Metalepse

stéréotypes figés propres au conte avec en outre la présence de superlatifs « le plus » Cependant certains éléments inattendus vont entrainer un effet de décalage et de distorsion b)     La présence de l’ironie -présence marquée du narrateur par la métalepse du début « je crois » qui génère une complicité immédiate avec le lecteur -des rapprochements faussement logiques  comme la relation entre la puissance du baron et la présence de « portes » et de « fenêtres » à son château; de même le rapport entre

de lieu B) Le détournement • Ironie tout au long du texte • Absurdité des propos • Héros bête = Anti-héros (naïf, niais, passif) • Le « héros » C, est chassé à coups de pieds = Humiliant • Intrusion sexualité (Pangloss et Femme de Chambre) Métalepse (désigne une chose implicitement mais le lecteur comprend le sous-entendu) • Troubles amoureux (« genoux tremblèrent », « mains s’égarèrent ») • C. est un enfant non reconnu = batard (péjoratif) • Noms des personnages = ridicule II) Critique

T  / / S / et / R / et des rythmes ternaires qui accompagnent les mouvements de reptation de l’animal. «  frileuses oreilles » : une métalepse qui ne se comprend que par l’action qui précède «  Comme j’ai froid ! ». Le chat, animal terrestre par excellence, profondément lié au sol, aux forces de la terre , ne fait qu’un avec «  le mur tiédi » où il a passé l’après-midi, qui fait écho au

« devenir ») et d’un état présent (suggéré par le verbe « être »). On ne peut pas devenir quelque chose qu’on est déjà, cela négocie la transformation que le sémantisme de « devenir » inclut. Le problème est donc en quelque sorte fondé sur la métalepse, c’est-à-dire sur la figure qui « crée des transferts chronologiques entre les états successifs d’une entité de base » . - Condition d’accueil Le sens de « devenir » et le sens d’ « être », surtout les états (futur / présent) que ces verbes suggèrent

|L’allusion |Fait d’évoquer une chose sans le dire explicitement |«Il / Elle est porté(e) sur la chose » (= allusion sexuelle) | |La métalepse |Faire entendre une chose par une autre qui l’accompagne ou en est la conséquence |Il est vert = il a la nausée, ou il est vexé « voilà une proposition qui va faire tousser ! » (qui va | |

mourir et précipiter au milieu des ennemis) Lipogramme → exercice par lequel on s’interdit d’utiliser une lettre de l’alphabet (ex : Perec, la disparition) Litote → dire le moins pour faire entendre le plus (ex : ce vin n’est point mauvais) Métalepse → figure qui évoque l’antécédence ou la conséquence d’un fait plutôt que de parler du fait lui-même, pour atténuer l’expression. (Ex : hélas, nous le pleurerons !) Palindrome → mot qui peut se lire dans les deux sens Parataxe → juxtaposition

d'agir. Cela montre qu'il n'y a pas de bonté naturelle, donc pas d'acte gratuit. 3)-Un discours grandiloquant "Dernière tirade de Vladimir" Registre Lyrique -> Envolée lyrique Vladimir fait des interrogations existencielles. "Que faisons-nous " : métalepse -> Elle questionne le spectateur sur sa propre condition. Or tout au long de l'extrait on observe que toutes les questions posées par Vladimir sont restées sans réponses. Ce qui montre une fois de plus l'incommunicabilité des hommes. "...seuls au

l'ironie dans la réplique "cette justice-là". Le lexique de la souffrance contribue également à cette dénonciation. Arlequin, par son mouvement, son élan d'émancipation : "Adieu, mon ami, je vais trouver mes camarades et tes maîtres" signale comme une métalepse l'entrée dans un univers fictif bien différent. Il annonce finalement l'UTOPIE et la leçon qu'il va falloir en tirer, le cours d'humanité que la pièce se propose de délivrer: "Quand tu auras... Tu"/ il emploie également l'expression "la même leçon"

l’histoire , cherche à défendre une idée . Fonction Régie : Le narrateur parle de son histoire de la façon dont c’est écrit , organisation du récit . (extrait 1 “pendant deux cent…”) Fonction communication : Parle de la narration , parle au lecteur . Métalepse : Transgression des niveaux narratifs (fondé sur la logique) Cette infraction peut-être ludique (manifeste que la fiction n’est pas soumise à la fonction de la réalité) peut-être sérieuse (Généralement du fantastique car on met l’accent sur rompre

et qu'il est ignorant. De plus l'expression « fort humain » permet de marquer le décalage entre les valeurs militaires ou guerrières épiques du héros traditionnel et les valeurs bien différente de Fabrice. Il y a également l'utilisation d'une métalepse qui consiste à prendre la cause pour la conséquence et donc une substitution d'un mot par un autre : « Nous avouerons que notre héros était fort peu héros en ce moment ».Il y a la présence du narrateur par la première personne du pluriel « nous »