Modele De Lucas Capital Humain

Capital humain et CAPM conditionnel: une comparaison internationale des rentabilités d’actions Jean-Jacques LILTI1 Helene Rainelli - Le Montagner2 Yannick Gouzerh 3 Résumé : La validation empirique du CAPM, dans sa version statique, pose traditionnellement deux difficultés majeures : d’une part le caractère dynamique des variables analysées et plus particulièrement du beta, et d’autre part la nécessaire approximation du portefeuille de marché par des substituts de qualité imparfaite. Face à

marché : elle correspond à l'intersection de IS et LM ; cad au point E. 2)Le renouveau des idées classiques et néo-classiques. a.Le monétarisme Le modèle néo-classique de base est rapidement contester dans ses hypothèse et notamment les conditions de la concurrence pur et parfaite. L'abandon de ces hypothèses conduit à de nvox modèles parmi lesquelles le monétarisme. Pr les monétaristes dt le chef de fil est Miton Freedman de l'école de Chicago, l'origine de l'inflation est tjr monétaire

vision de la structure de la prise de décision, applicable à toutes les organisations, fournissant ainsi une base à l'intégration de l'ensemble des sciences sociales. Ce concept s'oppose à celui "d'anticipations rationnelles", soutenu par Muth ou Lucas. L'objectif de H.Simon est toutefois "de déceler des régularités dans les comportements, et de les intégrer, si possible, dans un schéma théorique où seraient pris en compte à la fois les buts et les moyens de la décision".(B.Guerrien). L'objectif

croissance dans un cadre capitaliste. 2) Le modèle de Solow (1956) laisse un pronostic ambigu sur le phénomène. Sans moteur externe, l’épuisement de la composante endogène de la croissance, l’accumulation du capital, conduit à un état semi-stationnaire (toutes les variables croissent au même rythme, celui du facteur rare, le travail alors que les variables par tête –capital et produit par tête- s’arrêtent de croître. L’état est donc bien stationnaire pour le capital par tête et donc le produit par tête)

U MÉ . Partant des théories néoclassiques de la croissance, cet article présente un modèle qui met en relation le taux de change réel avec la croissance économique et l’accumulation de capital humain et de capital physique. Outre les conclusions traditionnelles des modèles néoclassiques concernant la dynamique de convergence de la croissance économique, il montre que pour un pays ayant un déficit relatif en capital physique (situation qui caractérise les pays en voie de développement), on s’attend

conséquences heureuses. L'accroissement du PIB ne doit pas être considéré comme la panacée, ni comme l'alpha et l'oméga de toute politique économique. D'abord parce que le PIB est un indicateur qui présente bien des limites. Surtout, parce que notre modèle actuel de croissance s'accompagne de nombreux inconvénients qu'il importe de ne pas négliger, notamment les dégradations environnementales qui font l'objet de tant d'attention (Cf. Prix Nobel de la paix 2007) et de débats aujourd'hui (2ème partie

les institutions et un processus objectif et mesurable pour éclairer les trajectoires des sociétés. On peut le définir comme : -un processus endogène et cumulatif de long terme -un progrès de la pté et une réduction des inégalités -des coûts humains et environnementaux acceptables -permettant à un nombre croissant de passer d'une situation de précarité, d'insécurité, à une situation de satisfaction des besoins fondamentaux. -la mise en oeuvre d'organisations, d'institutions et de régulations

conduit à un véritable sacrifice de ce secteur, pourtant dominant dans l'activité de la plupart des pays pauvres. - l'investissement seul n’a pas suffi. On a oublié la qualité de l'environnement socio-économique (politique macroéconomique stable, capital humain - de nombreuses distorsions sont apparues (protection excessive, étatisme...) qui ont largement perturbé le calcul économique et l'affectation des ressources. 2- Ouverture et chocs extérieurs Les quelques réussites, notamment celles des pays

pays intermédiaires ont connu un rattrapage rapide au 20e siècle (Asie de l’est et Chine), tandis que d’autres, principalement en Afrique ne parviennent pas à décoller. En effet, des les années 30 il apparait nécessaire de réduire les inégalités de capital pour que le système capitaliste continue à se développer. Ces changements productifs puis institutionnels ensuite ont permis aux pays aujourd’hui développés de distancer une grande partie du monde sui n’a pas suivi les même changement au même moment

économique ? Objectif : Déterminer quelles sont les facteurs de la croissance économique. Notions à connaître : PIB – IDH – Investissement – Progrès technique – Croissance endogène – Productivité globale des facteurs – Facteur travail – Facteur capital Dossier 1 – Définir et mesurer la croissance économique A. Qu’est-ce que la croissance économique ? Objectif : Maitriser la notion de croissance économique PIB année 2012 = 30 m $ PIB année 2013 = 32 m $ Croissance économique entre 2012