Modernité La Bete Humaine

* poésie moderne, chrétienne = vérité de la nature humaine, réel. C'est parce que la modernité s'intéresse au réel que la laideur y a sa place. « Le christianisme amène la poésie à la vérité […]. Tout dans la création n'est pas humainement beau. Le laid y existe à côté du beau, le difforme près du gracieux, le grotesque au revers du sublime, le mal avec le bien, l'ombre avec la lumière ». La comédie est née pour donner à voir la laideur humaine avec dérision. C'est au nom de la fidélité à la nature

Texte n°1 Emile Zola La Bête humaine (Chapitre 5) – La personalité de la machine Dans le vaste hangar fermé, noir de charbon, et que de hautes fenêtres pous-siéreuses éclairaient, parmi les autres machines au repos, celle de Jacques se trouvait déjà en tête d’une voie, destinée à partir la première. Un chauffeur du dépôt venait de dégager le foyer, des escarbilles rouges tombaient dessous, dans la fosse à piquer le feu. C’était une de ces machines d’express, à deux essieux cou- plés

doit être reconnue à l’ére de la mondialisation pour combattre l’intégrisme, la désintégration et les conflits. 5) Les tensions identitaires au carrefour des migrations : la réciprocité au service de l’accueil et de l’intégration mutuelle II. La modernité : un pouvoir, une avancée, et/ou des rivalités ? 1) Personne n’a le monopole de l’humain, ni du fanatisme d’ailleurs. Aucune doctrine n’est à l’abri de dérapages. 2) L’évolution inversée de l’islam et du christianisme au creux du clivage Nord-Sud

ancrées en nous tous, à cause de cette conception étroite, exclusive, bigote, simpliste qui réduit l’identité entière à une seule appartenance. »2 L’auteur se propose ensuite d’éclaircir ce constat, dans les chapitres suivants. Quand la modernité vient de chez l’autre Maalouf explique comment la culture occidentale s’est imposée. Il commente également les conséquences du point de vue ‘identité’ qui en découlent chez les musulmans. De ces répercussions, il exclut catégoriquement le fanatisme

Commentaire composé Le Spleen de Paris – «Chacun sa chimère » Le Spleen de Paris est un recueil posthume composé par Charles Baudelaire, célèbre poète français mélancolique du XIXème siècle. Il inclût la modernité dans son œuvre et rompit ainsi avec l’esthétisme classique. Ce recueil a été inspiré d’Aloysius Bertrand qui était un auteur fantastique du XIXème siècle. Aussi inspiré par Edgar Allan-Poe, autre auteur fantastique du même siècle, Baudelaire le fut lui-même souvent. Dans la plupart

lorsque de la modernité littéraire était à son points le plus fulgurant. De plus, c’est également au cours de cette époque que la déportation des juifs à eu lieu. Deux auteurs maintenant célèbres en fessaient parti. Élie Wiesel et Levi parlent du processus de la déshumanisation qu’ils ont vécu pendant qu’ils étaient dans les camps de concentration. Ils racontent dans leurs œuvres qu’ils étaient comparés à des animaux et comment ils ont venu au fait de perde le sentiment d’être humains. « La nuit»

Le prince Extrait du Ch XVIII « comment les princes doivent tenir leur parole. » Le prince devant donc agir en bête, tâchera d'être tout à la fois renard et lion : car, s'il n'est que lion, il n'apercevra point les pièges; s'il n'est que renard, il ne se défendra point contre les loups ; et il a également besoin d'être renard pour connaître les pièges, et lion pour épouvanter les loups. Ceux qui s'en tiennent tout simplement à être lions sont très malhabiles. Un prince bien avisé ne doit point accomplir

par le titre : ce propos d’Alain est une critique politique de l’argent. On pourrait dire qu’il s’oppose au fameux slogan qu’on attribue à Guizot (17871874) : « Enrichissezvous ». Alain s'y livre à un véritable brulot, affirmant "l'argent est bête" et faisant l'éloge de la pauvreté, seule condition de l'intelligence selon lui. Analyse des termes du sujet : Relevons pour commencer la métaphore qui est au coeur de la citation, celle de la chaîne. Nous retrouvons l'image déjà analysée à propos

s’en trouve affectée. Il souligne également que l’on a souvent tendance à se reconnaître dans son appartenance la plus attaquée, et ce n’est donc pas spécialement l’identité nationale, ethnique ou religieuse qui prédispose au meurtre. Une communauté humaine qui se sent humiliée ou menacée dans son existence aura tendance à produire des tueurs, qui commettront les pires atrocités en étant convaincus de leur bon droit, de mériter le ciel ou l’admiration de leurs proches. Ainsi, si les fanatiques parviennent

apporte et apportera à l’homme. D’un côté, il y a les fervents défenseurs de la science qui trouvent en elle celle qui va sauver l’humanité, dont Ernest RENAN qui affirme qu’ « un monde sans science, c’est l’esclavage, c’est l’homme assimilé à la bête de somme ; le monde amélioré par la science sera le règne des hommes libres » et d’un autre côté, il a ses détracteurs qui ne présagent rien de bon dans l’avenir avec ce qu’elle nous réserve. L’un des deux groupes de protagonistes devrait avoir raison