Moloch

apporte une vision pessimiste du futur, l’homme est dépendant du travail et de la machine. Il est soumis à sa cadence, exécute des gestes répétitifs dont la finalité n’est d’ailleurs pas clairement identifiée. La machine est comparée explicitement à Moloch, le dieu carthaginois dévorant les hommes (scène du cauchemar). La technologie a pour Lang réduit l’humanité à l’esclavage. Dans le bureau du père de Freder, on retrouve également cette soumission des hommes au travail : simultanéité des attitudes

l'homme et sa nation. Moment où l'écriture cherche à se faire poétique. - caractère fondamentalement monstrueux du tyran: cf. les périphrases qui ancrent Hitler dans les monstres mythologiques (les Titans : Prométhée et Atlas) et bibliques (Moloch: dieu auquel on sacrifiait les nouveaux nés càd symboliquement dieu qui refuse de laisser sa place, qui rejette toute idée d'un futur qui se ferait sans lui). - Mise en valeur de la pugnacité de l'homme, (= volonté tres grande) sa force et sa violence

inventent des symptômes ou génèrent une maladie chez l'enfant pour amener le médecin à prescrire examens et thérapeutiques. V/ Cas vu dans la presse et dans la littérature - Article Figaro, 11/07, « Le calvaire d’une fillette adoptée ». - "Moloch", Thierry JONCQUET. - "Ma mère, mon bourreau", Julie GREGORY. - "Soins intensifs", Chrystine Brouillet. VI/ Bibliographie VI.1. Œuvres  - "Le syndrome de Münchausen", Dr Gilles Fénelon - "Pour introduire le narcissisme", Sigmund

démonologie crétoise. L'histoire du minotaure serait alors une version « tardive et maladroite » de mythes beaucoup plus anciens. Certains mythologues modernes voient le Minotaure comme une personnification solaire et une adaptation Minoenne du Baal-Moloch des Phéniciens. Le meurtre du Minotaure par Thésée, dans ce cas, indique la rupture des relations athéniennes avec la Crète minoenne... Minos et le Minotaure pourraient être deux formes différentes du même personnage, représentant le dieu-soleil

trahi les siens. Le Suffète et ses hommes retournent à Carthage poursuivis par les mercenaires, Spendius et Mathô percent l’aqueduc et arrêtent ainsi l’approvisionnement en eau de la ville. Les Carthaginois offrent leurs enfants en sacrifice au Dieu Moloch. Hamilcar décide d’en finir et il tue un grand nombre de barbares dans un piège au défilé de la Hache. Les survivants se font décimés et seul Mathô et fait prisonnier. A Carthage la foule est en délire et le dernier des Barbares et offert en torture

valeur d'échange a une prépondérance absolue dans le processus de production ; en d'autres termes, la production se rend indépendante des besoins humains. Elle est subordonnée à l'accumulation de la valeur d'échange comme but en soi. Le capital est un Moloch abstrait poussé par la « faim de loup » insatiable de la plus-value. Il aspire avec un entêtement aveugle à l'accumulation infinie de la plus-value, sans se soucier du type de production. Les différences qualitatives entre les marchandises produites

allemands, se rendent presque aussitôt » [P166- La Victoire]. Ces techniques d’écritures sont propres à l’épopée. Le style porté par DG est fait de métaphores, de comparaisons. Ainsi, Hitler est un « Prométhée se jetant au gouffre » [P208], un « Moloch » [P209] ou un « Titan » [P210- La Victoire]. Il parle du fait que l’Eglise ai échappé au nazisme comme d’un « miracle », d’un « prodige ». Nombre de détails matériels qui renvoient à la réalité militaire construisent un décor de grande fresque

Hamilcar est absent ; le peuple exècre les Riches ; Giscon ne peut rien sur les lâches qui l'entourent. Mais tu es brave, toi ! ils t'obéiront. Commande-les ! Carthage est à nous ; jetons-nous-y ! » - « Non ! » dit Mâtho, « la malédiction de Moloch pèse sur moi. Je l'ai senti à ses yeux, et tout à l'heure j'ai vu dans un temple un bélier noir qui reculait. » Il ajouta, en regardant autour de lui : « Où est-elle ? » Spendius comprit qu'une inquiétude immense l'occupait ; il n'osa plus parler

représentatif de l’actuel " penser correct " qui vise à placer les acteurs sociaux face à la nitidité glacée d’un monde " désenchanté " (Max Weber) dont ils ne seront plus que des rouages robotisés tel le " peuple d’en-bas " qui actionne la machine-Moloch de Metropolis : " Vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance ! [Lasciate ogne speranza, voi ch'intrate] "4. Hélas pour les concepteurs de sujets, les " pensées de derrière " sont peu accessibles aux actuels candidats pour lesquels, faute de culture

Salammbô 2 Salammbô Index I. LE FESTIN. II. A SICCA. III. SALAMMBÔ. IV. SOUS LES MURS DE CARTHAGE. V. TANIT. VI. HANNON. VII. HAMILCAR BARCA. VIII. LA BATAILLE DU MACAR. IX. EN CAMPAGNE. X. LE SERPENT. XI. SOUS LA TENTE. XII. L'AQUEDUC. XIII. MOLOCH. XIV. LE DEFILE DE LA HACHE. XV. MÂTHO. Index 3 Salammbô Chapitre 1 LE FESTIN C'était à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins d'Hamilcar. Les soldats qu'il avait commandés en Sicile se donnaient un grand festin pour célébrer