Monde Sensible Monde Intelligible

Apprend-on à percevoir ? Il est communément admis au sein de la société occidentale que la perception que nous avons du monde extérieur correspond à la réalité qui nous entoure, et que nous apprenons par une transmission du savoir à catégoriser, synthétiser et organiser l’information transmise par les sens et serait ainsi reçue par le cerveau pour être traitée et comprise par la raison. Il est cependant bien naïf, et quelque peu arrogant, de penser que nos perceptions captent la totalité

cette chose à l’intellect, est accessible par la beauté. Le fait de rencontrer la beauté, d’en faire « l’expérience », serait une sorte de dévoilement, de révélation de sensations nouvelles qui permettrait à l’esprit de s’ouvrir, d’appréhender le monde de manière différente, touchant alors l’essence des choses, leur vérité, leur intelligence. Mais qu’est ce que la beauté ? Ce serait ce qui suscite un sentiment de satisfaction et d’admiration en dehors de toutes considérations d’utilité se démarquant

le monde matériel (ou monde sensible) comme une caverne dans laquelle les êtres humains sont enchaînés depuis leur naissance. Les prisonniers que nous sommes contemplent le théâtre des ombres où défilent les apparences des choses, telles que nous les percevons. Ces ombres sont les reflets des Formes ou Idées qui défilent derrière un mur en surplomb. Les idées forment ensemble la vraie réalité. Elles sont éclairées par un grand feu, ici représenteé comme le soleil de la valeur suprême du monde des

livre de La République, sur la situation dans que l'être humain se trouve par rapport à la connaissance Platon explique sa théorie de comment avec connaissance nous pouvons capter l'existence des deux mondes : le monde sensible (une connaissance à travers des sens) et le monde intelligible (seulement possible avec l'usage exclusif de la raison). Description : Platon décrit un espace caverneux, dans lequel se trouvent un groupe d’hommes, prisonniers dès leur naissance par des chaînes autour du

et maintenir l’harmonie entre elle et les parties inférieures : Le courage, faculté noble et généreuse, qui comprend à la fois les désirs élevés de notre nature et la volonté ; Enfin, l’instinct et le désir qui tirent l’homme vers les objets sensibles et les désirs grossiers. Dans le Phèdre, Platon représente d’ailleurs l’âme comme un cocher, qui conduit un attelage de deux chevaux, l’un obéissant et généreux, l’autre indocile et rétif. Le point faible de cette représentation est la part

comme étant un être qui veut et qui peut connaître avec la théorie du dualisme. Selon cette théorie, il y aurait deux nivaux de réalités : celle que nous percevons par les sens, le monde sensible; et celle qui ne peut être atteinte que par la dimension spirituelle ou intellectuelle de l'être humain, le monde intelligible. Platon à écrit plusieurs oeuvres qui sont regroupées en trois périodes : les dialogues de jeunesse, les dialogues de maturité et les dialogues de vieillesse. Pour en cité deux de

Sujet : Peut-on se fier aux apparences ? La notion d’apparence manifeste l’aspect sensible, la perception du réel, par opposition à la réalité en soi. Cependant, les apparences dépendent toujours d’une image extérieure, d’un aspect physique d’une chose ou d’une personne. Communément, nous faisons des jugements à autrui par leur apparence, mais, est-ce que l’on peut se fier aux apparences? Pour répondre à cette problématique nous allons voir dans une première partie qu’il faut se méfier

L’âme méditerranéenne Voilà cinquante ans qu’Albert Camus est mort. Déjà cinquante ans que sa plume ne brûle plus attisée par ses passions ou ses révoltes. Pour réchauffer nos âmes engourdies par un monde toujours aussi absurde, reste son œuvre riche, lucide, généreuse, intemporelle… Dès son premier roman, L’envers et l’endroit, écrit à l’âge de vingt trois ans, Albert Camus annonce sans ambiguïté, son rapport particulier aux éléments naturels, son attachement sensuel à l’Algérie, le regard

lois permettant d'en faire des cas particuliers. Le mal est compris comme une absence de bien, les religions lui doivent en partie leur existence. Cependant la comprehension du mal un probleme en effet ses causes son irrationelle et pas forcement intelligible par la raison. Mais alors cette incomprehensibilité est elle dur a notre raison qui est limitée ou a la nature même du mal qui serait alors indechifrable? Est il legitime de penser le mal de le rendre legitime? Dans une premiere partie nous donnerons

réduction du monde et de la perception : esse est percipi + Kant et la réfutation de l'idéalisme 3) Les enjeux : matérialsime, spiritualisme et humanisme 1) Y'a t-il une autonomie de l'esprit ou doit on réduire l'esprit à la matière ? La réflexion sur la relation entre la matière et l'esprit a commencé dès l'origine de la philosophie cad les penseur présocratique puisqu'ils ont été les prem's a expliqués l'esprit la pensé en référence a la matière puis Platon, à la suite, a opposer le monde intelligible