Merchandising Benetton

difficultés de recrutement et de contrôle des distributeurs.-Soumise à des contraintes (ex : lois sur les ententes, le refus de vente). | -Montres Cartier, parfums Guerlain, argenterie Christofle ou réseau de concessionnaire (RENAULT) ou de franchises (BENETTON). | 3- Les stratégies de distribution : * Le franchisage : Le franchisage se définit comme une méthode de collaboration entre d’une part, une entreprise, le franchiseur, et d’autre part, une ou plusieurs entreprises, les franchisés .Son

Algériens ;par rapport aux besoins des consommateurs, en plus du développement des points de vente(PDV) en self services (il existe beaucoup plus de supérette qu’avant) en y ajoutant une large concurrence qui pousse le développement du marketing et du merchandising. Large gamme qui incite les entreprises à mettre en place les techniques marketings ou du Trade marketing qui leur permettra d’augmenter les ventes. Page 3 L’impact de la PLV dans le lancement d’un nouveau produit. II. Le thème: 2012

sur-mesure à l’aide d’un outil de production flexible. Lorsque la production est réalisée avec des outils de production numériques, la commande sur le site peut déclencher automatiquement la fabrication du produit demandé. C’est par exemple le cas de Benetton dont le complexe industriel de Castrette en Italie est l’un des plus sophistiqués au monde. Les 7.000 boutiques du groupe réparties à travers le monde enregistrent en temps réel les articles vendus, les goûts et préférences des clients. Ces informations

assez grandes (1000 à 1500 m² ) et de se localiser le plus proche possible des centres-villes et des zones très commerçantes. L’inconvénient de cette stratégie est le coût extrêmement élevé de l’acquisition des locaux. L’enseigne mise donc sur un merchandising de qualité. En revanche, la marque ZARA ne dépense rien au niveau de la publicité. Elle ne cherche pas à se faire connaître ni à être vu à chaque coin de rue. C’est pour cela que les frais de publicité de ZARA ne dépassent pas 0,35% des ventes

lié au cinéma, qui est un marché porteur. Les productions, en particulier américaines, coûtent de plus en plus chères (des blockbusters comme Armageddon ou X-Men peuvent coûter plusieurs millions de dollars) et elles ont d’être rentabilisées. Le merchandising constitue donc une manne financière pour les studios de production et la cible visée est plutôt celle des jeunes. En effet, ceux-ci s’identifient très facilement aux personnages des films, qui participent à leur imaginaire et à leur construction

disponible. 3. Distribution exclusive. (produit de spécialité, de haute qualité, de prestige) Franchisage : forme particuliète de distribution exclusive. (Etam, Léonidas, Prémaman, McDonald's, Olivier Dachkin, Dessange, Jean-Louis David, Pizza Hut, Benetton, Midas, Mister mint, Holiday Inn. 4. Commerce électronique. (e-commerce) 1. De substitution : Dell – Easyjet – Amazon. 2. De complémentarité : FNAC. 5. La communication G3 17 / 28 Les outils de communication : 1. La publicité. 2. La promotion

recours à des intermédiaires : * La distribution est le plus souvent réalisée par des intermédiaires spécialisés (des distributeurs : grossistes, magasins de détail, ...) * Même si les producteurs peuvent s'en charger eux mêmes (Ex : Dell, Benetton) * Ceci pour des raisons * d'efficacité * de réduction de cout * ou encore d'aptitude à offrir aux clients finaux certains services 2. Revente des produits dans l'état, mais ajout de valeur : * Les distributeurs

En 2011, 330 millions de bouteilles. 3) Le nombre d'acheteurs Les marchés des produits de consommation courant sont des marchés où le nombre de consommateurs est très important. On les appelle les marchés de masse. Exemple : Harribo, adidas, benetton, Harry's, Logan... Pour un marché de très petite taille, on parle de niche. Exemple : Ferrari, marché des radios météorologique, Rolls Roy, BtoB, Jeep, Zippo, Berluti... Exemples : Les françaises dépensent moins en vêtement qu'avant et moins

plus coûteuses. La plupart des boutiques comptent en moyenne entre 1000 et 1500 m² (on peut parler de mégastores) et sont situées dans les zones commerçantes des centres-villes. En dépit du coût élevé d'acquisition des locaux, Zara mise sur un merchandising très soigné. Cette importance accordée au point de vente peut expliquer pourquoi Zara ne fait aucune publicité au sens traditionnel du terme : « Nos campagnes publicitaires sont strictement informatives », commente Diego Copado, directeur de

d’un achat d’un objet de luxe. Les boutiques des grandes marques de luxe sont au Japon de véritables œuvres architecturales (cf annexes), où tout est réglé avec une minutie impressionnante, de la lumière à la musique… amenant une réflexion sur le merchandising tellement poussée qu’on y parle de selling ceremony. Le magasin de Louis Vuitton sur Omotesando s’immisce dans cette même logique (cf photos en annexe). Le bâtiment de 1000 m2 a été réalisé en 2002 sous la coupelle de Jun Aoki, célèbre architecte