Monastère

artistique. Charlemagne et ses successeurs passent commande de manuscrits de luxe, qui viendront enrichir leurs trésors et ceux des églises. Dirigés par de grands personnages érudits venant de toute l’Europe, ces lieux de production de manuscrits — monastères, cathédrales, ou palais — vont constituer des foyers intellectuels et artistiques, développant leur esthétique propre, tout en s’influençant les uns les autres. Les œuvres circulent d’un centre à l’autre, diffusant la culture carolingienne, fondement

christianisation progresse lentement | La religion chrétienne se diffuse dans toute l’Europe | Qui sont les oratores (« ceux qui prient ») ? | * Le clergé régulier est l’ensemble des clercs qui renoncent au monde et qui vivent dans un couvent ou un monastère, selon les principes d’une règle commune, sous la direction d’un abbé | * Le clergé séculier est constitué des clercs qui consacrent leur vie au service de Dieu, mais qui vivent dans le siècle, c’est-à-dire au contact de la société laïque |

et les prêtres qui vivent avec les laïcs forment le clergé séculier.  À l'écart du monde, vivent des religieux qui sont en général groupés dans des monastères. Ils suivent une règle, sous l'autorité d'un abbé ; c'est pourquoi les moines constituent le clergé régulier. La règle de saint Benoît sert de modèle à presque tous les monastères ; les bénédictins vivent en communauté, se consacrent à la prière, à la méditation et au travail manuel. L'Église scande la vie des hommes du Moyen Âge, de

groupes : le clergé séculier (archevêque, évêques, prêtres) qui est au contact des fidèles et le clergé régulier qui vit dans les monastères et les abbayes (abbé, moines ; abbesses, moniales). • La période est marquée par le développement de grands ordres monastiques (clergé régulier). Les moines (et les moniales) veulent se retirer loin du monde dans des abbayes, des monastères isolés afin de mieux prier pour le salut de leur âme et de celles des autres croyants. • Les ordres monastiques obéissent à

est en quelque sorte l’aboutissement des expériences monastiques pratiquées jusque là, aussi bien en orient qu’en occident. Contre les excès de l’ascétisme oriental, Saint Benoit choisit la sagesse et la modération. Il conçoit d’abord le monastère comme une famille, mais il y voit également un petit état dirigé et administré par un abbé élu, entouré par un conseil d’anciens. Saint Benoit considère le cénobitisme comme la meilleure forme de vie religieuse qui soit. Il en fixe les

n'est plus moi, c'est Christ qui vit en moi ». 2 LE DON DU MANTEAU La composition est d’une très grande simplicité, elle est construite en croix de saint André A gauche, une chapelle (la vie du monastère) A droite, une cité (la vie du monde) Au croisement, l’auréole de François, entre le monde et le monastère, entre le Ciel et la terre (comme le Christ) François a bondi de son cheval. C’est un être jeune, fougueux, généreux, plein de passions. Il rencontre un chevalier pauvre. Comment moi bourgeois

retrouve également des figures de l’Ancien et du Nouveau Testament parmi d’autres thèmes qui ont été exécutés avec une grande habilité. Tout cela témoigne de la maîtrise de Siloé. LA CHARTREUSE DE MIRRAFLORES : L’église qui était à la base un monastère fut autrefois réduite en cendre par un incendie (en 1452) et à la suite de cela, on décida de reconstruire l’édifice des années plus tard. C’est pourquoi le bâtiment actuel correspond au style gothique du XVe et XVIe Siècle. Le roi Henri III est

devint une institution indépendante organisée, et continua son évolution en occident juqu'à la fin du moyen âge. En occident, à l'époque de laréforme les protestants critiquèrent le monachisme de manière virulente, le résultat fut que beaucoup de monastère et abbaye fermèrent leur porte. Et la révolution française ne fut qu'accentuer lasituation de la part des dirigeants. Ainsi, le monachisme catholique faibli pour se remettre debout tout doucement au 19ème siècle et reprendre au 20ème siècle un nouvel

qu'il confère plutôt que pour les devoirs qu'il impose. Comme il était d'humeur active et vagabonde, curieux de voir et d'apprendre, sensible aux charmes du passé, sans dédaigner les beautés du présent, il avait reculé à l'idée de se retirer dans un monastère, et, envieux de la gloire de Hannon, de Scyllax, de Pythéas et de Strabon, il avait résolu d'explorer la terre. A vingt ans, il était parti de Byzance, sa patrie, et, durant un demi-siècle, il avait couru le monde, des colonnes d'Hercule aux confins

Introduction : Sociétés et cultures de l’Europe médiévale La chrétienté à travers le monachisme cistercien - Travail préparatoire à la maison  La fondation de Cîteaux (1098) [Robert], abbé de Molesme, au diocèse de Langres, et quelques frères de ce monastère vinrent trouver Hugues, alors légat du Siège Apostolique [représentant du pape] et archevêque de Lyon. Promettant d'ordonner leur vie dans l'observance de la sainte règle de notre père saint Benoît, ils le supplièrent de leur apporter [...] la force