE DE LA PHILOSOPHIE POLITIQUE

naturel. Pls états mais pas pls églises car prcpe du salut des âmes. Sans frontières ni Etats. Distinction entre vertus chrétiennes et civiques (fins propres et non spirituelles). II. Le retour de l’exaltation des prétentions césaro-papistes A. Marsile de Padoue 1275-1343 C’est l’adversaire de Jean XXII, défenseur de la paix, exaltation de la puissance politique des rois. 1) La 1ère « statolâtrie » (concept 1920’) L’Etat est naturel, inhérent à la nature humaine. Son dirigeant est dépositaire de la

(entre Clovis et 1914 ; pour JB guerre de 100 ans car la nation est francisée : désigne l'ensemble du royaume à cette époque ; bouter les anglais hors de France : plus sujets du peuple français mais Français). 1- La naissance de l'État Marsile de Padoue l'a conceptualisé. C'était un Gibelin, il a écrit le Defensor pacis début XIX° (1309) dans lequel il développait l'idée selon laquelle à l'intérieur des Res Publica, on poursuit une fin particulière (ordre public...) qui peut accompagner la finalité

marchand,e(B).- A) La société cioile ou l'Etat l'état des hommes en _ _ Le pre,mier chapitre du De Ciue porte sur (). on L'expression étant nouvelle, Hobbes prend soin de la définir ,to p"o pl r. 7.1-E sea> indique bien I'équivalence que Marsile de padoue établit entre , " (potitia) e_r Ia société civile (cirilitas). cf. Defensor ll,comlnjl*a.qre.pohtrque Mtnor (r332-734p), trad. Jeudy et Quiilet, éd. C.N.R.S., 19i9, pp. i80 et l8l. .. 9. L.r. u._ un€vner, < Kemarques sur l'introduction et les

transformer en martyr et il ne rentre donc pas à Florence. Commence alors sa vie d’exilé. Une vie confortable car il est précédé par sa renommée. Il trouve accueil chez de nombreux seigneurs du Nord et du centre de l’Italie. Par exemple à Vérone, Trévise, Padoue, Venise, Lucca et enfin à Ravenne où il meurt dans la nuit du 13 au 14 septembre 1321. Il était encore relativement jeune à sa mort. Cet exil d’une part est relativement confortable car il ne souffre jamais de pauvreté, a de fortes protections mais

est un principe d’autonomie à l’égard des puissances étrangères, idée que « le roi n’a point de souverain es choses temporiex », comme le proclament Les Etablissements de Saint-Louis. Emancipation précocement revendiquée à l’égard du Pape par Marsile de Padoue dans le Defensor pacis (1324) et le Defensor minor (1342). Une telle affirmation trouve du reste son exutoire dans des régimes où le politique vient le disputer au théologique pour défendre le temporel et réévaluer par des règles de moralité

l’antiavicennisme se propagent jusque dans le monde moderne ; toute « analyse spectrale » de la conscience occidentale aurait à en tenir compte. Les raisons et les conséquences de la crue de l’averroïsme, évoluant en averroïsme politique (Jean de Jandun, Marsile de Padoue, XIVe siècle) et submergeant finalement l’avicennisme, suggèrent que les noms d’Avicenne et d’Averroès pourraient être pris comme les symboles des destinées spirituelles respectives de l’Orient et de l’Occident. La philosophie traditionnelle

On aboutit à une construction plus ou moins aboutie des états. Cette idée de développer des États indépendants est contraire à l'idée d'une union universelle. Elle semble être une idée qui va prendre le dessus. Un certain auteur italien Marsile De Padoue va être défenseur de la paix et rédige cet ouvrage à la fin du 13 ème où il défend l'idée des États indépendants et affirme même que les États en étant indépendants sont rivaux et cette rivalité est nécessaire au bon fonctionnement de ces États

environ, il étudie à l'école de sculpture du jardin des Médicis de la place Saint-Marc et il ne tarde pas à être invité dans la maison de Laurent de Médicis, dit le Magnifique. Il fréquente également un cercle d'humanistes et de lettrés tels que Marsile Ficin (1433 – 1499), Francesco Landini (1425 – 1497) et Politien (1454 – 1494). AgéeÂgée de seize ans, il a déjà produit au moins deux bas-reliefs, dont des Centaures qui faitfont référence aux sarcophages de l'Antiquité tardive. Fin novembre 1494

premières nations d’Europe, elles se sont définis en luttant l’une contre l’autre. a)La naissance de l’état Au début du XIV siècle Marsile de Padoue, intellectuel italien, va lancé une réflexion sur la notion de toute puissance ecclésiastique. Il va commenter la notion de plenitudo potesatis (la plénitude de pouvoir) le pape prétend qu’il a tout les pouvoirs. Or Marsile dit « c’est une doctrine perverse », on voit apparaître un nouveau concept politique, celui d’état civil contrairement à l’état chrétien