Misanthrope Instruire Plaire

se mélange pas à la tragédie) c. Imitation des Anciens (littérature grecque et latine) –  Adaptation d’œuvres antiques à l’esthétique classique III. Tragédie et comédie Une esthétique inspirée d’Aristote (philosophe grec) —  Plaire et instruire —  La règle des trois unités (cf : Boileau, Art Poétique) —  ◦  Action (une seule histoire) ◦  Espace(un seul lieu) ◦  Temps (un seul jour) —  Fonction morale du théâtre ◦  Tragédie « purge les passions » en pleurant ◦  Comédie

comédie ne se mélange pas à la tragédie) c. Imitation des Anciens (littérature grecque et latine)  Adaptation d’œuvres antiques à l’esthétique classique III. Tragédie et comédie  Une esthétique inspirée d’Aristote (philosophe grec)  Plaire et instruire  La règle des trois unités (cf : Boileau, Art Poétique) ◦ Action (une seule histoire) ◦ Espace(un seul lieu) ◦ Temps (un seul jour)  Fonction morale du théâtre ◦ Tragédie « purge les passions » en pleurant ◦ Comédie « corrige les mœurs »

d’unir deux fonctions essentielles de la littérature : plaire et instruire. Ainsi l’apologue fait appel au discours narratifs, plus vif, et donc plus apte à plaire au lecteur. De nombreuses stratégies sont déployées pour rendre vivant un récit. Ainsi, dans « Les Obsèques de la lionne », La Fontaine choisit de faire alterner discours direct et récit afin de créer une polyphonie, pour ne pas lasser le lecteur. Molière, lui, dans le misanthrope acte I,1, nous présente, dans cette exposition donc, les

officiait à la Cour de son protecteur le Roi Soleil. De simples farces telles Les fourberies Scapin, jusqu’aux comédies-ballets en collaboration avec Lully comme le Bourgeois Gentilhomme, en passant par des comédies satiriques plus subtiles comme Le Misanthrope, l’auteur laisse une œuvre aussi riche que variée. C’est en 1664 qu’il représente pour la première foie sa pièce Le Tartuffe dans les jardins de Versailles. En s’attaquant ouvertement à la fausse dévotion, Molière fait scandale et s’attire

tout en poussant la réflexion sur les travers de l’humanité.Le théâtre au XVIIème siècleSous le règne de Louis XIV le théâtre connait son apogée, principalement sous l’esthétique du Classicisme, un mouvement les incitant à plaire par l’élégance du vocabulaire et des vers et instruire en poussant à la remise en question et en transmettant une morale. Les dramaturges alors les plus connus sont Corneille et Racine qui se sont consacrés à la tragédie, et Molière qui s’est voué à la comédie. Le théâtre permettait

dénonciation et de correction des vices de la société et dans un deuxième temps nous parlerons de l’aspect ludique de la comédie. I-LA COMEDIE COMME OUTIL DE CORRECTION DES VICES DES HOMMES La comédie classique est censée plaire mais aussi instruire le spectateur. Dans cette perspective, on a affaire bien souvent à un comique empreint d’ironie. Il s’agit de se moquer de quelque chose ou de quelqu’un en disant le contraire de ce que l’on pense. Bien que les deux registres soient différents

et d’Eugène . Nous allons essayer de mettre en évidence les préceptes généraux de ces deux personnalités en se basant sur quelques extraits de textes. Il s’agit d’analyser des scènes de conversations dans deux pièces de théâtre de Molière : Le Misanthrope ainsi que Les Femmes savantes. Il est intéressant de relever en préambule que les textes de Melle de Scudéry et du père Bouhours sont présentés dans des formes qui présentent bien des similitudes. Il ne s’agit plus de traités comme on l’avait

dénonciation et de correction des vices de la société et dans un deuxième temps nous parlerons de l’aspect ludique de la comédie. I-LA COMEDIE COMME OUTIL DE CORRECTION DES VICES DES HOMMES La comédie classique est censée plaire mais aussi instruire le spectateur. Dans cette perspective, on a affaire bien souvent à un comique empreint d’ironie. Il s’agit de se moquer de quelque chose ou de quelqu’un en disant le contraire de ce que l’on pense. Bien que les deux registres soient différents

de rire, contrairement à Arrias. Conclusion Le portrait est général, intemporel. Il suppose une morale, un peu comme La Fontaine qui veut instruire son public, conformément aux règles classiques : plaire et toucher. Le texte n'est pas médisant, on ne se moque pas de quelqu'un qu'on connaît, contrairement aux portraits que fait Célimène dans le Misanthrope de Molière. Il y a un côté pédagogique, l'auteur châtie les moeurs en faisant rire, il ne faut pas devenir comme Arrias. Le texte est intéressant

mœurs, que l'on est perfectibles mais suppose aussi qu'il y a une norme, un idéal de vie en société et qu'il y a un modèle à imiter. La période classique refuse tout excès, la démesure, les passions destructrices. La devise classique et de plaire et instruire, une leçon de morale serait pesante. Il s'agit de rire des travers humains en le tournant en ridicule afin que les défauts montrés deviennent risibles. THESE Horace, un auteur latin, incite à imiter les auteurs de l'Antiquité. Les auteurs