Metalepse

"la vitesse ou la lenteur de l'arrivée de l'oiseau", dans le vers 24 qui dit "la réussite du tableau" b. Synecdoque: dans le ver 32 qui dit "effacer un à un tous les barreaux" c. Antonomase: Il n'y en a pas. d. Antiphrase: Il n'y en a pas. e. Métalepse: Il n'y en a pas. III. Figures de pensée: 1. Antithèse: Dans le vers 22 qui dit "la vitesse et la lenteur" 2. Apostrophe: Il n'y en a pas. 3. Enumération: Il n'y en a pas. 4. Exclamation: Il n'y en a pas. 5. Gradation: Dans les vers 10,11,12

un clin d’oeil … Le contraste entre l’insignifiance (apparente) des objets et la précision pseudo scientifique de leur description »ce glacis ostensible sur toute chose » genette : répétition, variante, parcours en boucles analepses, prolepses métalepses 00

brouillage du perceptif propre à interroger le lecteur (qui devient par là une instance elle-même fragile). c) Métalepse et dialogisme: Diderot détourne la figure littéraire de l’apostrophe, dont l’une de ces propriétés est la brièveté, pour réaliser ce que Gérard Genette nomme une métalepse (c’est-à-dire une apostrophe continue et quasi systématique) de la ligne 46 à 72. Une métalepse que l’on pourrait qualifier de narrative, car il y a intrusion, non point d’un narrateur extra diégétique mais diminué

terre labourée qui était remuée d’une façon singulière » singulière qui signifie étrange  il ne comprend pas et ne voit pas la réalté des boulets de canon 3) Le discours du narrateur qui soutient et souligne le décalage Marque affective « notre » Métalepse ( Mise en abyme) « Nous avouerons  Le narrateur nous montre que le héros ne colle pas avec l’héroïsme traditionnel Ironie et distance du héros avec la scène « Qui ne faisait pas assez attention à son devoir de soldat » « il était surtout scandalisé

I.2 / Variations narrativesCorpus : récits fictionnels modifiant dans l’ incipit la structure prototypique du récit fictionnel : pronoms représentants + passé simple tiroir temporel passé d’aspect global. * Passé composé (accompli du présent) se substituant au passé simple d’aspect global : altération de la continuité narrative (Camus, La Peste ). Notions complémentaires  : repérage déictique

glissé pour nous » = qui a fait cela si ce n’est une main divine le « nous » est mystérieux, évoque-t-il les hommes ?Plus qu’un texte descriptif, celui de Ponge est littéraire, il y a des énumérations de termes géo, inhabituel pour décrire le pain, métalepse qui permet de passer de la croûte du pain à celle de la Terre.Évoque la formation de notre planète « masse amorphe, éructer, glissé dans un four stellaire », volcans en éruptions, stellaire = cosmogonie On peut aussi noter l’emploi systématique de

coordination. Allégorie : Suite de métaphores qui sous forme de descriptions ou de récit servent à communiquer une volonté abstraite. Ex : « La France est veuve » Pompidou Prosopopée : Lorsqu’on prête la parole à des êtres absents ou inanimés. Métalepses : Une action est désignée par son résultat. Ex : Nous le pleurons = il est mort Symbole : Processus de représentation qui permet une reconnaissance immédiate entre un signifiant et un signifié. Les images symboliques sont évocatrices et peuvent

de la satire * Fantaisie onomastique (les patronymes ont des suffixes latinisés « … »). * Litote «  ne manquât pas d’historiens » (l.18). * Appositions moqueuses * Incursion du narrateur/auteur, il rend le lecteur complice => métalepse d’auteur. * Ironies « bel et docte réplique », « il ne manquait autre choses à tant de beaux ouvrages » (hyperbole). * les historiens représentent des personnes qui raisonnent dans l’abstraction. IV- Réflexion philosophique a)

une scène. Rhétorique à Hérennius : « [l’hypotypose] expose les choses d’une manière telle que l’affaire semble se dérouler et la chose se passer sous nos yeux. » (Livre IV, § 68) * Hypozeuxe : reprise d’un même schéma syntaxique. * Métalepse : une action est désignée par son résultat. Exemple : "Nous le pleurons" pour "Il est mort." * Métonymie : figure de mots consistant à désigner un objet ou une idée par un autre terme que celui qui convient : la compréhension se fait grâce

devient réalité tout à coup; les expressions de doute et de fictionalité du narrateur dans la première partie acquièrent un sens nouveau; les personnages ont envahi le niveau extradiégétique. Pourtant, nous n'avons pas là, à proprement parler, une métalepse: il n'y a pas à proprement parler d'invasion réelle ou de changement de niveau. Tout simplement, nous étions trompés sur la nature des niveaux. Nous pensions que le niveau métadiégétique était le niveau diégétique, et que le niveau diégétique était