Modalisateur

registre satirique. Il s'attaque à l'attitude des voyageurs français imbus de leur supériorité, incapables de découvrir les pays qu'ils traversent. A- La méfiance, la peur de l'autre, la crainte de la nouveauté (xénophobie) jugement de M: modalisateur l11 replis sur soi : participes passés l.17 peur de la différence : métaphore ironique l.18 Mépris des français à l'étranger : comparaison l.20,21 B- La recherche de ceux qui leur ressemble, le repli sur soit (national ou social)

universelle en défendant une thèse clairement énoncée * Il convainc grâce une argumentation directe * Beaucoup de marque de subjectivité (pronom personnel incluant l'auteur, expressions et verbes trahissant son opinion, et de nombreux modalisateurs) * Registre ironique, satirique et parfois polémique Construction de l'argumentation * Défendre une thèse sur un thème donné. * Le thème sujet général, question posée * La thèse Opinion que défend l'auteur. Arguments +

lexicaux du surnaturel, de la mort, de la peur, de la folie, les verbes de perception, de sensation. • La narration à la 1ère personne et le choix de la focalisation interne : ce qui permet au narrateur de faire partager au lecteur ses doutes. • Les modalisateurs liés à l’expression du doute. • Les modes et les temps verbaux de l’irréel.

désespoir - Montrer qu'il n'y a plus d'espoir, faire naître la crainte et la pitié Épidictique Implication du destinataire : apostrophes et adresses au lecteur, questions oratoires Implication du locuteur : marques de la première personne, modalisateurs, marques de jugement Rythmes éloquents amples, périodes Lexique chargé de valeur (Bien/Mal, etc.) - Louer ou blâmer

la première du pluriel. De même, on évite le lyrisme, le lexique et la ponctuation emphatiques (« Ah ! Comme Hugo a dû souffrir de perdre sa fille ! »). Privilégiez les tournures impersonnelles et essayez de nuancer le propos (utilisation des modalisateurs : « On peut estimer que… » ; « l’auteur montrerait par ses paroles que… ») 2. L’introduction Elle comporte trois étapes : - l’annonce du thème. C’est un préambule qui conduit logiquement au sujet. - l’annonce du sujet que vous

la pièce. 1) Subjectivité de la pièce - Balzac veut faire comprendre au lecteur l’état de la pièce et pourquoi Rastignac ne l’apprécie pas -> mode du discours (temps : présent / présence du narrateur et du lecteur / modalisations et modalisateurs / marques de temps « jadis » et « aujourd’hui ») -> marques d’humour et d’ironie 2) Le souci de la pièce - souci d’exhaustivité -> inventaire minutieux - souci d’objectivité -> verbes d’état / formes impersonnelles  un certain

narrateur Le point de vue adopté est omniscient comme c'est souvent le cas dans les récits réalistes mais il se fait de manière subjective. Le narrateur utilise le champ lexical du regard « apercevait » à la ligne 10. Il utilise également des modalisateurs « semblait » à la ligne 8. b) Une beauté fade Le visage de Jeanne exprime la pâleur aristocratique, cependant cette beauté aristocratique est nuancée par des traits physiques médiocres « bleu opaque », « duvet » aux lignes 11 et 12. Il

argumentatif développe ainsi un certain nombre d'argumentsqui étayent sa thèse. Pour plus d'efficacité, il s'appuie souvent sur des exemples. • Un discours argumentatif contient de nombreuses marques de la subjectivité du locuteur, par exemple des modalisateurs qui traduisent son point de vue. • Pour convaincre, le locuteur s'adresse à la raison de son adversaire ; pour persuader, il fait appel à ses sentiments, à son affectivité. Persuader = amener quelqu'un à croire, à penser, à vouloir, à faire quelque

prétend vouloir protéger ses vassaux face à l’épidémie de peste. Les premiers vers de son discours ( « Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune ; Que le plus coupable de nous [..] » vers 16-18) sont des octosyllabes avec des modalisateurs (« crois » vers 16 « peut-être » vers 20 ) qui montrent une certaine humilité qui se révèle être de la fausse modestie , puisque succède tout de suite des alexandrin qui démentent la modestie : Il prononce un décret en réalité. D’où l’emploi de

ridicules Bouvard et Pécuchet sont les personnages centraux du roman éponyme, mais ils n’ont rien du héros de roman traditionnel. Ce sont deux individus médiocres, qui prennent trop au sérieux les sornettes glanées au cours de leurs lectures. Les modalisateurs (« sans doute », « certaine-ment »), les connecteurs logiques (« donc »), le présent de vérité générale (« on magnétise des animaux », « le fluide contient une vertu particulière ») sont la marque du discours scientifi-que, et, comme tels, devraient