Modernité Philosophie

se comprendre comme une réponse à la question de la modernité, visant à savoir si l’on peut concevoir qu’une société tienne dès lors qu’on la considère, non pas comme instituée « d’en haut » et de façon holiste (par la tradition, une divinité...) (Dumont, 1977), mais comme constituée « à partir du bas », formée par des individus suivant leur libre volonté. En philosophe, Smith s’empare de cette question dans sa traduction au sein de la philosophie morale écossaise de son époque, celle fondant la « querelle

la construction du texte – le pacte – Explication de texte 2/ Le Doctor Faustus de Marlowe 2.1. La laïcisation du mythe 2.2. L’hymne au théâtre, royaume des sortilèges 2.3. Faust face à Méphistophélès (Explication) 2.4. Bilan : Faust et l’idée de modernité 3/ Le Faust de Goethe 3.1. Le basculement du XVIIIe siècle 3.2. Goethe face au mythe 3.3. La métamorphose du personnage de Faust 6 3.4. Le réinvestissement du pacte Conclusion CONSIGNES DE TRAVAIL ET BIBLIOGRAPHIE Lecture du cours Le premier

fait que l’individu ne s’appartient qu’incomplètement. Il est déterminé par le groupe (exemple : Grèce antique : liberté de participer à la fonction publique, mais d’un point de vue social, moins libre de choisir un conjoint, holisme). La philosophie du Contrat social est au cœur de cette question (Hobbes vs. Locke). C’est l’individu qui légitime l’existence de l’État politique. Le Constitutionnalisme moderne et ses limites Ce qui caractérise le Constitutionnalisme moderne, c’est qu’il est

intégrés, comme chez les militaires et notamment chez les engagés volontaires, qui pourtant semblent avoir choisi l’armée plutôt que de la subir. Pourtant c’est surtout le troisième type de suicide qualifié d’anomique qui préoccupe le sociologue. La modernité porte atteinte an sens social puisqu’elle donne lieu à de nouvelle contrainte et à de nouvelle normes auxquelles les individus ont du mal à se socialiser faute d’appuis collectifs. Ce faisant, la croyance protestante donne lieu à des pratiques

contemporaine qui lui succède. Mais pour les historiens des autres pays occidentaux, l'époque moderne est toujours en cours et l'époque contemporaine a une autre définition. Dans cette perspective, l'époque moderne est celle où triomphent les valeurs de la modernité (le progrès, la communication, la raison). À l'inverse, la période précédente, le Moyen Âge, a longtemps été considérée comme un âge obscur, ou comme une sombre parenthèse. L'esprit de l'époque moderne cherche à se référer non pas au Moyen Âge, mais

l’admiration en matière de performances. Les hommes qui pendant si longtemps ont été dominés par la nature sont en passe de renverser cette domination. Ces conceptions constituent une certaine mythologie héroïque de la Technique, le mythe de la modernité elle-même. Cependant nous allons montrer qu’il faut aller au-delà des apparences et aller vers « l’essence de la Technique » pour comprendre sa réalité globale. L’envers du décor laisse craindre le pire et l’interprétation du progrès est incomplète

une période de la vie dont il convient de trouver les critères distinctifs : adolescence, puberté, « trentenaires ». Au-delà de l’opposition à la vieillesse, on retrouve la thématique des anciens et des modernes. Concepts clés :  Nouveauté  Modernité Autres mots clés : éducation, autorité, solidarité, crise du lien social, etc. 2- S’appuyer sur des éléments de référence Histoire : Mai 1968, Tian’namen en 1989- La Querelle entre les Anciens et les Modernes à la fin du XVIIe siècle. Procès de

FIGURES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XIII LISTE DES TABLEAUX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XV INTRODUCTION DES PARADIGMES AUX THÉORIES DE LA MODERNITÉ . . . . . . . . . 1 PARTIE I LES APPROCHES CLASSIQUES : DU DÉBUT DU XXe SIÈCLE À LA FIN DES ANNÉES 1970 . . . . . . . . 11 Chapitre 1 La fondation : du début du XXe siècle à la fin des années 1930 . . . . . . . . 1.1. L’organisation scientifique

« je présume qu’après X années de travail à susciter du droit, vous êtes incapables de donner une définition du droit », et il dit « j’entends par là que vous ne sauriez pas définir à quoi tend le droit ». Et on comprend la encore la crise de la modernité, qui ne sait plus entrevoir la finalité du droit et des autres matières. Il dit faites le test suivant, rassemblez un cercle de juristes et demandez leurs à quoi sert le droit. Et sa conclusion sera qu’on n’aura pas de réponse claire. Et Michel Villey

Devi « Il ne s’agit pas de trouver des « solutions » pour certains « problèmes » mais de viser à une alternative globale à l’état de choses existant, une civilisation nouvelle, un mode de vie autre, qui ne serait pas la négation abstraite de la modernité, mais son dépassement (aufhebung), sa négation déterminée, la conservation de ses meilleurs acquis, et son au-delà vers une forme supérieure de la culture – une forme qui restituerait à la société certaines qualités humaines détruites par la civilisation