Modernité Littéraire

« De l’autorité en ethnographie. Le récit anthropologique comme texte littéraire », James Clifford. In L’enquête de terrain, Daniel Cefaï (textes réunis, présentés et commentés par), Paris, La Découverte/Mauss, 2003. INTRODUCTION Le texte de l’anthropologue américain James Clifford, intitulé « De l’autorité en ethnographie. Le récit anthropologique comme texte littéraire » est paru pour la première fois aux Etats-Unis en 1983. Il a été traduit en français par Gérard Leclerc – sociologue

novembre à cause de la grippe espagnole. Esthétique d’Apollinaire : Tout d’abord Apollinaire est un poète qui ne fait partie d’aucun mouvement littéraire. Mais il peut être présenté comme le précurseur du surréalisme car c’est lui qui en 1917 introduit le terme de « surréalisme ». Grâce à ses nouvelles méthodes d’écritures, Apollinaire invente la modernité. En plus d’écrire des poèmes modernes, Apollinaire est aussi critique d’art. C’est grâce à lui que le cubisme va émerger. Art : Apollinaire

INTRODUCTION : Alcools est un recueil de poème écrit par Guillaume Apollinaire qui est l'un des poètes les plus important du XX e siècle. Alcools lui a pris en tout 15 ans pour l'élaborer, dans ce reccueil nous avons la quête de modernité, de jeu avec la tradition mais aussi l'apparition de nouveaux aspect de la poésie. Quelque uns des poèmes les plus connu d'Apollinaire sont dans ce recueil comme Zone , La Chanson du mal aimé. Nous allons nous intéresser à la thématique de la ville et le

modeste niveau, faire partie, pour s’élever devant ce constat injuste et injustifié qui passe sous silence toute la modernité de l’écriture romantique, les points communs de l’époque de Musset et de la nôtre, la relative intemporalité du mal du siècle. Déjà, les poètes surréalistes battaient en brèche ce carcan réducteur qui reléguait le Romantisme au rang de simple épiphénomène littéraire : «L’histoire du romantisme, telle qu’elle s’enseigne, est à refaire de fond en comble. »[1] Le drame personnel

nouvelles réalités sociales et économiques de la modernité auxquelles ceux-ci doivent s'adapter. En effet, les découvertes techniques découlant de la révolution industrielle ainsi que l'extension de l'alphabétisation aux diverses couches de la population entraînent le développement fulgurant des moyens de production techniques de l'écrit et l'accroissement du public lecteur, conditions matérielles qui permettent l'autonomisation du champ littéraire. Toutefois, cette démocratisation de la littérature

(1821-1867), un des plus fameux poète et critique d’art du XIXe siècle, surgit sur la scène littéraire alors que deux grands courants artistiques se font face : le romantisme et le parnasse. Baudelaire s’inscrit dans le romantisme, qui exalte l’expression des sentiments, des sensations, des émotions et de l’intimité. Cependant, pour mettre fin aux tiraillements induits par ces deux mouvements, Baudelaire invente la « modernité », qu’il décrit dans Le peintre de la vie moderne  «  il s’agit, pour lui, de dégager

Mouvement artistique et littéraire : Le futurisme 1) La genèse Le futurisme est un mouvement littéraire et artistique européen du début du XXe siècle (de 1904 à 1920), qui rejette la tradition esthétique et exalte le monde moderne, en particulier la civilisation urbaine, la machine, la vitesse. Le futurisme est né en Italie autour du poète Filippo Tommaso Marinetti qui a écrit le manifeste du futurisme. Ce manifeste annonce la naissance du futurisme et en présente les idées principales dont

plupart des écrivains de sa génération, à se tourner vers l’art pur, et les années 1848 à 1861 sont pour lui la grande période de production littéraire : il traduit assidûment de 1848 à 1865, les œuvres d’Edgar Poe, en qui il a découvert un génie fraternel ; il continue son œuvre de critique d’art et écrit d’importants articles d’esthétique et de critiques littéraires. Mais surtout il prépare lentement et soigneusement son chef d’œuvre poétique : il publie d’abord des poèmes isolés dans des revues ; puis

(Caroussel) , le vieux Paris en démolition (des baraques, des tas de chapiteaux ébauchés et de futs, les gros bloques verdis par l’eau des flaques ; le bric-brac) la Grèce antique (Andromaque, Ovide, Pyrrus) . Des souvenirs réels se mêlent à des motifs littéraires, des héros modernes –des éxilés (la négresse malade ; les matelots oubliés sur une île, tous ceux qui ont perdu ce qui ne se retrouve jamais) apparaissent à côté de personnages mythiques (veuve Andromaque, Ovide, Romulus et Remus). Le voyage à

U.F, 1997) qu’il consacre à ce poète. C’est en effet entre les 19ième et 20ième siècles, entre l’Ancien et le Nouveau, comme entre « Ordre » et « Aventure », en Avant et Retournement, Intimité et Universalité, Mythologie antique ou médiévale et Modernité que le poète pose sa voix lyrique propre.  Cet entre-deux constitue le poème en  plusieurs espaces : celui du dialogue, de l’expressif, du conflictuel où s’éprouvent les divers degrés de la familiarité et de l’incongruité, de la banalité et de l’érudition