Mimesis

familiales. En quoi est-ce un fait de culture ? 1. L’aspect culturel des séries télévisées est le concept de la « mimesis » qui signifie l’imitation du réel. Prenons la série 24 heures chrono par exemple. Cette série met en scène Jack Bauer, un agent fédéral américain qui lutte contre le terrorisme à l’aide de la CAT (Cellule Anti-terroriste). Cette série utilise la « mimesis » en introduisant le concept de temps réel : chaque minute qui se passe dans le feuilleton correspond en théorie à une

les moindres porosités langagières et détruisant toute frontière entre rationnel et irrationnel… => donc comment analyser ce paradoxe profondément gênant ? Est-ce réellement possible qu’E. se cantonne à une posture admirative, à une sorte de mimesis verbale devant rejouant les principales caractéristiques du dessin réalisé par Man Ray ?  évoquer et trouver un consensus sur une question ambiguë : comment allier à la fois liberté inhérente à une idéologie poétique et servilité pour entrer en

bidimensionnelle des objets à trois dimensions de manière à ce que l’image obtenue corresponde à la vision directe.! Enfin, la réduction de la taille des objet est faite selon leur éloignement.! La question de la perspective est soulevée par l’esthétique de la mimésis.! Alberti : « La peinture est comme une fenêtre ouverte sur l’Histoire. »! La première construction en perspective est en perspective centrale (appelée légitime par les Allemands).! On observe trois étapes dans l’invention de la perspective: ! - L’expérience

raison - Respect des Anciens et suivre leur exemple - Le bon-goût préfère des modèles dits "honnêtes" ou "délicats" b. L'interprétation classique de la mimésis - Jean Chapelain, la Mesnardière, l'abbé d'Aubignac se basent sur la Poétique d'Aristote et L'Art poétique d'Horace pour leur nouvelle doctrine - Chapelain mésinterprète la définition de la mimésis - Jean: nécessité d'imiter à la perfection l'objet décrit. Aristote: saisir l'esprit des êtres et des choses afin de rendre au mieux leur essence cachée

un rondeau, il faut suivre les quatre étapes : 1. La syntaxe (proposition, ordre, fonctions) 2. Vers (poétique) 3. Sémantique (similitudes et différences, Maguelonne/Dido sont comparées sur l’inaction. C’est une vertu (ironique ?) 4. Mimésis (espace, temps, locuteur, destinataire, connotation). Les commentaires sont une aide à l’explication et pour la rédaction. Homéoptote : rime en mots qui sont morphologiquement semblables. Polyptote : rime mécanique (ex : nouvelles/renouvelles)

autocritique réaliste (Préface d’A Rebours) I..2. bases conceptuelles du réalisme Le choix d’une forme : le roman. Cf précurseurs : Flaubert, Balzac. Forme par excellence de l’expérience individuelle, d’une adéquation avec la réalité Règne de la mimèsis : importance de la description exhaustive ex : casquette de Charles Bovary, Germinal, portrait du colonel Chabert… ; choix du détail : Gracq :le pouvoir séparateur de la litté a augmenté avec le temps (microscope) ; transparence : cf 18 Aout

d’Aristote (IVe avant J.C) è Tragédie mettait en scène des héros hors du commun accablés par le destin mais elle ne devait pas s’écarter du naturel : « Imitation d’une action complète et achevée avec un commencement et une fin » Aristote (=> mimésis) + phénomène de catharsis : fonction civique et didactique => théâtre fait pour plaire et toucher, inspirer la crainte/terreur/pitié - Règle des 3 unités (action, lieu, temps) > vraisemblance > bienséance è Le théâtre classique clair

concept de figures La poétique=une théorie du texte littéraire dans le texte dans le concept clé est celui de l’imitation/la mímêsis La mímêsis - ctd la représentation, l’imitation -le mot essentiel, le mot clé de la poétique d’Aristote, au cœur de la poétique d’Aristote. Définition selon Aristote La Poétique d'Aristote, définit le théâtre comme une “imitation” (mimesis) des “hommes en action”, “au moyen d'une action”, et non d'un récit, comme dans l'épopée, par exemple. Même si, définie ainsi

Fictionalité et factualité dans l’Inde moderne et contemporaine Controverses critiques indiennes sur la mimesis réaliste par Didier Coste Professeur de Littérature Comparée Dans un article sur Shadow Lines, faisant partie du dossier critique annexé à l'édition universitaire de ce roman chez Oxford India, Meenakshi Mukherjee affirme qu'il n'appartient décidément pas à la veine réaliste, entre autres raisons parce qu'il met en question le savoir de la réalité, ce qu'on en peut savoir, et perturbe

l'exégèse), la mimesis (ce qui donnera le théâtre), le dithyrambe. Le troisième terme est un combiné. Il est plus libre, on peut l'associer à la poésie. Cette tripartition générique est une bipartition, une simple opposition entre la représentation (par le corps et la voix) et l'exposé. Ce qui prime n'est pas la taxinomie, ce qui compte est le rapport à la parole. C'est une parole qui circule de manière différente. Platon ajoute qu'un de ces modes est plus périlleux que les autres : la mimesis. On trouve