Modele De Lucas Capital Humain

faute d’un effort de recherche insuffisant, la France serait aujourd’hui un « pays d’imitation » • Et cette situation peut susciter des inquiétudes face à la concurrence internationale 2. Les théories de la croissance endogène des années 80 ( R.E Lucas, R Barro et P Romer) s’inspirent largement de sa théorie • Le progrès technique est effectivement une cause de croissance mais c’est aussi une conséquence de l’augmentation du PIB . • Points communs et différences I. 1 B. Critiques

connaît pas un rythme de croissance stable dans le temps. A des périodes de forte activité succèdent des phases de ralentissement économique pouvant même se transformer en récession économique. La science économique s’est donc efforcée de trouver des modèles permettant d’expliquer et donc d’agir sur la variation du taux de croissance. Au moment où les classiques et les néoclassiques considèrent la croissance économique comme étant un phénomène exogène, d’autres économistes ont tenté de prouver que la

Conception moderne : Science économique (Comportements humains face à la rareté => R. Barre : Besoin illimités/ressources limités), éco lié à l’histoire (irréversibilité). Deux échelles, l’individu (à quels besoin consacrer des ressources), et le collectif (Determine à qui les ressources sont donnés) Trois types de besoins : Physiologiques, superflus et illimités Trois types de ressources : Humains (travail), naturelles (ressources), manufacturés (Capital) Chapitre 2 : Conso : Deux types de consommations :

d’accumulation/dévalorisation du capital selon la loi de la baisse tendancielle du taux de profit (hausse de la composition organique du capital en phase A puis baisse de la composition organique du capital en phase B qui s’apparente à une purge du capital excédentaire). * Pour MANDEL au contraire la reprise est liée à des facteurs exogènes : pénétration du capital dans de nouvelles régions, hausse du taux d’exploitation liée à la lutte sociale, baisse du prix du capital constant (matières 1ères)

possède un ménage  Les ressources ne sont pas équitablement réparties 3- Quels indicateurs pour le développement ? 3-1- IDH IDH (indicateur développement humain) mis en place en 1990 par le PNUD pour remédier au PIB qui ne mesurait pas le bien-être des populations. IDH : C’est un indicateur du niveau moyen de développement humain atteint dans un pays. Indicateur avec 3 composants : - éducation – espérance de vie à la naissance (nombre d’année qu’un nouveau-né peut espérer vivre) – critère

 Le modèle de croissance indien Fiche économique sur les facteurs de la croissance de l'Inde L’Inde a réalisé d’énormes progrès économiques depuis l’Indépendance. En 2007, l'Inde était la 12e puissance économique mondiale avec un PIB de 1 171 milliards de dollars soit 2,15 % du PIB mondial (World Bank, GDP 2007).Mais cette évolution n'a pas eu lieu du jour en lendemain en effet dans un premier temps l'Inde a mit en place une politique d'industrialisation qui a renversé les techniques

production de biens et services (PIB, Production agrégée) dépend de deux facteurs de production : Le capital (K) et le travail (L). On suppose qu’il existe une fonction de production macroéconomique Y = F (K, L) où Y est le PIB réel, K est le stock de capital utilisé et L est la quantité d’individu au travail. Il est possible d’augmenter Y de deux manières différentes : Augmenter la quantité de capital et/ou de travail utilisé dans la production. Améliorer l’efficacité de la combinaison productive

Vienne, avec Carl Menger (voir ci-dessous) - L'École de Cambridge, avec William Jevons L'apogée du modèle néoclassique vient au début du XXe siècle avec Alfred Marshall et Arthur Cecil Pigou. Courants néoclassiques contemporains et représentants : - Néo-walrasiens : Kenneth Arrow, Gérard Debreu - École des choix publics : James M Buchanan Gordon Tullock - Nouveaux classiques : Robert Lucas Jr, Paul Romer - École de Chicago : Frank Knight, Jacob Viner, George Stigler, Gary Becker - Monétarisme

durable s’avère être un levier de la croissance a long terme, car il représente une activité a très grande valeur ajoutée, et des externalités positives. En prenant comme modèle la théorie de la croissance endogène énoncée par Romer, Lucas, Barro, et Aghion, l’investissement dans le capital technique, le capital humain, capital d’infrastructures (exemple la création d’un établissement scolaire va générer des emplois) générateurs d’externalités positives représentent des perspectives de croissance

chômage, c'est-à-dire le niveau du taux de chômage où il n’y a pas d’inflation. L’auteur nous explique ici le rôle et l’évolution du NAIRU. Le rôle du NAIRU apparaît dans la construction macroéconomique, dans le but où certains auteurs comme Lucas ou Friedmann, conclut que l’augmentation de la masse monétaire influe sur l’augmentation du prix du travail, donc qu’il y a bien un impact sur l’économie de l’évolution du taux de chômage. De plus, la relation Π = k – a u où Π et u sont relié négativement