Moires

grecque. La poésie médiévale a imaginé qu’il ne se laissait capturer que par une vierge : la femme des tapisseries symboliserait-elle la Vierge et la licorne, le Christ ? Mais cette Dame si séduisante, avec ses robes de velours opulent aux revers moirés, qui s’ouvrent sur de longs brocarts et se parent de perles ou de pierreries, cette gravure de mode avec ses lourds colliers, ses ceintures d’or, ses diadèmes, avec ses cheveux blonds qui s’échappent de voiles gracieux ou de riches turbans, cette

de parties parlées par les acteurs. D – MOTS-CLEFS 7 Mots nous permettent de cerner la perception du monde qu’exprimaient les grecs à travers leur théâtre * Ananké : nécessité, obligations DESTINEE * Thémis : Loi divine 3 filles : les MOIRES LE FIL DE LA VIE * La 1ère crée le fil de la vie * La 2ème le déroule * La 3ème le coupe * Diké : Règle droit Justice. * Nomos : Loi Humaine * Hubris : Excès, démesure, arrogance, de l’homme * Qui défi sa condition

|Dont le rêve était une toute petite maison | |Qui aurait dans son jardin  | |des chèvrefeuilles moirés | |[…] | |Extrait de C’est un dur métier que l’exil…, édition

Leurs habits, mieux faits, semblaient d’un drap plus souple, et leurs cheveux, ramenés en boucles vers les tempes, lustrés par des pommades plus fines. Ils avaient le teint de la richesse, ce teint blanc que rehaussent la pâleur des porcelaines, les moires du satin, le vernis des beaux meubles, et qu’entretient dans sa santé un régime discret de nourritures exquises. Leur cou tournait à l’aise sur des cravates basses ; leurs favoris longs tombaient sur des cols rabattus ; ils s’essuyaient les lèvres

rêver. Alfred de Musset (1810-1857), Poésies nouvelles, « A une fleur » (1838) Julie GUYOT : Nature morte de fleurs http://www.alaintruong.com/archives/2009/03/29/13176540.html Crépuscule L’étang mystérieux, suaire aux blanches moires, Frisonne; au fond du bois la clairière apparaît ; Les arbres sont profonds et les branches sont noires ; Avez-vous vu Vénus à travers la forêt ? Avez-vous vu Vénus au sommet des collines ? Vous qui passez dans l’ombre, êtes-vous des amants ? Les

réalisé (« Le cabinet [...] n’a pas été plus négligé que le reste de la maison », « les lambris en sont peints [...], parsemés de sujets pittoresques rehaussés d’or », « quantité de corbeilles remplies de fleurs d’Italie », « les meubles en sont de moires brodées en chainettes »). L’alternance des phrases simples et des phrases longues associées au foisonnement et à la longueur des descriptions peuvent exprimer le débordement des sentiments de Mélite. Cette seconde partie, dominée par les descriptions

Ou ride cet azur implacablement lisse Où le silence bout dans l'immobilité. L'âpre engourdissement a gagné les cigales Et sur leur lit étroit de pierres inégales Les ruisseaux à moitié taris ne sautent plus. Une rotation incessante de moires Lumineuses étend ses flux et ses reflux... Des guêpes, çà et là, volent, jaunes et noires. Paul Verlaine.

omniprésent dans la composition du Serment des Horaces. Symbole de perfection et de stabilité, dans bon nombre de mythologies, le chiffre trois renvoie à l'idéal et à la symbiose divine : les trois entités chrétiennes (Père, Fils et Saint-Esprit), les trois Moires et les trois Charites grecques... Mais aussi ici les trois Horaces, les trois Curiaces et leurs sœurs respectives. La lumière employée par David, dites la technique du clair-obscur, met en place un effet dramatique , qui théâtralise encore

généralement indéterminé, quoique Virgile, s'inspirant sûrement d'une source alexandrine, en dénombre trois : * Tisiphone (la Vengeresse du meurtre) ; * Mégère (l'Ensorceleuse) ; * Alecto (l'Implacable). Épiménide en fait les sœurs des Moires, filles de Cronos et d'Eurynomé, Eschyle les filles de Nyx (la Nuit), Sophocle les filles de Gaïa et de Scotos, la Ténèbre. Dans les traditions orphiques, elles naissent d'Hadès et de Perséphone (cet attachement au monde infernal se retrouve également

(CPU). né cuté CUDA maintient d’une faible courbe d’apprentissage pour les programmeurs familiers avec les langages standard de programmation comme le C. Son cœur est trois abstractions principales :  la hié rarchie de groupes de thread  les mé moires partagé es  la barriè de synchronisation re Ils sont simplement exposé au programmeur comme une minimale d'extension de es langage. Ces abstractions fournir à grain fin de parallé lisme de donné et de parallé es lisme du thread, emboî dans le parallé