Monstre Ignorance

cause; b) que l'admiration est imagination d'un esprit rendu incapable de faire des comparaisons, donc de raisonner : elle ne peut que deboucher sur la stupeur ; c) qu'elle est exploitee par ceux qui, ignorants eux-memes, tirent profit de leur ignorance et de celle des autres en se proclamant interpretes des dieux. A quoi il faut opposer encore la recherche des vraies causes des miracles. C'est cette derniere inversion, ontologique, qui est ici examinee : avec elle c'est l'idee de creation

est donc un prisonnier et notre monde une caverne aux images factices et irréelles. Conclusion : Une fois encore Platon offre une image et un récit plaisants pour apporter au lecteur, disciple, une leçon sur lui-même. Être conscient de son ignorance est le premier pas vers l’enrichissement philosophique pour construire des connaissances fiables. Ce fut le sens de la célèbre phrase de Socrate : « Tout ce que je sais c’est que je ne sais rien ».

sûrement des réponses. Les q° sont moteurs de notre existence. Ignorant | celui qui philosophe | savant | Ne sait rienIl croit savoir beaucoup de chosesAutosuffisantTrop plein de préjugés, de croyances, d’opinions. | Il a conscience de son ignorance, de son manque et désire savoir mieux et plus. | Il saitIl sait qu’il sait ou il croit tout savoir (sophistes)Plénitude de savoirs. | Apologie de qq=> faire son éloge Etre vertueux=> Développer le meilleur de notre âme Théorie de l’âme : Analyse

apparaître le danger d'un raisonnement appliqué à ce qui n'existe pas. Fontenelle met en parallèle deux sortes d'ignorances: - ce que l'on pourrait appeler l'ignorance normale chez les êtres humains - ne pas connaître les causes de ce qui existe -, ignorance pardonnable sans doute; - et l'ignorance relevant de l'erreur, celle qui consiste à mettre en ouvre toute une démarche de raisonnement à propos des choses n'existant pas. Ainsi vaut-il mieux pour Fontenelle ignorer ce qui est que de raisonner

être amener à vérifier. Car le doute permet de trouver la vérité, il faut douter pour sortir du doute. En effet, le doute n’est pas forcément contester, c’est être dans une certaine ignorance, c’est le fait de ne pas être sûr de quelque chose. C’est une ignorance socratique car celui qui doute a conscience de son ignorance. Remettre en question tout ce qu’un individu a reçu jusqu’alors c’est mettre en doute son existence même. Peut-on douter de son existence à partir du moment où l’on pense ? Pouvons-nous

ombres qui sont projetées, par exemple une petite statuait de cheval pour eux ca va être ça la vrai image de cheval.. Nos sens peuvent être trompeurs. Deuxièmement, le comportement de l’homme qui se délivre de ses chaînes pour se guérir de son ignorance, ce qu’il pensait que la réalité était changera complètement. Se libéré de la caverne lui permettra d’acquérir ses connaissances au monde réel du monde des idées. Ensuite, la douleur de l’homme lorsqu’il perçoit ce qu’est le monde réel changera

affirmation que « douter est une preuve de savoir », ou une volonté de savoir. D'où la reformulation de la problématique : Comment le doute peut il nous mettre sur la voie du savoir ?Dans le langage courant le doute est interprété comme hésitation et ignorance, donc comme une faiblesse de l'esprit. Le doute est aussi perçut par les savants (et par savant j'entends homme qui est en quête de savoir) comme une remise en question personnelle constructive.Ainsi le doute se révèle être une faiblesse de la pensée ;

connaissance de sa misère sans celle de Dieu fait le désespoir. Blaise Pascal (Pensées sur la religion) Quatre)La connaissance égaye l'âme. Hazrat Ali Cinq)Toute connaissance est une réponse à une question. Gaston Bachelard Six)Etre conscient de son ignorance, c'est tendre vers la connaissance. Benjamin Disraeli Sept)Le vrai pouvoir, c'est la connaissance. Francis Bacon (Méditations Sacrae) Huit)La connaissance est toujours un butin. Maxime Gorki (Ma vie d'enfant) Neuf)L'opinion est quelque chose

pas un simple défaut de savoir qu'il suffirait de combler, parce que celle-ci le dispense de chercher la vérité : à quoi bon chercher ce que je suis persuadé de déjà posséder ? L'ignorance de celui qui s'en tient à sa persuasion est donc la seule ignorance véritable : celui qui ignore n'est pas simplement celui qui ne sait pas, mais plus radicalement celui qui croit savoir et se contente de cette certitude, dût-elle ne s'appuyer sur rien d'autre que sa propre persuasion. 3. L'opinion comme intermédiaire

philosophie est l'étonnement, c'est-à-dire cette attitude qui consiste à s'interroger, à ne pas se satisfaire des réponses toutes faites et des opinions. Le philosophe ne possède pas la vérité, il la recherche. • La reconnaissance de sa propre ignorance est la condition pour rechercher la vérité. Comme Socrate qui prétendait ne rien savoir mais chercher le savoir, la recherche de la vérité est une quête et non une possession . Il faut donc, dans un premier temps,mettre en doute nos assurances et