Modérer Ses Désirs

L’homme est tant qu'agent libre est autonome. La mort est une simple dispersion des atomes et c'est pour cette raison qu'elle n'est rien pour nous. Les pires souffrances sont celles que l’homme se cause à lui-même dès lors s’il s’en tient aux « désirs naturels », il pourra être heureux puisqu’alors il pourra se suffre à lui-même et n’aura pas à craindre de souffrir car les maux ne sont pas totalement insurmontables. Soyez heureux sur cette Terre puisqu'il n'y a pas d'au-delà!!! Epicure nous

Le positivisme modéré d’Emile Durkheim Durkheim est le disciple de Comte sur 3 points : - observer les faits sociaux - énoncer des lois, dans le sens de régularité de société - idée que l’on peut appliquer à la société un modèle de pensée des sciences naturelles. Les sciences sociales naissent au moment des crises politiques (ex : Machiavel avec le Prince). Dans l’antiquité, Platon, Aristote > deux courants de pensée Platon : rationnel, il ne prêche pas l’analyse empirique

« LE PLAISIR PEUT IL ETRE VERTUEUX ? » L’homme est naturellement enclin à satisfaire des désirs. L’élan vers le plaisir constitue l’élément moteur de son action. Une morale qui ne serait pas fondée sur le plaisir serait inhumaine. La vertu, quant à elle, est utile aux hommes dans la mesure où elle les aide à vivre ensemble et cela en bonne intelligence. La recherche du plaisir est-elle compatible avec la vertu ? Dans un premier temps nous verrons que le plaisir est acceptable lorsqu’il accompagne

bonheur. Le bonheur peut être associé, pour certains philosophes, a une vie sans problème où l'on remplit tous nos désirs. C'est comme si nous faisions une liste des choses que nous voulions faire afin d'être heureux et une fois toutes ces cases cochées, nous pourrions alors dire « je suis heureux ». C'est le cas d’Hobbes qui parle du bonheur comme la poursuite de nos désirs. Le bonheur serait alors parallèle au désir et nous arrivons alors à la distinction entre bonheur et plaisir. Si je souhaite

libre de ses sentiments. Une réflexion sur la nature même du désir montre que celui-ci rend l’homme dépendant et esclave de lui-même au lieu de le rendre libre comme il voulait l’être au départ. Ainsi le fait que l’être humain accomplisse tous ses désirs ressemble en fait à un homme condamné à remplir des tonneaux percés sans jamais être satisfait (c’est ainsi que Socrate l’expliquait à Calliclès). Les contraintes sont partout pour l’être humain, c’est pourtant grâce à leur acceptation et à leur

loin car on peut montrer que l'Etat, comme chef qui impose la paix entre les hommes, libère les individus d'eux-mêmes. Sans l'Etat, en effet, nous serions soumis à la tyrannie de nos désirs qui nous mettent constamment en rivalité et en concurrence avec les autres. Si l'on ajoute à ce que nous disions, que les désirs humains sont façonnés, comme un miroir, par le désir des autres comme le pense Hobbes avant Hegel, on doit considérer aussi que, sans Etat, ce serait "la guerre de tous contre tous".

atteint qu’avec l’accomplissement du vouloir, dans l’absence de contrainte? Les désirs de l’Homme sont, dans une certaine mesure, à l’origine d’un malheur. Cependant, certains désires sont nécessaire à notre bonheur et son inscrit dans la nature humaine. Ainsi, il est humain de désirer, et l’Homme, par nature, ne peux pas renoncer à ses désirs, néanmoins il peut essayer de les maitriser, de les limiter. Les désirs humains sont parfois à l’origine d’un malheur, de déception ou encore de désillusion

heureux, faut-il régler ses désirs ? [Structure du texte] Le premier personnage, Socrate, répond affirmativement à cette question. À l'aide d'une image (celle des tonneaux percés), il cherche à montrer qu'une vie intempérante s'expose à de grandes souffrances : plus les désirs sont grands et nombreux, plus il est difficile de les combler. L'homme tempérant (représenté par le propriétaire de tonneaux en bon état) a pu au contraire satisfaire tous ses désirs parce qu'il les a limités

pour deux différents exercices, dans la peau d’un philosophe. Pour ma part, j’ai choisi d’exercer l’ascèse des désirs et d’apprivoiser la mort. Respectivement des courants épicuriens et stoïciens. Premièrement, j’ai décidé d’adopter l’ascèse, car je crois qu’il est nécessaire de ce privé de ce qu’il ne l’est pas. Apprendre à modérer pour pouvoir après obtenir moult jouissance de ses désirs par la suite. J’aimerais voir à quel point, il est important de conserver les plaisirs naturels et nécessaires

"Celui dont les désirs ont atteint leur terme ne peut pas davantage vivre que celui chez qui les sensations et les imaginations sont arrêtées. La félicité est une continuelle marche en avant du désir, d'un objet à un autre, la saisie du premier n'étant encore que la route qui mène au second. La cause en est que l'objet du désir de l'homme n'est pas de jouir une seule fois et pendant un seul instant, mais de rendre à jamais sûre la route de son désir futur. Aussi les actions volontaires et les inclinations