Mohammed Harbi

l’autel du sacrifice tragique. La description Selon la critique la plus courante, qui remonte aux lectures de Jean Déjeux, ou encore d’Abdelkebir Khatibi, dans son Roman maghrébin (1968), Feraoun serait exemplaire, avec Mouloud Mammeri, et un Mohammed Dib première manière, de ce qui fut alors appelé le « courant ethnographique » des débuts de la littérature algérienne de langue française. Courant présenté comme fondateur, et dont la dynamique essentielle serait la description. Mais, alors

Kämpfer der FLN. Die Autoren spiegeln die interne Stimmung der Verschiedenen Teilhabenden am Konflikt wieder und ermöglichen so ein Verständnis für die einzelne Beweggründe, die zu einem oder jenes Verhalten im Laufe des Kriegs geführt haben. HARBI, Mohammed (Hg.) : La guerre d´Algérie. 1954-2004, la fin de l´amnésie. Paris, 2004. Dieses knappe Sammelband erleuchtet 3 verschiede Facetten des Konflikts: die OAS, die Rolle von Folter im Konflikt und der Absturz der 4. Republik. Es dient als gute Einführung

ostracisme, ou bien tous les Algériens qui écrivent seront présents, y compris Tidafi, Kréa, Négroni, de Maisonseul..., ou bien je retire mon texte et refuse catégoriquement de collaborer”. En outre, Haddad et Benmiloud s’ opposent aux écrits de Mohammed Dib, Noureddine Tidafi, Mouloud Mammeri et Henri Kréa, et surtout à l’ étude de Sénac sur “Kateb Yacine et la littérature nord-africaine” (rivalité politico-littéraire à l’ encontre de l’ auteur de Nedjma?). Sénac, à son tour, exprime des réserves

avançons une plate-forme honorable de discussion aux autorités françaises si ces dernières sont animées de bonne foi et reconnaissent une fois pour toutes aux peuples qu’elles subjuguent le droit de disposer d’eux-mêmes. Source : reproduit dans Mohammed Harbi et Charles-Robert Ageron, Les archives de la Révolution algérienne, Editions Jeune Afrique, 1981. Baccalauréat Professionnel / Brevet des Métiers d’Art – Toutes spécialités Épreuve E5 / E7 : Histoire – Géographie – Éducation civique Repère de

côtés de la France et qui à l'indépendance, abandonné par la France, se sont fait massacrés, ou s'ils sont parvenus à rejoindre le territoire métropolitain ont été traité bien plus mal que les Pieds-noirs. Bibliographie : La guerre d'Algérie, Mohammed Harbi, Benjamin Stora, Robert Laffont, 2004, Paris France et Algérie : journal d'une passion, J. Marseille, Larousse/Vief, 2002 1962: l'arrivée des Pieds-Noirs, Jean-Jacques Jordi, Editions Autrement- Série Monde/Français d'ailleurs, peuple d'ici

de la révolte » en Libye, à Bahreïn, au Yémen ou un risque de « régionalisation » de la révolte en Algérie ou au Yémen. En Algérie, la situation est compliquée. « Le traumatisme de dix ans de guerre civile y est très fort », relève l’historien Mohammed Harbi. 2. Des héritiers détestés Il semble que dans les pays monarchiques la royauté ne soit pas menacée. Au Maroc, il y a une aspiration au changement, pour autant la monarchie jouit d’un vrai soutien. Inversement, la tentation dynastique

fixèrent le nombre de tués à 1 165, mais suivant les historiens le nombre varie de 8 000 à 45 000 victimes. Emprisonnement de Messali Hadj et interdiction du Parti pour le Peuple Algérien (PPA). b) « La guerre d'Algérie commence à Sétif » (M. Harbi) ? Sétif, début de la guerre d'Algérie? Pourquoi pas. En tout cas, les évènements du 8 mai constituent bien une rupture qui fait office de détonateur: on arrive là à un point de non-retour: le compromis entre Européens et musulmans n'est

sur la France et de minimiser le rôle des autres instances et des groupes nationalistes rivaux du FLN. L’État algérien décide alors d’effacer des pans entiers de l’histoire: on exclut du panthéon officiel ceux qui sont politiquement évincés, comme Mohammed Boudiaf, on oublie ou on minore des épisodes troubles ou scandaleux de cette lutte (règlements de compte entre Algériens et tensions, parfois meurtrières, entre les différents partis nationalistes; massacre des harkis). La recherche et l'enseignement

dénoncent les brimades dont sont victimes les chrétiens dans leur pays. Sans précédent en Algérie, l'appel "pour la tolérance" et "le respect des libertés" est signé de personnalités de premier plan comme l'écrivain Boualem Sansal, l'historien Mohammed Harbi, l'universitaire Salem Chaker, le président de la Ligue des droits de l'homme Abdennour Ali Yahia ou le caricaturiste Ali Dilem. Dans un texte rendu public hier, des intellectuels dénoncent le harcèlement des chrétiens pour "délit de prière".

l’Azerbaïdjan. De nombreuses initiatives bilatérales renforcent cette coopération. A titre d’exemple, peut-on rappeler la commémoration, en 1995 à Paris, par l’intermédiaire de l’UNESCO, du 500e anniversaire du décès du génie azerbaidjanais de lettre Mohammed Fuzuli, la mise en place en 1998 de concerts symphoniques des plus grands compositeurs azerbaïdjanais, comme Gara Garayev et Uzeyir Hadjibayov. A l’occasion de la célébration de la fête national Novrouz, l’Ambassade d’Azerbaïdjan en France a pris