Monologues Tragédie Corpus

stylistiques et organisationnelles. De plus, l’écriture d’invention permet d’évaluer l’aptitude à bien lire les textes littéraires (ceux du corpus a fortiori) et à en percevoir les enjeux esthétiques, d’histoire littéraire, d’y saisir la valeur des choix de genre et de registre(s) opérés par les écrivains. Cela s’opère, en quelque sorte, par l’analyse indirecte du corpus, de la spécificité des textes et des objets d’étude du programme sollicités par le sujet. Les candidats doivent ainsi « mettre en œuvre »

défauts humains. La tragédie, par exemple, doit inspirer au spectateur « terreur et pitié », tandis que la comédie dénonce les ridicules et les torts de ceux qui s’écartent du droit chemin. Le héros doit souvent choisir entre sa passion et son devoir ; il peut être soumis à un destin implacable (Phèdre de Racine) ou parvenir à la maîtrise de soi à force de volonté et de raison (Auguste dans Cinna de Corneille). Cette exigence morale de la littérature classique fait de la tragédie, de la fable, des

.............................. 16 1.1.2. Quelque précisions théoriques ........................................................... 18 1.1.3. Pourquoi la dispute ?.......................................................................... 19 1.1.4. Corpus ................................................................................................ 20 1.1.5. Pourquoi ces pièces ? ......................................................................... 21 1.2. Cadre de la dispute ...............

caractérise par la succession de différents scripteurs (et non pas uniquement des locuteurs). Il met en scène un je omniprésent mais éclaté permettant une variation de focalisations internes telle que la définit Genette. Mais ce ne sont pas des monologues puisque le discours, qui est souvent mêlé à du récit (voir Benveniste) est toujours adressé à un tu. Les situations énonciatives sont donc toujours variables, et souvent réversibles, le je et le tu échangeant leur position respective. Jean Rousset

tant dans la dissertation que le commentaire, se compose de deux aspects : la norme selon la critique et sa propre norme en fonction de ses connaissances. Toutefois, il est par là limitant et trompeur, par exemple en n’ayant lu que des romans de monologues intérieurs de les considérer comme la norme si l’on doit réfléchir à propos du roman dans une forme plus « générale ». On en revient à la nécessité d’une culture personnelle préalable et élargie de façon suffisante, acquise dans les années précédentes

est strictement fondée sur ses propres intérêts. Chercher le désordre moral constitue pour le Commandeur un amusement. C'est un divertissement qui lui permet d'oublier quelque peu sa vieillesse et son ennui. Dans la courte scène 8 de l'acte V, le monologue du Commandeur nous dévoile cette intention de ne chercher à divulguer un hypothétique mal qu'en vue de se divertir des conséquences : "Je n'ai plus rien à faire, et je commence à m'ennuyer". A la scène 3 de l'acte IV, alors que le Monsieur d'Orbesson

celle-ci, par le but ou la direction acceptée de l’échange parlé dans lequel vous êtes engagé », et qu’il le détaille en quatre maximes9 que nous allons envisager successivement en voyant comment elles sont appliquées (et surtout violées) dans notre corpus. (1) Maxime de quantité [de l’information] : « Que votre contribution contienne autant d’information qu’il est requis (pour les visées conjoncturelles de l’échange). Que votre contribution ne contienne pas plus d’information qu’il n’est requis

d'Ajax dans l'Athènes du Ve siècle 2 . À juste titre. Le spectacle du héros qui se donne la mort interroge inévitablement le public athénien, tout particulièrement, peut-on penser, les membres de la tribu Aiantis, dont Ajax fut le héros éponyme 3 . La tragédie est comme objectivement appelée à rendre compte du comportement d'Ajax et de résoudre le problème posé par son suicide. Quelle est la logique qui l'a poussé à se donner la mort, laissant un cadavre derrière lui dont on ne pouvait s'occuper sans précautions

Une scène d’exposition ` — A qui parle-t-on au théatre (aparté et double ˆ énonciation) ? — Introduction à l’interprétation théatrale ˆ — Le nœud du drame — Prendre position dans un dialogue Une scène comique Une scène tragique ? Différence entre tragédie et comédie — Le quiproquo — Le dénouement Durée 2 heures 2 heures 3. Un avare de père Acte I, scènes 45 Acte III, scène 1 Acte IV, scène 3 2 heures 4. Un avare de maître 5. L’affrontement avec Cléante 6. L’affrontement avec Valère

séquence Cette séquence est la première de l’année. Elle a été proposée, sous des formes différentes en première à 3 classes différentes : 1L, 1ECO, 1STLB. Elle permet de réviser en début d’année les exercices de l’écrit de l’EAF : La question sur le corpus Le commentaire Le sujet d’invention La dissertation Thématique : L’image de la femme dans la littérature du XVIIème au XXème siècle  I. Première séquence : Groupement de textes, Lectures analytiques Séries générales Séries technologiques* LA FONTAINE