Mixité Eps

portant sur la rénovation urbaine de 5 ZUS (Villejean, Le Blosne, Bréquigny, Maurepas et Cleunay). A travers cette rénovation, la Ville souhaite répondre à une forte demande en logements sociaux (7000 ménages étaient en attente en 2002), favoriser la mixité sociale pour éviter la spécialisation des territoires (catégories sociales aisées en centre-ville et catégories sociales plus défavorisées dans les ZUS) et enfin, connecter différents points de la ville entre eux afin d’éviter l’enclavement de certains

pour but d'organiser et de limiter l'extension des villes tout en favorisant la mixité sociale et la solidarité dans l'agglomération. La loi Solidarité et renouvellement urbain (SRU) datant de 2000 a renouvelé la plupart des documents d'urbanisme comme le plan locale d'urbanisme (PLU) qui définit les usage du sol et qui doit s'inscrire aujourd'hui dans une perspective de développement durable. Elle encourage la mixité sociale au travers de la construction de nouveaux logements sociaux en instituant

était d’en faire un quartier sans voiture, et de faire en sorte que certaines constructions est une double fonction : loger et protéger le quartier du bruit et du vent. La qualité et l’architectures des habitations est la même pour tous afin que la mixité sociale souhaitée ne soit pas visible. C’est une politique de ville compact car c’est un quartier de très haute densité (100 logements/hectare). SYNTHESE «  Pourquoi Amsterdam est elle considérée comme une ville durable 

Plusieurs opérations d’aménagement en cours sur le territoire de Nantes Métropole concentrent les bonnes pratiques en matière de performance énergétique, de respect de l’environnement, de qualité architecturale, de mixité sociale et de transports. Ces futurs quartiers « durables » ou  éco quartiers constituent de véritables morceaux de ville, s'inscrivant dans une perspective de resserrement urbain. Ils ont vocation à inspirer les futurs projets d’urbanisme sur le territoire de Nantes Métropole.

dernier problème concernant les banlieuesest celui du communautarisme. En effet Nicolas Sarkozy a dit que « le communautarisme et le choix de vivre séparément ». Mais puisque les jeunes sont exclus dans des ghettos il y a évidemment uneabsence de mixité sociale dans les banlieues. En effet cette absence de métissage pose le problème de l’intégration dans la société française de ces populations. Les banlieues combinent les problèmes sociaux, ethniques et spatiaux Ce type d’habitat a été longtemps

les oppositions générées par la gentrification, rénover les quartiers dits fermés (quartiers défavorisés). Des solutions sont ainsi proposées pour combattre la ségrégation socio-spatiale comme la loi SRU (service de rénovation urbaine) qui prône la mixité sociale, une politique de rénovation urbaine ciblée et la requalification d’anciennes friches.

cloches les dérangent. Les villes françaises souffrent également de fractures socio-spatiales car elles concentrent les contrastes sociaux, notamment dans les métropoles. En effet, les populations choisissent leur lieu d’habitation en évitant la mixité sociale. Les classes modestes se concentrent dans les banlieues, le plus souvent dans de grands ensembles alors que les classes aisées elles se concentrent notamment dans les espaces périurbains mais aussi dans les banlieues chics et en centre-ville

décisive les impératifs environnementaux. Au niveau social, l'ouverture de la ligne A a permis aux habitants de la périférie nord-ouest et sud-est de Rennes de se rendre au centre en quelques minutes seulement. La ligne B sera elle aussi favorable à la mixité sociale dès son inauguration en 2019. De plus, il s'agit d'un projet pourvoyeur d'emplois. En effet, une centaines d'ouvriers on été recommandés par des structures en charge de l'insertion par l'emplois. D'autre part, le projet de ligne b du métro

Sujet : EPS des garçons et EPS des filles. Définitions des termes Une définition récente de l’éducation physique et sportive nous ait donnée par Alain Hébrard : « l’EPS est faite d’un ensemble d’enseignements d’activités physiques sportives et artistiques qui visent la transmission d’une culture et le développement des conduites motrices que les valeurs admises conduisent à considérer comme souhaitables et susceptibles de procurer le bien-être ». (EPS interroge Alain Hébrard, in Revue EPS n°312

de chacun. 2 Depuis les années soixante, la mixité dans le milieu scolaire se développe, si bien qu’aujourd’hui, depuis une vingtaine d’année la quasi-totalité des établissements est mixte. On sait qu’en EPS, les qualités physiques comptent plus que dans n’importe quelle matière. Et la science a démontré une nette différence existant entre individus de sexe différent. Mais, plus que cette différence de « niveau de performance », c’est la mixité des genres, censée être un élément favorable au