Monde Sensible Monde Intelligible

des ottman (chute de constantinople en 1453) Constantin fait bascule l’empire vers la religion chrétienne (313-314) (Platon, la métaphore du lit (vu par le peintre, et par l’artisan + peintres appartient ni au monde sensible ni au monde intelligible mais c ‘est le faux du sensible->inferiorite) Ravenne et Constantinople, deux villes ou l’art byzantin est fortement present Si Constantin embrasse l’art byzantin il donne aussi une image et le role de l’eglise qu’il va développer grâce a

dans les termes même du sujet que rêve et réalité sont des notions antinomiques. Réalité vient de « res » la chose et désigne ce qui est réel, et qui n’est pas seulement une invention, une illusion, une apparence. La réalité nous est imposée par le monde extérieur et diffère donc, dans sa définition même, du désir et du rêve. Les philosophes se sont, depuis les débuts de la philosophie, posés la question du rêve en rapport à la réalité, de la distinction entre les deux. Les avancées scientifiques et

Platon nomme « Formes » ou « Idées ». Elles sont, chacune, le modèle éternel et parfait des choses sensibles. Ces Idées intelligibles ont elles-mêmes pour cause l'Idée du BIEN. Pour Platon, ce n'est qu'après bien des efforts et en suivant une voie étroite et escarpée qu'on peut enfin espérer connaître la Vérité : d'abord se détacher de l'emprise qu'ont sur l'esprit les apparences ou les phénomènes sensibles en s'habituant à considérer les choses non pas selon leur multiples qualités toujours changeantes

suppose qu'il succéda à Thalès comme maître de l'école milésienne, et il aurait eu Xénophane, Pythagore et Anaximène comme élèves. Il est le premier grec connu à avoir tenté de décrire et expliquer l'origine et l'organisation de tous les aspects du monde au point de vue que l'on qualifie de scientifique. Pythagore : réformateur religieux et philosophe, né aux environs de 580 avant J.C, mort vers 495 avant J.C. Également mathématicien et scientifique. Il fonde son école en -532. Communauté, quasiment

s’agit bien d’un sentiment naturel, primitif, antérieur à la raison, alors la réelle problématique est de savoir à quoi se réfère le « soi ». Est-ce le corps ? L’âme ? La symbiose des deux ? C’est cette dualité, qui prolonge celle plus vaste du sensible et de l’intelligible, qui va ici nous intéresser. Du moins, la manière dont elle est perçue par le regard. La période temporelle que délimitent le mythe de Narcisse, écrit par Ovide au début de l’ère chrétienne, et Le Portrait de Dorian Gray

il existe deux types de raison: la raison pur, qui est la plus haute faculté de connaître pour l’homme et la raison pratique, qui est en fait la volonté, puisqu’elle est libre et consciente. La raison pratique rejoint le monde sensible et la raison pur rejoint le monde intelligible. Le principe de liberté pour Kant est un postulat puisqu’il ne peut y avoir de responsabilité, donc de morale, sans liberté. Il affirme que la volonté possède une autonomie parce qu’elle ne dépend pas d’objets extérieurs

Ménon de Platon Sur la vertu, genre probatoire Savoir éristique [pic] exotérique (tout le monde). Le genre probatoire est la preuve, la définition de la vertu avec arguments. Anythos = celui qui bâcle L’esclave = la connaissance est indépendante de la condition sociale. Gorgias = un sophiste (c’est un maître de rhétorique) autrement di il apprend à ses élèves l’art de bien parler. I] Question initiale : la vertu est-elle inée ou acquise ? (à la 1er réplique de Ménon) (p125) : II]

constitue une spécificité humaine La parole est l’expression de la pensée. Parole pensée. Dans les régimes totalitaires, on assiste souvent à un muselage de la parole dans le but d’interdire de penser par soi-même. Toute conscience, sensible ou intelligible, participe de la parole. La conscience est une expérience de discours. Par ailleurs, le langage partagé permet la vie en commun des hommes, sur la base d’un patrimoine linguistique qui conditionne notre approche du réel, permet la régulation

d’entre nous de manière subjective, il est compliqué d’établir une vérité unique. D’apres le père fondateur du courant de recherche sur l’esthétique, Baumgarten, le beau n’est pas un concept compris par la raison mais un plaisir ressenti de façon sensible. Nous nous questionnerons ici sur le rapport entre le « beau », le réel et la vérité. Est-ce que le beau nous délivre une vérité, ou contraire est-ce que celui ci déforme ou modifie notre perception de la réalité ? Si c’est le cas, peut il se

parole, rapport dans lequel une relation sans doute réciproque s’instaure entre celui qui aspire au savoir et celui qui veut faire du précédent son élève. L’amour n’est donc plus amour charnel du monde sensible, mais folie divine. Et Socrate ne dissocie plus jouissance et sentiment. À travers la beauté sensible de l’aimé, l’amoureux doit aper9 cevoir la Beauté en soi (254b). Il faut le séduire non en se tournant vers lui, mais en le tournant vers le Beau. CR 2 - La persuasion rhétorique - Phèdre