Merchandising De La Banque

segmentation actuellement utilisée aux Etats Unis « one to one » est une méthode d’optimisation de la clientèle, les entreprises et les banques en particulier ont pris conscience qu’il fallait fidéliser leurs clients, fidélisation qui est fonction de ce qu’on appelle les «trois R» : la reconnaissance, la récompense, et la qualité des relations. Dans cette optique, certaines banques américaines proposent à leurs clients de choisir le visuel de leur carte de crédit parmi un catalogue électronique ou un logiciel

le commerce de détail partout dans le monde industrialisé dès la fin du 19ème siècle, touche à peine les mentalités en Algérie. Aujourd’hui, on voit partout éclore des supérettes : les gestionnaires commencent à s’intéresser aux techniques du merchandising et demain nous verrons des centrales d’achat approvisionner des magasins regroupés sous la même enseigne. Mais que de chemin parcouru entre ces premiers magasins de détail étatiques qui se voulaient des points de vente témoins et l’arrivée des

lui est apporté. A l’origine les TIC avait pour but de traiter les problèmes de fonctionnement : encaissement, gestion de stocks ou comptabilité, aujourd’hui ces outils permettent également à l’entreprise d’être reliée à ses partenaires : les banques et les fournisseurs. 1) Quelques exemples d’application dans la distribution : a- les bornes interactives : c’est un matériel en libre service, destiné à informer ou à conseiller. L’usager « dialogue » avec la borne grâce à un écran tactile.

Vuitton SA. [pic] [pic] Boutique Louis Vuitton de l'Avenue des Champs-Élysées de Paris en 2004 pour les 150 ans de la marque. Bernard Arnault [modifier] En 1989, l'homme d'affaires milliardaire Bernard Arnault lance une OPA avec l'aide de la Banque Lazard, prend le contrôle du groupe en devenant actionnaire majoritaire à 42% et le développe depuis pour en faire le plus important groupe de luxe du monde en diversifiant la production avec des collections de prêt-à-porter, des chaussures, de l'horlogerie

jugée à 31% comme contraignante (contre 25% en 2005), guère mieux positionnée que celle... des banques (34%) ! «Il est tout de même surprenant de constater que seuls 54 % des Français trouvent du plaisir à faire des achats dans les boutiques de vêtements, s'étonne Christophe Girardier. Si la mode fait rêver, ce n'est pas le cas de ses lieux d'achats.» Ainsi, le rapport au temps - une donnée de merchandising essentielle - est très contrasté d'un circuit à l'autre. «J'apprécie de flâner dans les rayons

Encadreur : Mr ZOUAOUI MHAMED Encadreuse professionnelle : Mme KHIARI MYRIAM Année universitaire : 2011/2012 Période de stage : 15/01/2012 au 20/04/2012 t Sommaire Sommaire 2 Remerciement : 4 Chapitre 1 : Présentation de la Banque : 5 1) La Banque internationale arabe de Tunisie : 5 a)Présentation : 5 b) fiche technique et organigramme : 6  Fiche technique : 6  Organigramme 7 2) Département Back Office Titre : 9 a)Définition : 9 b) fonctions : 9 3) Services custody :

serrurier, autres commerces,…) 3. comment organiser le point de vente ? = départementalisation : ▪ Compartimenter les rayons et leur assortiment. ▪ Façon d’organiser l’implantation et leur assortiment. ▪ C’est une technique de merchandising 3.1 Les critères à considérer pour départementaliser. Si priorité = distributeur : accessibilité logistique, sécurité et surveillance, stratégie commerciale. Si priorité = consommateur : nature et prix des produits (assortiment), habitude

Extrait de merchandising : définition et techniques de mechandising : Définition du merchandising Selon la définition officielle de l'institut français du merchandisage, le merchandising rassemble toutes les techniques mises en place de manière autonome ou conjointe, pour améliorer l'efficacité d'un commerce sur le plan de la rentabilité. Une interprétation de cette définition peut être que le merchandising consiste pour les distributeurs ou pour les producteurs à adapter en permanence leur offre

risques du secteur bancaire, exposer les aspects techniques de la règlementation Bâle II, et de façon plus générale analyser les évolutions récentes de la règlementation bancaire. • Contenu : Organisation des filières “Risques” et “Finances” dans les banques. Risques opérationnels et de non-conformité Risques de contrepartie : les méthodes de notation. Risques financiers : risque de taux et de liquidité. De Bâle I à Bâle III Management stratégique (cours enseigné en anglais) Semestre 1 __________

champ d’application : limitée à ses débuts aux entreprises de production de biens de consommation, la mercatique investit aujourd’hui les biens semi-durables, le secteur des biens intermédiaires (business to business), les services au grand public (banques, assurances, tourisme…), les organismes publics, le secteur associatif (charity business) et même politique (campagnes électorales). D. Distinction entre les notions de mercatique stratégique et mercatique opérationnelle Le marketing stratégique