Mode De Désignation Des Gouvernants

population totale entre 250 000 et 300 000 habitants. Une cité qui se construit sur l’exclusion drastique des non citoyens. En gros, on a 1/10eme de citoyens. Par contre, a l’intérieure de la citoyenneté, il n’y a pas de différenciations entre gouvernants et gouvernés. On peut dire que la société politique Athénienne est indifférencié. On estime que la participation citoyenne atteint un haut degrés . D’abord, tous les citoyens participent aux travaux de l’Ecclésia qui est l’assemblée des citoyens

électorale et du taux de mobilisation électorale + lecture et interprétation de l’indice d’Alford et et de l’indice de volatilité électorale (cf fiches méthodologiques) Introduction : les chemins de la politisation L’intérêt des citoyens pour la désignation de leurs représentants, base de la démocratie représentative, s’est construite à la suite d’un long parcours de socialisation. Ce processus a permis la prise de conscience de leurs intérêts et de leur appartenance à une communauté locale, puis nationale

l'état recouvre trois sens, au sens large il peut désigner une collectivité organisée ayant généralement comme support sociologique une nation. Dans un sens plus restreint, l'Etat peut aussi désigner les pouvoirs publics, on distingue alors les gouvernants et les gouvernés. Enfin dans un sens beaucoup plus étroit, l'Etat désigne au sein des pouvoir publics l'élément central par opposition aux collectivités publiques. Dans ce cours on va être amené à utiliser le terme état dans les 3 sens mais dans

Président de la République, René Coty, pressent d’autres personnalités : René Pleven échoue, Edgar Faure et Jean Berthoin refusent. Le 13 mai 1958, jour où l’Assemblée doit investir Pierre Pflimlin, une manifestation gigantesque se déroule contre sa désignation à Alger. Les manifestants craignent que ce démocrate-chrétien ne s’engage dans des négociations avec l’ennemi. Le résultat est inverse à celui escompté par les manifestants : l’Assemblée vote la confiance à Pierre Pflimlin, alors qu’il n’en aurait

10 XII. La sanction 11 Chapitre III – La démocratie 13 Section 6 : La participation des gouvernés 13 XIII. Les titulaires de la souveraineté 13 XIV. Modalités d’exercice de la souveraineté 13 Section 7 : Les modalités de désignation des gouvernants 14 XV. La notion de suffrage 14 XVI. Les modes de scrutin 15 Chapitre IV – Régime politique 18 Section 8 : Le critère de classification : la séparation des pouvoirs 18 XVII. Le concept 18 XVIII. Ses interprétations 18

qu’elle s’en tienne aux faits empiriques. Or, empiriquement expliquait-il, l’État n’est rien d’autre que la somme de ceux qui agissent en son nom, c’est-à-dire, les gouvernants, ce qu’il résumait d’une formule provocatrice : « la volonté étatique n’est en fait et en réalité que la volonté des détenteurs du pouvoir, des gouvernants »7. De là, il prétendait pouvoir conclure que la personnalité de l’État n’était qu’un leurre, un mythe dont tout juriste devait se débarrasser au nom du « réalisme

responsable des mauvaises récoltes. II) Les règles de transmission du pouvoir royal Dans les royaume barbares, il y a deux grands système de transition du pouvoir : Par l'élection. Par l'hérédité. A) L'élection C'est le mode de désignation le plus courant. On le rencontre dans le royaume Lombard d'Italie, et également dans le royaume Saxon. C'est une assemblée de grands personnages du royaume qui se charge de désigner le roi. C'est pourquoi on peut dire que l'élection du roi

sociale est impossible si les règles de conduite ne sont pas respectées. En effet l’existence d’un groupe impose la prise de décision et la répartition des tâches, c’est ainsi que se crée la distinction entre les gouvernants et les gouvernés. Société politique : existence de gouvernants plus ou moins spécialisés capables de faire accepter une orientation commune à l’ensemble des membres d’un groupe. A l’origine le pouvoir politique est anonyme ou diffus, c’est un pouvoir qui n’est exercé par

fondamental de la démocratie et le fondement de l’Etat de droit. Elle organise les pouvoirs publics et réglemente leur rôle et leurs relations, c’est-à-dire qu’elle institue les règles de droit fondamentales concernant la nature de l’Etat, la désignation des gouvernants et la définition de leurs compétences ainsi que les libertés et les droits garantis aux individus et aux groupes sociaux. La protection de la Constitution est assurée par le Conseil Constitutionnel. 3°) Quelle est la place de la Justice

n'est pas un gardien du tout. Il ne peut ni agir, ni juger, ni penser, ni vouloir. »[2]CaractéristiquesVoteDans un régime représentatif, le vote est un mode de désignation et pas un transfert de responsabilité. Les élus tirent leur légitimité, non par délégation de la souveraineté de leurs électeurs, mais du fait même de leur élection qui est donc un mode d'investiture dans la fonctionL'électorat n'est donc pas un droit, mais une fonction. Ce n'est pas une manifestation de la volonté individuelle, mais