Marx Et Rousseau Liberté

LA LIBERTÉ - Définition courante • Juridique : avoir le droit de faire quelque chose • Liberté d’agir : ne pas avoir de contrainte, faire ce que l’on veut. - Thèse d’Epictète (stoïciens)  agir • Il est possible d’être libre au sein des contraintes, pour cela nous devons comprendre le sens des contraintes et nous transformer afin d’éliminer ce caractère de contrainte. - Thèse de Descartes (partisan du libre arbitre)  choisir • La volonté humaine n’est jamais entièrement contrainte dans

politique autoritaire, Domination politique Opposition envers la France sur tous les plans LIMITES & OPPOSITIONS (liens avec les autres auteurs du programme) Opposition Durkheim / Weber Weber & Marx s'opposent : Pour Weber, les idées (même religieuses) peuvent jouer un rôle moteur dans l'histoire. Pour Marx, les conditions matérielles d'existence déterminent les manières de penser et les consciences. (cf. cours philosophie) ("Ce n'est pas la conscience qui détermine l'être mais l'être qui détermine

de l’enfant « innocent », ou à des loisirs perçus comme des moments de liberté. Sans doute admettons-nous implicitement que le travail est utile ou nécessaire, mais chacun rêve d’y échapper. 2 Travail et humanisation Une double transformation : de la nature et de l’homme • Le travail est dû à la disproportion existant entre les ressources naturelles et les besoins d’un groupe humain. Platon le note déjà, et Rousseau le confirme, lorsqu’il date son apparition de la mise en place des premières

métaphysique voire théologique. Avoisine la liberté, raison et justice. Cette philo a une visée normative, éthique, évaluative. Histoire 1. Classique (chronique, dialectique, idées et biographiques) : porte sur les événements de l’ordre politique. La chronique forme la trame de l’histoire et la science politique y puise ses matériaux. 2. Philosophie de l’histoire : tentatives grandioses et avortées de compréhensions du devenir humain (Hegel, Marx). Pour Popper, la « société ouverte »

-Humanité : homme en général. Ce qui nous différencie de l’animal. On peut préciser qu’en général, on distingue l’homme de l’animal par tout ce qui nous paraît être le signe de la culture et de l’esprit : la conscience, le langage, mais aussi, la liberté. Elle n’est pas naturelle mais construite (cf.Rousseau), du fait même qu’elle n’est pas naturelle avant tout, mais culturelle. On acquiert l’humanité, on naît humain en puissance mais on l’a en acte en allant contre la nature. C’est bien ce que

hors de lui. Faire taire la tyrannie des instincts,c’est précisément être libre. Le travail est donc nécessaire sans lui, l'homme ne peut pas réaliser son humanité. Mais à l'origine, le travail était censé libérer l'homme de la nature, l’humaniser. Marx introduit le concept d'aliénation : le travail est aliéné, c'est-à-dire qu'il est devenu autre que ce qu'il était et qu'il a perdu sa fonction originelle. Cette évolution est arrivée à cause du mode de production capitaliste, où les travailleurs échangent

18ème siècle a été promulgué le Code Noir, qui est un ensemble de textes juridiques régissant la vie des esclaves noirs dans les îles françaises. Il y a là une négation des droits naturels les plus commun auxquels tout individu a droit, à savoir la liberté, et cet ensemble de règles expriment donc un rapport de force des colons sur les noirs. Ces droits positifs réduisent l'être humain à un bien. Hegel a d'ailleurs protesté contre l'esclavagisme et le rapport de force des blancs sur les noirs. Pour

morale est très délicate, et très relative : subjectivité relative * Le malheur des uns fait le bonheur des autres. * La conscience morale est le juge en nous : le problème de la responsabilité relève de la conscience morale. On cite ici Rousseau : « Conscience ! conscience, immortelle et céleste voix, juge du bien et du mal qui rend l’homme semblable à Dieu. » * Deux conceptions différentes sur ce qu’est le bien et le mal : 1ère vision pessimiste : * Le bien n’existe pas, il y

cesser de souffrir, nous devons cesser de désirer (bonheur négatif). Néanmoins, le désir-manque, même s’il est souffrance, peut aussi être conçu comme stimulant indispensable à un bonheur dynamique. Nous aimons le manque, l’inquiétude du manque (Rousseau). b) Le désir-puissance Si on ne se focalise plus sur l’objet manquant mais sur le mouvement du sujet désirant alors on peut concevoir le désir comme puissance, comme positivité. Le désir présent en soi confirme le fait qu’il y a de la vie en soi

____________________________________________________________ _________________________________ SUJET A Questions Les réponses doivent être entièrement rédigées. Une citation à elle seule ne constitue pas une réponse, elle doit toujours être commentée. 1 - Quelle est la thèse de Marx dans cet extrait ? Justifiez votre réponse en vous appuyant sur le texte. (5 points) 2 - Expliquez le passage suivant : « ce qui est animal devient humain, et ce qui est humain devient animal ». (5 points) 3 - Le travail est-il nécessairement aliénant