Moïse et le monothéisme

de ses actes apparents, alors que son cœur et sa certitude vont à d’autres. Que périsse celui dans le cœur duquel il reste une place pour autre que Toi. Et dont les vauriens profitent pour l’occuper. Indications dans l’histoire d’Adam Le monothéisme d’Adam étant resté intact, le péché qu’il commit n’eut pas d’influence sur sa servitude. Allah ta’ala dit : « O fils d’Adam ! Si tu Me rencontre en ayant commis autant de péchés que la terre puisse en contenir, mais que tu Me rencontre en ne M’ayant

rigoureux des hébreux : L’histoire du droit hébraïque est particulière dans ce sens que cette histoire est directement associée à la religion monothéiste. Cette religion est originale et elle donne à cette société antique un caractère éminent. Moise fonde le monothéisme vers 1225 av JC après la révélation sur le mont Sinaï de ce que l’on appelle le décalogue. Il est un résumé de morales en dix commandements. Cette religion des hébreux est celle qui est à l’origine du judaïsme, du christianisme et de l’islam

et que son sein dépérira. Le passage le plus important de cet ancien testament demeure le décalogue plus connu sous le nom des dix commandements. Il figure dans l’exode et le deutéronome. Les plaques sur lesquels ces commandements ont été remis à Moïse par dieu était enfermés dans l’arche d’alliance,, symbole de la présence de dieu sur Terre. Le droit hébraïque connu également un rayonnement très important. La religion juive est historiquement la première religion monothéiste majeure, celles dont

Grand Pardonneur à celui qui se repent, croit, fait bonne œuvre, puis se met sur le bon chemin." (Sourate Ta-Ha, verset 82) Le Coran affirme que ces nations auxquelles des prophètes ont été envoyés ont regretté leurs fautes. Tout comme le peuple de Moïse qui n'a pas attendu qu'il revienne du Mont Sinaï avec le message d'Allah et qui a oublié Allah et est retourné à l'adoration des idoles. Le grand regret éprouvé ensuite par cette nation pour son péché est ainsi décrit dans le verset suivant: 20

langages primitifs de subsister. Ainsi se pratiquent des religions exotiques telles le culte de l’Artémis Aux Multiples Seins à Ephèse, le culte du Soleil à Héliopolis (Baalbek) et à Emèse, et la religion pharaonique en Egypte, sans oublier le monothéisme intransigeant des Juifs qu’on trouve non seulement en Judée, mais aussi à Alexandrie et dans d’autres villes[55]. Les provinces d’Asie Mineure (Odile Wattel, op. cit.) où l’on distingue la Commagène et la Cilicie [pic] La guerre

traditionnel, conventionnel, bientôt usé. »(2). Certains arrivent même à avancer la théorie du plagiat qui affirme que tous les mythes polythéistes sont empruntés au Nouveau Testament et que tous les Dieux païens ne sont qu'une déformation de la figure de Moïse. La mythologie polythéiste continuera cependant son influence au XVIIe siècle à travers la littérature baroque dont l'imagination puise son inspiration dans la mythologie gréco-latine qu'elle emploie avec une grande tendance vers les métamorphoses

un degré honorable comme tu as donné la royauté à Salomon un jour de Achoura Allah le Très-Haut donne nous l'humilité, la patience, la paix et la connaissance : - comme tu as redonné à Jacob la vue un jour de Achoura - et comme tu révéla la Thora à Moïse un jour de Achoura. - comme tu as élevé Idris à une haute dignité un jour de Achoura. - et comme tu as fait du jour Achoura: * le premier jour de la Création, * le jour où la pluie est tombée la première fois * de même la première fois où la miséricorde

enfin le groupe et l’organisation des groupes humains qui sont étudiés dans Totem et Tabou et dans son article Psychologie des foules et analyse du Moi, et la religion dans ses livres Malaise dans la Civilisation, l’Avenir d’une illusion et Moïse et le monothéisme. On voit bien dans ce survol de l’œuvre de Freud la possibilité méthodologique qui s’offre d’étudier des phénomènes « normaux » à travers la pathologie ou les pathologies de ces phénomènes. Ainsi, Sami-Ali (1980) étudie la dimension banale

seul connaît leur nombre. Les suivants dont les noms sont connus sont ceux-ci: Adam, Chiste [Chîte] Idriss, Nûh [Noé, Noah], Hûd, Sâlih, Ibrahîm [Abraham], Ismâël, Iss’hak [Isaac], Ya’kûb [Jacob], Yûsuf [Joseph], Ayyûb, Lût, [Loth], Chuayb, Mouçâ [Moïse], Hârun, Dâvûd [David], Suleiman [Salamon], Yûnus [Jonas], Ilyâs, Al-yesa, Zulkifl, Zakariyyâ [Zacharie], Yah’yâ [John], Îsâ [Jésus] et Muhammad Moustafa. “Paix et bénédiction soient sur eux”. A part Chîte parmi eux, vingt-cinq sont signalés dans le

proprement juives. Comme pour le christianisme, son audience a été limitée, mais ces deux religions n’en sont pas moins un témoignage de l’implantation du monothéisme en Arabie et, de ce point de vue, elles ont pu avoir une certaine action dans les milieux les plus ouverts et favoriser une tendance encore mal définie vers la recherche d’un monothéisme arabe. Le pays connaît aussi un mouvement commercial, marqué par les voyages des caravanes marchandes en direction ou en provenance de 1’ Egypte, de la