Mimesis

et crainte, opère la purgation propre à de pareilles émotions » Cette citation d'Aristote explique la catharsis. (terme médical) la pièce de Sophocle Antigone donne les règles de la citoyenneté Tout art est imitation l'art imite la nature : mimesis le héros doit être complexe, pas si vertueux ni pervers mais qui commet une erreur fatale. Quelqu'un qui te ressemble (someone like you) hybris : acte d'orgueil. Antigone croit qu'elle peut outrepasser les règles de la cité, mais sa témérité sera

indique qu’il y a du feu. Cause à effet * Symbole : ex : feu rouge : signe qui constitue un symbole * Relation analogique : La ressemblance, liens qui existent entre les relations artistiques. Aristote à lié les arts entre eux : « mimesis » Livre 1 de la politique. Rimbaud lie la poésie à l’objet ( ex : « La bohème ») Horace : « La poésie c’est comme la peinture » II : Relation entre l’image et le texte Au moyen âge il y a aussi une unité entre les différentes activités artistiques

l'artiste. => On ne peut parler d'inspiration car elle n'explique rien. Relation entre art et Nature. → L'impératif de représentation de la nature s'impose t-il à l'artiste? Position de Platon dans la République et Aristote : «  l'art est mimésis » ( = conséquences négatives ) ce qui signifie qu'il se trouve, dans un rapport d'imitation, au bas du monde « sensible » ( monde de l'erreur, de l'ignorance, de l'illusion ) et donc beaucoup plus loin du monde intelligible ( connaissance, réalité

le sujet, alors qu'il est en fait médiatisé par autrui. Partant de cette idée, on peut considérer l'objet d'art comme cet objet désiré mimétiquement. Chacun étant persuadé de la vertu de cet objet pour lui-même, alors qu'en réalité ce n'est que la mimesis du jugement des autres sur cet objet qui s'exprime dans cette appréciation. Cela explique les changements de critères par époque, cela explique aussi la non-unanimité par époque des critères : l'art contemporain par exemple serait un beau cas d'étude

Ling (l. 20-46), sa rencontre avec Wang-Fô (l. 47-114), ce qu’y s’en est suivit pour lui (l. 115), avant de passer à l’arrestation du peintre (l. 154-181). S’en suit une pause descriptive portant sur le palais impérial (l. 182-229), avec un effet de mimésis pour aider les lecteurs occidentaux à se représenter ces lieux exotiques peu connus. Ensuite, dans le dialogue de l’empereur avec Wang-Fô, apparaît le récit de sa jeunesse et de sa découverte des toiles du peintre (l. 258-316), qui se construit

contestées au nom de préoccupations esthétiques et en fonction de l’affirmation de la subjectivité de toute activité perceptive. La description est ainsi condamnée par Valéry qui parle d’ « écriture servile », morceau de bravoure ou expression de la mimesis. Gide l’enlève des Faux-monnayeurs. Breton dans Nadja la remplace par la photographie. On assiste en particulier dans les nouveaux romans à une mutation de la description : il s’agit d’enrayer l’illusion référentielle, de mettre en valeur la matérialité

par Aristote dans La poétique que la commedia dell’arte va s’imposer. Ainsi, le principe de mimesis invoqué par Aristote comme vecteur d’une réalité ontologique est d’emblée mis à mal par la représentation italienne qui tend davantage au plaisir qu’à l’éducation de son public. La représentation théâtrale trouve son principe-même dans une finalité divertissante et dans un idéal esthétique. Ainsi la mimesis devient plus un jeu sur la réalité qu’une interprétation exacte de celle-ci. Mais pour effectuer

l’art imite la nature. Position fondamentale de la Nature -Poétique : mimesis comme représentation. Une tendance naturelle -Partie des animaux : l’Art fait ce que la Nature est incapable d’effectuer -retournement de Wilde  2. Platon, la Vérité, le dialogue -mimesis comme imitation, question du Beau jamais autonome : la Vérité -Wilde l’envers ironique du système platonicien : hiérarchie platonicienne (Idée>objet>mimesis de l’objet par l’art) / hiérarchie wildienne (Sensation pure>Nature). Le

la théorie (Points Seuil) [En confrontant les acquis de la théorie littéraire aux préjugés du sens commun, cet ouvrage constitue une bonne introduction aux problématiques générales abordées en hypokhâgne : la notion de littérature, l’auteur, la mimèsis, le lecteur, le style, l’histoire et la valeur] A. ERNAUX, L’écriture comme un couteau (Folio) [Stimulant dialogue avec Annie Ernaux, une figure importante de la littérature contemporaine. Vous pouvez éventuellement compléter la lecture de cet entretien

excessif de puissance et de gloire. Manichéisme : Conception qui divise les choses en deux parties. L'une est considérée comme le positive et l'autre négative. Mélioratif : Se dit lorsqu'on présente une idée ou un objet sous un aspect favorable. Mimesis : Se veut être une imitation conforme du réel. Satire : Oeuvre par laquelle on raille ou on critique vivement. Pacte de lecture : Tout texte propose à son lecteur d'accepter un certain nombre de contraintes. Elles sont conditionnées par un certain