Maxime La Rochefoucauld

éclipse, de genres littéraires hérités de l'Antiquité : la fable, la satire, les lettres, les maximes et les portraits. La Fontaine illustre magnifiquement le premier dans ses Fables (1668-1678). Boileau, émule d'Horace, écrit des Satires (1666-1668) qui trouvent un grand succès. Mme de Sévigné (1626-1696) mêle dans ses Lettres les « potins » de la Cour et des réflexions morales. Les Maximes de La Rochefoucauld (1664) et Les Caractères de La Bruyère (1688) donnent à la critique sociale une pulsion nouvelle

recherche, Camus, qui avait peut-être un certain goût pour le classicisme, comme le montre l’écriture de L’Etranger, dans une Introduction aux « Maximes et anecdotes », de Chamfort, s’en prend pourtant aux Maximes de La Rochefoucauld, pour leur préférer « les romanciers », véritables moralistes : « Nos plus grands moralistes ne sont pas des faiseurs de maximes, ce sont des romanciers. Qu’est-ce qu’un moraliste en effet ? Disons seulement que c’est un homme qui a la passion du cœur humain. Mais qu’est-ce

2.La plupart des écrivains français du XVIIème viennent de la noblesse (La Rochefoucauld) ou de la bourgeoisie (Molière). Néanmoins certains d'entre eux viennent de milieux modestes (Racine).Certains grands auteurs parviennent à vivre de leur plume (comme Corneille) mais d'autres ne sont pas seulement auteurs, ils peuvent être aussi scientifiques. (Pascal à inventé une machine de calcul qui a contribué à sa célébrité) 3.La censure est aussi fortement utilisée à partir de la naissance de l'Église

son opinion, sans se censurer en évoquant les termes appropriés pour un plus gros impact sur son lecteur qui verra sans doute les choses qu'il pensait si simple différemment. Il y a encore beaucoup à lire pour trouver des révélations comme dans les maximes, les essais, les pensées, les mémoires, les narrations utopiques ou encore les satires mais elles auront toujours sujet sur l'Homme, son quotidien, son futur, son histoire. II. Libération Comme dans la première partie nous allons voir que depuis

d’Angleterre, devenue Madame, à la cour ; elle assiste aux fêtes de Vaux chez Fouquet. Donc elle connait les habitudes de la cour, ce qui lui aidera à écrire son livre. Elle va ensuite à Versailles avec le Roi et la cour, puis fait la rencontre La Rochefoucauld. Elle commence la rédaction de son livre « La princesse de Clèves » en 1672, intitulé à la base « Le Prince de Clèves », paru finalement sous le nom de « Princesse de Clèves » anonymement. En 1689 Mme de la Fayette se retire définitivement du

de Retz. Établie de façon définitive à Paris en 1659, elle fait paraître anonymement La Princesse de Montpensier en 1662. De 1655 à 1680, elle sera étroitement liée avec La Rochefoucauld(l’auteur des Maximes), dont elle dira : « M. de La Rochefoucauld m’a donné de l’esprit, mais j’ai réformé son cœur. » La Rochefoucauld présente Marie-Madeleine de La Fayette à beaucoup de grands esprits littéraires du temps, y compris Racine et Boileau. 1669 voit la publication du premier tome de Zaïde, un roman

revient le plus. Nous allons donc voir quelle est la définition qui est en accord avec le plus d'auteurs, et les avis de ceux qui ne sont pas d'accords. Tout d'abord l'Honnête Homme doit être vertueux. Ainsi, nous pouvons voir que La Rochefoucauld (Maximes), Nicolas Faret (L'Honnête Homme ou l'Art de plaire à la Cour), et Chevalier de Méré (Conversations avec le maréchal de Clérambault) parlent de la grande vertu de l'Honnête Homme. Dans Les caractères de la Bruyère, la vertu chrétienne est

principales œuvres philosophiques. Des genres nouveaux (ré)apparaissent : les lettres, les maximes et les portraits. La marquise de Sévigné (1626-1696) publie ses Lettres qui sont les chroniques de la Cour. En 1656, Blaise Pascal (1623-1662) défend le jansénisme (doctrine selon laquelle nul ne peut être sauvé sans l’intervention de la grâce divine) avec Les Provinciales. La Rochefoucauld (1613-1680), avec ses Maximes et sentence morales (1664) et Jean de La Bruyère (1645-1696), avec Les Caractères (1688)

Cette thématique permet enfin à la narratrice de nous proposer une réflexion sur la vertu et la fidélité qui, si elles trouvent des échos dans le mouvement précieux, sont avant tout des préoccupations chères aux moralistes du XVIIème comme La Rochefoucauld et que fréquentait Mme de Lafayette. II-c) Fides et Virtus : deux valeurs en question. La vertu (virtus en latin) et la fidélité (fides ) sont deux valeurs morales que le XVIIème reconnaît et valorise, et qui sont tout droit héritées

oeuvres classiques,qui trouvent leurs lettres de noblesse dans les genres mondains,fables ou contes de la Fontaine,lettre de Mme de Sévigné,maximes de La Rochefoucauld ou Caractères de la Bruyère,et bien sûr au théâtre. 5.Les genres mondains Il existe beaucoup de style littéraires dans la domaine des genres mandains,tel que:la fable et le conte,la maxime,le roman et la nouvelle. La fable et le conte: Pour les classique,la poésie est un genre mineur.À la luxuriance de l'époque de Louis XIII