Marx Et Rousseau Liberté

jusqu’à le glorifier. Ce déplacement des lignes de valeurs a commencé durant la Renaissance, presque explicitée chez Descartes, est visible dans l’Emile, de Rousseau. Particulièrement attaché aux héros de l’antiquité, comme Brutus, il accorde son admiration plus à « l’homme du commun » qu’aux personnalités « en vue ». Implicitement, Rousseau semble accorder aux héros la position de « pointe » d’une société. Ils agissent pour la protéger, mais sans elle, ils ne sont rien. Lors de l’assassinat de César

chrétienne va montrer une certaine préférence à la monarchie, alors que des auteurs comment Saint Augustin, Saint Thomas d’Aquin (13eme siècle) manifestent une certaine souplesse, donc si le pouvoir politique est divin, dieu a laissé aux hommes la liberté de l’exercice de ce pouvoir, malgré cette position de souplesse, cette doctrine recommande la soumission au monarque et donc une interdiction d’agir violemment contre ce pouvoir politique malgré le fait qu’il soit injuste. C’est une position assez

- l’une idéaliste, insiste sur les devoirs de l’Etat au service des citoyens - L’autre, réaliste, constate que l’Etat utilise son pouvoir pour opprimer les citoyens. Il s’agit de savoir si l’Etat, démocratique en particulier, assure la liberté des citoyens ou est au contraire une force de répression. I- L’Etat est au service des citoyens : A- L’Etat répond au service du citoyen : 1) les conditions de vie : Chaque citoyen a le droit de survivre, c’est pourquoi l’Etat

le sujet de plusieurs révolutions, œuvre et pensée philosophique. La liberté c’est la possibilité d’agir selon sa propre volonté. Dans le livre Nouveaux essais sur l’entendement humain Gottfried Wilhelm Leibniz, philosophe Allemand dit que la liberté est un terme ambigu et que c’est celui qui a le plus de moyens qui est libre de faire ce qu’il veut. .Il y a la liberté de droit et de fait. Tandis que pour Emmanuel Kant la liberté est reliée à l’entendement et c’est elle qui marque l’autonomie de l’homme

réduire mais surtout pour savoir dans quelle mesure l’inégalité sociale est justifiée. Certains sont-ils nés pour obéir et d’autres pour commander ?  2. L’inégalité politique tient-elle à la nature de l’homme ? C’est un peu la question que se pose Rousseau dans Le discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes et la thèse qu’il combat. Or pour y répondre il commence par chercher à connaître la nature de l’homme avant qu’elle n’ait été corrompue par la société. La fiction

sur 25 INTRODUCTION I) L’ancrage historique et sémantique de la notion de société civile A) Les conceptions classiques 1) La philosophie politique de l’état de nature a) Hobbes et Pufendorf : équation entre société civile et Etat b) Locke et Rousseau : début de la connotation économique de la société civile 2) L’économie politique de la société marchande a) Mandeville : légitimation du caractère économique de la société civile b) Adam Smith : théorisation de la société civile comme société marchande

pour arriver à un but ou encore de résoudre des situation grâce à sa logique. Ceci m’amène à me demander qu’est-ce qui nous différencie de l’animal ? D’abord nous allons voir le point de vu de Karl Marx, de Jean-Jacques Rousseau et ensuite ma positon face à cette problématique. Premièrement, selon Marx, se qui distingue l’être humain de l’animal c’est, évidement, sa conscience, sa religion mais bien entendue la manière que l’humain travail. D’abord, celui-ci effectue une production d’un bien de

Fiche de cours | | |LA MORALE : LA LIBERTE | | | |Résumé | |

plus vague et plus général. Il s'agit d'une réflexion sur la société. Parti de la philosophie politique. Connexion entre contexte et pensée. Distinction entre pensées et applications. ~ Idéologie: Cote scientifique (comme les idéologies de Karl Marx et de Hitler). Basée sur les pensées. Idée de conviction. Idée de la masse. Subjectivité. Jugement de valeurs. Tout ceci dans le but d'influencer la masse. Provoque la réflexion et l'action. L'idéologie est définie comme un système d'idées, de jugements

introduction sur la liberté ?On peut comprendre la liberté comme la possibilité de faire ce que l'on veut et non ce que veut l'autre de nous. Être libre consiste à agir suivant notre volonté, à agir donc indépendamment de toute pression étrangère, c'est justement là toute la complexité du problème de la liberté.Sujet 1 - L'homme est-il condamné à être libre ?Sujet 2 - « La liberté est le bien suprême pour ceux-là seuls qu'anime la volonté d'être hérétiques »Sujet 3 - La liberté et le libre arbitreSujet