Modalisateur

devez sans doute » + « pur » hyperbole. On note une certaine naïveté du géant, qui pose un nouveau regard sur le monde -> « nul part vrai bonheur mais il est ici » : très optimiste croit trouver le vrai bonheur -> cherche à atteindre l’Utopie. Le modalisateur « sans doute » -> connotation de l’espoir. 2. Pessimisme A ce discours utopiste du géant, l’unanimité des philosophes est exprimée par un philosophe plus hardi « franc ». Antithèse, réplique qui expose une vision profondément pessimiste

plaisirs, que de se marier il donne du desirs," (T2 v24).on voit aussi qu'elles affirment leur "non-amour" : "hélas ! Non" (T2 v44) "je ne vous l'ai point donnée de bon coeur, et vous me lavez arrachée" (T3 v 14-15). elles emploient des verbes modalisateurs, se qui montre leur fort caractère : "je me moque" "je veux" (T3 v10-11), mais aussi beaucoup de marque à la première personne de singulier, et leurs temps de paroles et tous le temps plus long que celui des hommes, tous ces éléments prouvent que

C’est un raisonnement déductif dans un 1er temps pour aller vers une idée précise. Ce raisonnement nous est présenté pour lui comme une évidence. Et portant à l’époque, cela n’a rien d’évident. C’est une représentation humaniste. Utilisation d’un modalisateur « je » qui permet une ambition personnelle. Utilisation de conjonction « quoi que » qui marque une concession, on est dans une argumentation. « Cependant » exprime que ce n’est pas acquis. Figure de style (l.9/10) utilisation de prétérition

style simple. - C'est un enfant: lexique + banalité du style avec verbe introducteur du D.D toujours le même "dit" + phrases courtes qui montrent une pensée peu élaborée. 3. Un étranger - On note une volonté de respecter les codes sociaux avec modalisateur: "il a fallu" + soucis du respect des usages: "je pourrai veiller", "cravate noire", "brassard". - Mais il reste tout de même étranger aux sentiments qui accompagnent ces codes sociaux car il n'essaye pas de paraître triste.  CONCLUSION  

simplement -c'est un enfant : lexique + banalité du style avec verbe introducteur du D.D toujours le même « dit » + phrases courtes qui montrent une pensée peu élaborée . c- Un étranger -on note une volonté de respecter les codes sociaux avec modalisateur : « il a fallu » + soucis du respect des usages : « je pourrai veiller », « cravate noire », « brassard ». -mais il reste tout de même étranger aux sentiments qui accompagnent ces codes sociaux car il n'essaye pas de paraître triste. CONCLUSION

par sa brièveté « L’addition était consternante ». Cette dramatisation est aussi visible avec l’emploi de l’imparfait de l’indicatif, marque de l’habitude et de la répétition. Elle est aussi renforcée par une certaine ironie, avec l’emploi de modalisateurs comme « sans doute », ligne 1, ou « commençaient » ligne 22. La succession de phrases affirmatives à partir de la ligne 19 jusqu’à la ligne 22 « C’est que les rats meurent dans la rue et les hommes dans leur chambre… » ridiculise la presse ainsi

laisse une grande place à la mise en scène. Cependant même dans les textes qui comportent les didascalies ces dernières apportent de nombreuses informations mais elles restent tout de même incomplètes même chez Ionesco ou dans Les chaises le modalisateur « peut être » laisse une place à la mise en scène. Dans l’illusion comique lors de la représentation de Marion Béry le rôle de Pridamant est interprété par une femme. Ariane Mnouchkine quant à elle décide de mettre en scène Tartuffe tel un islamiste

réplique du narrateur « Mais, sachez le bien, à peine avez-vous fait un pas vers le tapis vert, déjà votre chapeau ne vous appartient pas plus que vous ne vous appartenez à vous même : Vous êtes au jeu ... » (l.21 à 23). Ici il utilise un élément modalisateur tel que l'impératif puis une amplification de métaphores énumérées pour produire une emphase sur la notion de jeu et de dépossession. Le personnage est aussi responsabilisé par l'auteur avec une anaphore du mot « vous » et du mot « votre » des

destruction 3) Basculement dans la folie : focalisation interne · Personnifications filées (l. 9-10) ð Vision fantastique du personnage qui devient fou en se croyant face à un ennemi : DIL, en focalisation interne nous révèle ses pensées. · Modalisateurs : « hideux avertissements » l. 11, « monstrueux » l. 10 · Adjectifs péjoratifs superlatifs. · Points de suspension : révèlent le fil de sa pensée en devenir comme si nous assistions en temps réel à l’élaboration du projet de meurtre à partir

autour d’elle et la position de Manon : analyse du rythme  et des expansions du nom : intérêt pour tout ce qui touche Manon 2- La cristallisation de la jeune fille, vue par DG - expression de la vue : « parut », « air », « paraître » : modalisateur (DG est subjectif) - champ lexical de la beauté de la jeune fille : « si charmante », hyperbole/ « douceur », « air charmant » - attirance violente et frappante pour la jeune fille : vocabulaire du charme (chant magique), « enflammé tout