Minimum wage

-l’intéressement et la participation favorisent la fidélisation des salariés. .La rémunération est en principe librement négociée entre le salarié et l’employeur. Elle est tout de même soumise à plusieurs obligations : -respect d’un salaire minimum (les salariés à temps plein ne peuvent être rémunérés en dessous du Smic.) -Remise d’un bulletin de salaire (le bulletin de salaire comporte plusieurs mentions « salaire brut et net, nom du salarié, cotisations retenues … ») -Respect du principe

constante d'une baisse du chômage et d'une augmentation des salaires dans de mêmes proportions. C'est à dire une logique ''optimale'' opérée par les partenaires sociaux allemands où la variation du prix du travail n'est pas planchée par un salaire minimum comme il peut en être le cas en France avec le SMIC. Dès lors, on peut modéliser cette situation sous la forme d'une loi entre offre et demande d'emploi où le salaire n'est pas rigide. Cette situation se révèlera dès lors profitable pour l'économie

fabrication et enfin du secteur primaire. On constate aussi que bien que beaucoup de retraité reviennent occuper des emplois à temps partiel et à petits salaires, ce ne sont pas eux qui possède la plus grande proportion de rémunération au salaire minimum, mais les 15 à 24 ans. Concernant l’horaire de travail, on note que les 45 à 54 ans ont la plus longue semaine de travail, suivi des 25 à 44 ans. Les jeunes préfèrent un horaire court, suvi des gens de 55 ans et plus. Ce qui rejoint bien les statistiques

des personnes sans emploi rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières d'accès à l'emploi. Sa durée minimale est de 6 mois et sa durée maximale de 24 mois renouvellement compris ; il peut s'agir d'un temps partiel (avec un minimum de 20 heures hebdomadaires, sauf exception) ou d'un temps complet. La possibilité de conclure un CAE est ouverte aux employeurs du secteur non marchand (pour l'essentiel, collectivités territoriales, autres personnes morales de droit public, personnes

n'ont rien, qui ne peuvent rien, qui ne sont rien un moyen de vivre ou plutot de survivre". 1er décembre 88 création RMI, qui constitut un dispositif contre la pauvreté en tentant de supprimer toutes formes d'exclusion avec un droit à un revenu minimum et un accès à des droits connexes. Le RMI desincite au travail, par les efftes de seuils qui réduisent les minima sociaux et alimentent les difficultés des travailleurs pauvres, conduisant certains à préférer la sécurité d'une allocation à l'incertitude

SMM*35/100*1= SMM*35/100*7/12= I.L=total Prime d’ancienneté est calculée par application d’un taux sur le salaire minimum catégoriel du secteur d’activité de l’employé. Ce taux est de : 4/100 après 2 années d’ancienneté, 2/100 par année supplémentaire au – delà de la 2èmè année Exemple : 1- M.Mengue jouit d’une ancienneté

universel. Dès sa création le 4 octobre 1945, la Sécurité sociale affiche l'objectif de généraliser progressivement la protection sociale à l'ensemble des français. Une logique de solidarité fait son apparition. Chaque français a droit à la garantie d'un minimum vital, qu’il exerce ou non une activité professionnelle. Pourtant, les prestations sociales ne s’arrêtent pas là et concernent aussi la vieillesse, la maternité ou famille, l’emploi, le logement et la pauvreté.

l’usage de leur « force de travail ». – La conception des classiques Le salaire « naturel » (selon David Ricardo) est le revenu minimum qui permet au salarié d’assurer la reproduction de sa force de travail, c’est-à-dire de subvenir à ses besoins physiologiques ainsi qu’à ceux de sa famille. – La conception marxiste Le salaire, pour Karl Marx, est aussi un minimum qui permet la reproduction de la force de travail. Il y intègre en plus la satisfaction des besoins sociaux (santé, éducation, logement)

de celui des années 60. *Les accords de Grenelle, conclus le 27 mai 1968 à l'hôtel du Châtelet mais jamais signés, aboutissent essentiellement à une augmentation de 35 % du SMIG (salaire minimum interprofessionnel garanti) et de 10 % en moyenne des salaires réels. Ils prévoient aussi la création de la section syndicale d’entreprise, actée dans la loi du 27 décembre 1968. II. Le partage de la valeur ajoutée, un enjeu économique

1. Les comptes 42 « Personnel », 43 « Organismes sociaux » et 44 « État » : a) Sont débiteurs uniquement ; b) Sont créditeurs uniquement ; x c) Peuvent débiteurs ou créditeurs. 2. En SCF, l’entreprise doit enregistrer en charge de personnel : a) La rémunération nette ; x b) La rémunération brute ; x c) les cotisations patronales. 3. Les jetons de présence sont enregistrés en : a) Charges de personnel ; x b) Autres charges de gestion courante. 4. Les salaires